J'appelle à participer au Jour de Colère du 26 janvier 2014




Je me suis décidée en voyant que l'Elysée a oublié de souhaiter un Joyeux Noel alors qu'il avait souhaité une fête de l'égorgement quelques semaines plus tôt ...

Je suis une militante des droits humains et une féministe matérialiste en colère :

je constate aujourd'hui :
- le refus actuel de toute distinction en droit, qualifiée systématiquement de "discrimination",
- le déni actuel de la dimension matérielle, physique, corporelle de la réalité, 
- la violence avec laquelle toute contestation de ces axiomes est réprimée,
- la prostitution/ collaboration de nombre de politiciens et intellectuels dont des "juifs de cour"

je constate que ces dénis ont pour conséquence aujourd'hui : 

- la marchandisation du corps humain
- des violences sous prétexte de liberté sexuelle
- la mise en danger des enfants
- le déni des éléments nazis de l'idéologie islamique
- la haine anti-française et anti-chrétienne et l'antisémitisme

Voilà les raisons de ma colère ...


 rappel  : je suis contre cette loi là, mais pour le mariage homo, qui malheureusement du fait de ce refus de distinction, se voit ou risque fort de se voir attribuer des effets de filiation semblables a ceux des mariages hetero, alors qu'il serait possible d'instituer le mariage homo sur des bases realistes













Alerte aux bonnets rouges !!!




Avortement : proposition





Au moment où l'Espagne fait un terrible retour en arrière sur le droit des femmes de décider de disposer de leur corps, en réaction à une situation où un commerce de la mort de foetus viables avait pris place dans ce pays, je propose un texte ( une ébauche ... ) qui veut concilier :
le droit des femmes de décider pour elles-mêmes selon leur seule conscience,
la reconnaissance de l'importance pour l'enfant de la symbiose entre sa mère et lui pendant la grossesse,
la reconnaissance de la dignité humaine de tout être humain, handicapés compris,
le refus de la pression pour un eugénisme des handicapés pouvant mener une vie sans souffrance intolérable,
et le refus de l'instauration d'un marché de la mort,
la reconnaissance du droit des médecins à la liberté de conscience,
la reconnaissance du caractère irremplaçable de l'appréciation au cas par cas et en conscience par les médecins des circonstances et conséquences médicales de chaque grossesse et du dialogue libre et en confiance avec la femme enceinte, et de l'impossibilité pratique pour le législateur de s'y substituer par des dispositions de principes généraux ...

Les femmes doivent avoir toute liberté de décider. Il me parait absurde de présumer que bien informée sur la grossesse et sur leurs droits de choisir et d'être aidées pour leur enfant, elles choisissent sans grave raison d'arrêter une vie. Il me parait très dangereux de réprimer les femmes qui se sentent contraintes de le faire. De même, si quelques médecins cupides se sont fait marchands de mort, il me parait largement absurde de définir par la loi ce qui ne peut être décidé qu'au cas par cas par chaque médecin en fonction de son savoir et de la femme et de l'enfant qu'il a en consultation. Peu de médecin ont envie de mettre fin à des vies humaines et de causer des douleurs ou de provoquer des naissances risquant de provoquer des handicaps, sauf lorsqu'ils ont devant des cas extrêmement graves ou pouvant le devenir.
Les lois sur l'avortement sont généralement basées sur des délais : il me parait plus utile de faire reconnaitre cette réalité pratique : à un moment, l'enfant est assez formé pour être viable, dès lors la question de l'avortement ne peut plus se poser, la fin de la grossesse ne peut déboucher que sur des soins à cet enfant désormais né, faute de quoi elle devient assassinat ou torture pure et simple.

