Human Rights, yes; Allah’s Law, No.
Islam is a religion, we
are told repeatedly, but we are not told that Islam is also a body of law and a
political regime of which God is the lawmaker.
The whole of our
political history shows that it is of the highest importance to express
rights.But the rights stated by Islamic law is contrary to our fundamental
rights on the most crucial points.
According to our
principles, torture and inhuman and degrading treatment are forbidden, while
Islam authorises men to beat their wives and decrees punishments of mutilation
and other barbarous tortures.
According to our
principles, freedom of belief includes the right to change our religion, while
according to Islam, apostasy is a crime punishable by death, as decreed by
numerous Muslim sages and numerous fatwas.
According to most of
our legislative systems, inciting hatred of others is condemned, because the
lawmakers and the Church itself have drawn the lessons of the nameless horror
engendered, among others, by the “teaching of contempt of Jews” (as Jules Isaac
named it), ... While Muslim prayers contain the “fatiha”, a Coranic verse that
teaches contempt of Christians and Jews...
Finally, according to our
principles, none of our basic rights and freedoms can be used to eliminate
those rights and freedoms, while Islam orders Muslims to combat so that Islam
be the only religion and the only law, i.e., for our fundamental freedoms and
rights, which we have just named, to be eliminated by Islamic law, and militant
Muslims never cease using the term “freedom of religion” to advance the
application of the Sharia.
When will our judges,
our magistrates and our politicians consent to apply OUR RIGHT by fully respecting
its spirit and its aim: to preserve our fundamental freedoms against all
attack, including those that misuse the pretext of a freedom of religion
Droits et devoirs humains : oui ; Loi d'Allah : non
L'islam est une religion, nous répète-t-on, mais on oublie de nous dire et rappeler que l'islam est aussi une législation et un régime politique dont le législateur est censé être Dieu.
Toute notre histoire politique montre qu'il est
de la plus haute importance de DIRE LE DROIT.
Or le droit dit par la loi islamique est à
l'opposé de nos droits fondamentaux sur les points les plus cruciaux :
Selon nos principes, la démocratie est la règle
( y compris sous la forme de royautés constitutionnelles), c'est à dire que la
loi vient du peuple ( étymologiquement "démos"), alors que selon
l'islam la loi vient de Dieu, (en grec "Théos" d'où :
"théocratie", régime dans lequel le pouvoir législatif appartient à
Dieu).
Selon nos principes, l'égalité en droit et en
dignité de tous les êtres humaines est de règle ( toutes choses égales par
ailleurs), alors que selon l'islam les hommes "ont autorité sur les
femmes", et les non-musulmans sont voués à être combattus et/ou soumis à
tribut en étant "humiliés",
Selon nos principes, l'esclavage est interdit,
pas selon l'islam,
Selon nos principes, la torture et les
traitements inhumains et dégradants sont interdits, alors que l'islam autorise
les hommes à battre leurs femmes, et prévoit des peines de mutilations et
autres supplices barbares,
Selon nos principes, la liberté de la foi
implique le droit de changer de religion, alors que selon l'islam, l'apostasie
est un crime punissable sur terre, de mort selon nombre de savants de l'islam
et nombre de fatwas.
Selon la plupart de nos législations,
l'incitation à la haine d'autres populations est condamné, car les législateurs
et l'Eglise elle-même ont tirés les leçons de l'innommable horreur engendrée
notamment par "l'enseignement du mépris des juifs" (comme le nommait
Jules Isaac), ... alors que les prières musulmanes contiennent la
"fatiha", un verset du coran qui enseigne le mépris des chrétiens et
des juifs ...
Enfin, selon nos principes, aucun des droits et
libertés fondamentales, ne sauraient être utilisés pour faire disparaître ces
mêmes droits et libertés, or l'islam ordonne aux musulmans de lutter afin que
l'islam soit la seule religion et la seule loi, donc pour que les libertés et
droits fondamentaux qui sont les nôtres, et que l'on vient d'énoncer, soient
anéantis par la loi islamique, et les militants musulmans ne cessent de
prétexter de la "liberté religieuse" pour faire progresser l'application
de la charia :
quand donc nos juges, nos magistrats et hommes
politiques consentiront ils enfin à appliquer NOTRE DROIT en respectant son
esprit et son but, qui est de préserver nos libertés fondamentales contre toute
atteinte, fut elle portée sous le prétexte d'une liberté de croire ?...
Voici les textes :
DE L'IMPORTANCE DE DIRE LE DROIT
Déclaration des Droits de l'homme et du citoyen
du 26 août 1789
"Les Représentants du Peuple Français,
constitués en Assemblée Nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le
mépris des droits de l'Homme sont les seules causes des malheurs publics et de
la corruption des Gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une Déclaration
solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'Homme, afin que
cette Déclaration, constamment présente à tous les Membres du corps social,
leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que leurs actes
du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque
instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus
respectés; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des
principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la
Constitution et au bonheur de tous."