Je sais que le Planning et la CADAC militent pour une revalorisation de l'acte d'IVG, mais il me semble que les médecins militants n'étaient pas rémunérés, je me demande si aujourd'hui la principale raison du manque de médecins est en fait leur conscience, leur malaise à donner la mort, et peut-être même encore plus contre rémunération.
Pour ce qui est de la conscience médicale et du double accord après dix semaines de grossesse, j'ai pensé que jusqu'à ce stade, un médecin connaissant sa patiente pouvait avoir les éléments suffisants pour se décider, par exemple pour détecter l'état émotionnel de la femme enceinte, d'éventuelles pressions exercées sur elle, sa liberté de décider ou pas ... Mais au delà de ce seuil, où la question ne me parait plus s'appeler "avortement" en réalité, mais plutôt euthanasie foetale, il faut bien la concertation de deux  médecins pour prendre une décision aussi grave : l'une connaissant sa patiente, l'autre plus spécialiste des pathologies des enfants et pouvant estimer l'état de santé actuel et futur, de viabilité réelle du foetus, l'un et l'autre capable de comprendre les motivations et affects réels du confrère ou de la consoeur devant ce cas ...



Loi sur l’avortement

Texte :

Préambule.
Considérant que l’être humain est acquière la dignité humaine dès sa conception.
Considérant que sa vie a dès ce moment, quel que soit son état de santé, la valeur de la vie de toute personne humaine.
Considérant que l’être humaine a, dès sa conception, le droit au soutien de la solidarité nationale lorsque son état de santé physique ou mentale est déficient, afin de pouvoir grandir dans sa famille autant que le permet son état de santé.
Considérant que le bon développement du petit d’homme durant la grossesse nécessite la bonne santé physique et le bien-être moral de sa mère, la femme qui le porte dans son propre corps.
Considérant que la femme enceinte est libre de disposer de son propre corps.
Considérant que le respect de la vie de la femme enceinte et de son intégrité physique sont, tout au long de sa grossesse, prioritaires sur la vie et l’intégrité physique du fœtus, sauf si elle en décide elle-même explicitement autrement.
Considérant que la liberté de conscience des médecins, sages-femmes  et infirmières face à un acte pouvant causer la mort d’un être humain ou sa douleur, doit être entière, et que leurs décisions doivent être conformes dans toute la mesure possible au serment d’Hippocrate.
Considérant que la relation entre la femme enceinte et les soignants doit être basé sur une confiance mutuelle.

Article 1
Le corps et l’Etat de l’être humain sont indisponibles dès sa conception. Il acquière la personnalité juridique distincte de celle de sa mère lors de sa naissance.
La femme enceinte est libre de disposer de son propre corps et peut décider de mettre fin à sa grossesse, même si la fin de la grossesse a pour conséquence la mort de l’enfant en formation. En aucun cas elle ne peut être poursuivie du seul fait de cette décision.

Article 2
L’avortement et la délivrance de produits abortifs ne peuvent être effectués que par des médecins, sages-femmes ou infirmières.
La vente ou la fourniture de produits risquant d’avoir un effet abortif ou contraceptif ou réducteur de la fertilité doit être accompagné de la fourniture d’une mise en garde écrite claire  sur ces risques. L’absence ou l’insuffisance d’information est punie des peines de l’empoisonnement.
Les médecins, sages-femmes et infirmières sont libres de décider selon leur conscience de mettre fin ou non, sur la demande de la femme enceinte, à une grossesse.
Ils ont l’obligation de réaliser une échographie [ ou un des autres examens non intrusifs qui viendraient à être rendu possibles techniquement à l’avenir ] de la femme enceinte lorsqu’elle demande un avortement afin de déterminer le stade de développement de l’enfant en formation, et doivent respecter le souhait de la femme de visualiser ou pas cette échographie. 
L’accord de deux médecins gynécologues, ou obstétriciens ou pédiatres est obligatoire pour réaliser des avortements au-delà de dix semaines de grossesse.
Ils ont l’obligation de respecter la méthode d’avortement choisie par la femme, son souhait de bénéficier d’anesthésie générale ou locale ou de produits antalgiques, et tout au long de son traitement, son intimité et sa vie privée.
Un règlement défini les méthodes d’avortement autorisées en fonction de l’état de la science, dans le but d’éviter au maximum la douleur de la femme enceinte et du fœtus.

Article 3
L’Etat a l’obligation de fournir publiquement des informations sur la biologie humaine de la reproduction, le développement de l’embryon humain durant toute la grossesse, les produits augmentant ou diminuant la fertilité humaine, sur les services médicaux et sociaux destinés aux enfants, femmes enceintes et parents, sur le droit des femmes enceintes à continuer leur grossesse comme à avorter, sur les aides et assistances dont elles et leurs enfants peuvent bénéficier, sur les possibilités de remise de l’enfant en vue de l’adoption ou de l’accouchement anonyme, sur les méthodes autorisées de contraception et d’avortement.
Ces informations doivent être publiées sur le site des services publics, dans des versions accessibles aux adolescents d’une part et dans des versions plus complètes à l’attention des adultes d’autre part.
Les services publics ou médecins consultés par les femmes demandant des informations sur le droit à l’avortement, ont l’obligation de les informer sur : leurs droits à continuer leur grossesse nonobstant l’avis de leur entourage, comme à avorter selon leur seule décision, les assistances dont elles et leurs enfants peuvent bénéficier, les possibilités de remise de l’enfant en vue de l’adoption ou de l’accouchement anonyme, sous peine contraventionnelle. L’Etat doit fournir à ces services et médecins le matériel d’information nécessaire.

Article 4
La contrainte exercée sur la femme enceinte ou sur les personnes autorisées à pratiquer un avortement afin de les obliger soit à pratiquer un avortement, soit à ne pas respecter les obligations légales exigées lors de sa réalisation, soit à ne pas le pratiquer, est puni de peine délictuelle (prison pour les deux premiers, amende pour la troisième).

Article 5
Sauf dans le cas où elle est effectuée pour sauver la vie de l’enfant ou préserver sa santé, ou bien dans le cas où la vie de la femme enceinte serait en danger du fait de la continuation de la grossesse, ou dans le cas où son intégrité physique risquerait d’être lourdement et définitivement détériorée de ce fait, l’opération mettant fin à une grossesse ne peut être rémunérée. Seuls les frais matériels (produits, location de salle et matériel d’échographie et d’opération, frais de déplacement) peuvent être payés au médecin, à la sage-femme ou à l’infirmière. La proposition et la perception d’une rémunération pour l’arrêt d’une grossesse hors de ces trois cas est punie de peine délictuelle (prison).

L’Etat a l’obligation de fournir dans ses hôpitaux publics les matériels (produits, salle et matériel d’échographie et d’opération) nécessaires à la réalisation d’avortement par les médecins, sages-femmes et infirmières sollicités par des femmes enceintes.

Article 6
Lorsque le fœtus a atteint un stade de développement où il est viable lors de la fin de la grossesse, les médecins ayant donné leur accord et réalisé l’arrêt de grossesse, quelle qu'en soit la raison, et la femme enceinte sont conjointement responsables civilement et pénalement de l’assistance qui doit lui être fournie pour sa survie et la préservation de sa santé, et des conséquences éventuelles pour sa santé de la fin de la grossesse, sauf dans le cas où la continuation de la grossesse aurait mis en danger la vie de la femme enceinte ou risqué de détériorer gravement et définitivement son intégrité physique.