Déclaration universelle du 10 décembre 1948 :
"Considérant que la méconnaissance et le
mépris des droits de l'homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent
la conscience de l'humanité "
DE LA DEMOCRATIE
Art. 2. -
Le but de toute association politique est la
conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits
sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.
Art. 4. -
La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui
ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme
n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la
jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par
la Loi.
Art. 5. -
La Loi n'a le droit de défendre que les actions
nuisibles à la Société
Art. 6. -
La Loi est l'expression de la volonté générale.
Tous les Citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs
Représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle
protège, soit qu'elle punisse
Selon l'islam :
"la première assise de l'Islam est :
" Nach Hadou Ana Laillaha ila-LLah wa ana
Mouhammad Rassoula-LLah"
(Nous attestons qu'il n'y a d'autre divinité
que Dieu et que Mohamed est le Prophète de Dieu).
Attester qu'il n'y a d'autre divinité que Dieu
a pour signification immédiate : réserver à Dieu exalté le caractère divin et
ne pas Lui associer quelques unes de Ses créatures dans une seule des
caractéristiques de la déité.
La première caractéristique de la déité est la
prérogative absolue de la législation d'où découle le droit de légiférer pour
les hommes, le droit de formuler des doctrines pour leur vie et le droit de
définir les valeurs morales sur lesquelles repose la vie." Sayyed Qutb (Rahimahullah),
tiré de "L'Islam par le martyr"
EGALITE
Art. 1er. -
Les hommes naissent et demeurent libres et
égaux en droit
Préambule de la déclaration universelle de 1948
:
Considérant que la reconnaissance de la dignité
inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et
inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix
dans le monde.
Considérant que dans la Charte les peuples des
Nations Unies ont proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de
l'homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l'égalité
des droits des hommes et des femmes,
Art 1
Tous les êtres humains naissent libres et égaux
en dignité et en droits.
Art 7
Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans
distinction à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection
égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et
contre toute provocation à une telle discrimination.
Coran :
4.34. Les hommes ont autorité sur les femmes,
en raison des faveurs qu'Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à
cause des dépenses qu'ils font de leurs bien. Les femmes vertueuses sont
obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant
l'absence de leurs époux, avec la protection d'Allah. Et quant à celles dont
vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d'elles dans leurs
lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de
voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand !
Coran :
9.5. Après que les mois sacrés expirent, tuez
les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et
guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite ils se repentent, accomplissent la
Salat et acquittent la Zakat, alors laissez-leur la voie libre, car Allah est
Pardonneur et Miséricordieux.
9.29. Combattez ceux qui ne croient ni en Allah
ni au Jour dernier, qui n'interdisent pas ce qu'Allah et Son messager ont
interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont
reçu le Livre, jusqu'à ce qu'ils versent la capitation par leurs propres mains,
après s'être humilies .
INTERDIT DE L'ESCLAVAGE
Art 4
Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude;
l'esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.
Coran
4.3. ...Il est permis d'épouser deux, trois ou
quatre, parmi les femmes qui vous plaisent, mais, si vous craignez de n'être
pas justes avec celles-ci, alors une seule, ou des esclaves que vous possédez.
Cela afin de ne pas faire d'injustice (ou afin de ne pas aggraver votre charge
de famille).
INTERDIT DE LA TORTURE
Déclaration universelle Art 5
Nul ne sera soumis à la torture, ni à des
peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
OCI Organisation de la Conférence islamique
28 Rabiul Al-Thani 1425
H /16 juin 2004
Communique final de la 31ème session de la
conference islamique des ministres des affaires etrangeres
" La Conférence a fait état de sa profonde
préoccupation de l’amalgame fait de manière répétitive et erronée entre l’Islam
et la violation des droits de l’homme. Elle a dénoncé l’exploitation de la
presse écrite et audiovisuelle pour propager ces idées fallacieuses et a appelé
à mettre fin aux campagnes injustifiées lancées par certaines organisations non
gouvernementales contre un certain nombre d’Etats membres et qui consistent
pour l’essentiel à demander à ces Etats d’abroger les peines et sanctions
prévues par la Charia, sous prétexte de défense des droits de l’homme. Elle a
réaffirmé le droit des Etats à préserver leur spécificité religieuse, sociale
et culturelle, qui constitue un patrimoine de nature à enrichir les concepts
universels des droits de l’homme. Elle a appelé à s’abstenir de toute
utilisation de l’universalité des droits de l’homme comme prétexte pour
s’ingérer dans les affaires intérieures des Etats et porter atteinte à leur
souveraineté nationale. Elle a, en outre, dénoncé la décision de l’Union
Européenne concernant la condamnation de la peine de la lapidation et des
autres peines qualifiées d’inhumaines et qui sont appliquées dans certains
Etats membres en vertu des dispositions de la Charia."