Papier is doch weiss





Point en décembre 2013 :


Henri Baruk expliquait que les fous ont une raison, qu'il faut chercher cette raison pour pouvoir les aider, (au moins pour certaines formes de folie ) : ce monde ressemble de plus en plus à une famille dont un des membres est fou et dont les autres veulent se le cacher, pour refuser de voir que la logique des fous est folle il suffit de l'adopter soi même, alors toute la famille est contaminée et personne ne guérit,
l'islam comprend des injonctions paradoxale et une pression terroriste mêlant carotte et baton et abrutissement mêlé a l'excitation et l'alerte constantes, voila pourquoi il rend fou à tuer et se tuer, l'islam est une maladie mentale, je n'en suis convaincue que parce que j'entend des personnes de famille musulmane me le dire et je suis effrondrée par notre refus de les aider à sortir de cette doctrine empoisonnée, d'autant plus que je vois à quel point l'on se sert de "la shoah" pour persécuter ceux qui veulent les aider ( et en éviter d'autres),
j'esperais que l'on puisse entendre des féministes d'un coté et le Pape de l'autre, dire ensemble que Madgi Allam et Ayaan Hirsi Ali, parmi tant d'autres apostats inconnus, y compris des arabes d'Arabie saoudite, ont raison dans leur critique radicale de l'islam, mais je ne vois rien de cela,
j'esperais que la valeur de chaque individu, personne humaine, soit fortement affirmée à l'occasion de cette loi contre la consommation de corps prostitues, qui est un grand pas moral, qui pourrait etre un element caractéristique d'un projet positif, mettant chaque personne humaine, chaque visage humain au centre, que l'on pense qu'il est une part de l' "etincelle divine" ou pas ... mais non : projet socialo alors on ne va pas le defendre, et puis les putes c'est des putes et la liberté c'est de s'amuser .. et bien vous serez servi avec le butin islamique alors ai je envie de répondre, et vous ressemblerez en ce domaine aux chiens que les musulmans vomissent mais en qui l'islam semble avoir trouvé le modele de sa vision de l'usage des corps.
j'ai peur des réactions de colère qui surgissent en réaction a l'islam, je refuse l'idee de sainte colere, je vomis l'idee de bonne haine, je récuse les tribunaux révolutionnaires que nombreux excitent à dresser, 
le Pape ne prépare pas la paix en parlant - je vais être "modérée" - pour ne rien dire, je pense que le Vatican est vide aujourd'hui, je pense que tous les catholiques qui s'allient avec des "familialistes" islamiques se ridiculisent pour etre gentille, et cela ne me console pas quand je pense à toutes les sornettes et odieuseries que j'ai entendu dans mon mouvement, 
nos silences, convergent, encouragent la violence et l'abrutissement islamique à se propager, 
si la colère du peuple est encouragée sans projet positif clair, une fois le peuple épuisé par des manifestations constantes, ce n'est pas Napoleon mais les pouvoirs islamiques et leurs clienteles qui ramasseront la donne et instaureront leur donne - avilissante, abaissante.


Résister au noyautage des militants de la loi d’Allah et à la tentation de la Terreur révolutionnaire