Coran :
4.34. Les hommes ont autorité sur les femmes,
(...) Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les,
éloignez-vous d'elles dans leurs lits et frappez-les. (...)
LIBERTE DE CHANGER DE RELIGION
Déclaration universelle Art 18
Toute personne a droit à la liberté de pensée,
de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de
religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa
conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement,
les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites
Selon l'islam :
Hadith d'Ibn `Abbâs : « Quiconque change sa
religion, tuez-le. »
Hadith d'Ibn Mas`ûd : « Le sang d'un Musulman
qui atteste qu'il n'y a de dieu que Dieu et que je suis le Messager de Dieu est
illicite sauf dans trois cas : l'homicide volontaire, le fornicateur qui a déjà
connu le mariage et l'apostat qui abandonne la Communauté. »
"L'une des sources du droit islamique en
vigueur dans la Communauté est le consensus (Ijmâ`). Or, les juristes de la
Communauté, toutes Ecoles confondues, qu'ils soient sunnites ou non, ainsi que
les juristes indépendants non rattachés à une Ecole précise, sont
consensuellement en accord pour dire que l'apostat mérite une sanction. Il y a
quasiment unanimité pour dire que cette sanction est la peine de mort,
exception faite de ce qui a été rapporté au sujet de `Umar, d'An-Nakh`î et
d'Ath-Thawrî. Il demeure cependant que l'incrimination de l'apostasie est
consensuellement reconnue." Yusuf Al Qaradawi
PRIERE ET ENSEIGNEMENT DU MEPRIS
L’Al-Fatiha, la prière la plus commune de
l’Islam et la première sourate du Coran.
Coran ( 1/7 ) " La Fatiha" :
" le chemin de ceux que Tu as comblés de
faveurs, non pas de ceux qui ont encouru Ta colère, ni des égarés"
Sa signification ordinaire selon les tafsirs
(exégèses):
"Dieu (تعالى) a dit : {Celui que Dieu a
maudit, celui qui a encouru Sa colère, et ceux dont Il a fait des singes, des
porcs} (5/60)
‘Adi Bin Hatim a dit : “J’ai demandé à l’Envoyé
de Dieu au sujet de ceux qui sont désignés par ce verset : {Non le chemin de
ceux qui ont encouru Ta colère}, il me répondit : “Ce sont les juifs, quant aux
égarés ce sont les chrétiens”.
ABUS DU DROIT POUR DETRUIRE LES LIBERTES ET
DROITS
Déclaration universelle Art 30
Aucune disposition de la présente Déclaration
ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou un
individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte
visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés.
Selon le coran, (et les hadiths), le musulman
doit combattre jusqu'à ce que "toute la religion soit à Allah" :
2/190] Combattez dans le sentier d'Allah ceux
qui vous combattent, et ne transgressez pas. Certes, Allah n'aime pas les
transgresseurs!
2/[191] Et tuez-les, où que vous les
rencontriez; et chassez-les d'où ils vous ont chassés: l'association est plus
grave que le meurtre. Mais ne les combattez pas près de la Mosquée sacrée avant
qu'ils ne vous y aient combattus. S'ils vous y combattent, tuez-les donc. Telle
est la rétribution des mécréants.
2/[192] S'ils cessent, Allah est, certes,
Pardonneur et Miséricordieux.
2/ 193] Et combattez-les jusqu'à ce qu'il n'y
ait plus d'association et que la religion soit entièrement à Allah seul. S'ils
cessent, donc plus d'hostilités, sauf contre les injustes.
D'où la conclusion logique de la Cour
Européenne :
Cour européenne des Droits de l’Homme
31 juillet 2001
Affaire Refah Partisi (parti de la prospérité)
et autres c. turquie arrêt strasbourg
La Cour reconnaît que la Charia, reflétant
fidèlement les dogmes et les règles divines édictées par la religion, présente
un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le
pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des
libertés publiques. (...) Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux
de la démocratie et des droits de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la
Charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard
à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve
aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines
de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses. (...) Selon
la Cour, un parti politique dont l’action semble viser l’instauration de la
Charia dans un Etat partie à la Convention peut difficilement passer pour une
association conforme à l’idéal démocratique sous-jacent à l’ensemble de la
Convention.
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