Résister au noyautage des militants de la loi d’Allah et à la tentation de la Terreur révolutionnaire
La résistance à  l’emprise de la loi d’Allah en France fait face à deux obstacles internes, à deux tentatives et tentations.
La première est le noyautage des mouvements de l’intérieur par les militants musulmans, la deuxième est la tentation de la Révolution, avec sa Terreur nihiliste. Les deux ouvrent des boulevards à la prise de pouvoir islamique irréversible, ou quasi.
Les mouvements qui apparaissent comme pouvant résister à la progression de la loi islamique sont immédiatement pris d’assaut par les militants de l’islam, afin de les anéantir de l’intérieur, exactement comme Hitler l’a fait des Eglises.
Les mouvements nationalistes ou patriotiques non néo-nazis, se laissent pour certains berner soit  par la haine des juifs qui leur fait par « contraste » penser avoir pour « amis » les ennemis supposés de leurs ennemis, c’est-à-dire les musulmans, soit comme bien d’autres, juste par la crainte de l’ « islamophobie raciste » ou juste par la crainte de donner une mauvaise image. Pour les néo-nazis, la question est plus simple : ils ont la même vision antisémite et dictatoriale que les militants musulmans et sont alliés naturels …
Les mouvements chrétiens ou familialistes traditionnels sont pour certains trompés par le discours en apparence traditionnel et familialiste des musulmans.
A ces mouvements je vais résumer de façon abrupte et crue l’opposition entre christianisme et islam quant à la famille, aux femmes et aux enfants :
Dans le christianisme, le principe est la chasteté et le mariage un sacrement et la monogamie absolue, le devoir conjugal est de « se donner » mutuellement, mais la sanction au pire est l’annulation du mariage, il n’y a pas d’ « obligation de faire », pas d’autorisation du viol.  L’enfant nait «  désiré » par principe et d’un homme et d’une femme qui vivent ensemble et font tout pour s’aimer et ne doivent pas divorcer.  Quant à la pédophilie, Jesus explique qu’il vaut mieux s’arracher un œil que de « scandaliser un petit ». L’avortement est vu par l’Eglise comme crime dès la conception.
Dans l’islam,  - on est prié de lire après avoir achevé sa digestion – la femme doit accepter les relations sexuelles quand son mari le veut, si elle désobéit il a le droit de l’attacher au lit et de la battre. Le mari a le droit de lui imposer la levrette. Il a le droit à quatre épouses et un nombre illimité d’esclaves. Il a le droit de la répudier. Le fantasme sexuel autour du paradis aux 72 vierges et éphèbes,  n’est pas réprouvé au nom de la chasteté mais encouragé comme stimulant pour le jihad. L’enfant nait d’une femme qui elle n’a droit qu’au quart de plaisir sexuel de son mari ou moins. Si le père répudie la mère, il a la garde de l’enfant …Mahomet, vieux libidineux de 50 ans se tape un bout de chou de 9 ans et cet âge est donc le modèle, et recommande de ne pas trop couper lors de l’excision, c’est-à-dire de couper quand même.  La femme choséfiée, putifiée au service de la lubricité masculine, humiliée, ce que les chrétiens appellent « chair » est au centre du contrat d’achat d’usage du vagin des femmes qu’est le « mariage », les enfants propriétés, avec permission de les avorter dans les premiers temps.
Le seul point commun entre christianisme et islam est une vision hiérarchique entre homme et femme résultant de la lecture de Saint Paul qui depuis un certain temps maintenant a été remise en cause par le Vatican lui-même.
Aux nationalistes qui pensent que parler du danger de l’idéologie islamique serait une invention de juifs pour diviser les « goys » et prendre le pouvoir, un « complot sioniste », je répondrais que ce qui divise ce n’est pas la dénonciation de l’islam, mais c’est l’islam, déclaration de guerre de Mahomet à l’humanité tout entière, Mahomet, représenté à juste titre comme fendu en deux dans l’Enfer de Dante. Quant aux juifs médiatisés que ce genre de nationalistes nomment toujours comme « preuves » que ce sont « les juifs » qui tiendraient le pouvoir et l’utiliseraient pour diviser le brave peuple, je leur ferais remarquer qu’il s’agit d’individus juifs, qui défendent leurs intérêts particuliers  et qui défendent tous l’islam en interdisant toute critique autre que celle d’un « islamisme » : la division dont ils peuvent profiter est justement celle induite par l’islam.
Passons au deuxième obstacle qui est celui de la tentation d’un mouvement « revanchard ». On entend des appels à quelque justice révolutionnaire contre les traitres et profiteurs, on voit des caricatures de traitres ou profiteurs, on décerne des anti-prix, piloris médiatiques ou bien simplement on rève d’un grand remplacement à rebours qui virerait cette « clique » et éventuellement les musulmans avec.  Ce ménage, même avec l’armée, risque sans projet cohérent de mener à la guerre civile et donc d’être juste celui qui ruinera le pays et fera toute la place aux militants de l’islam … permettant justement de mener à terme la politique d’infiltration dans les milieux « résistants » à « la mondialisation » ou « la dénaturation de la famille » …
Sans projet on va dans le mur, et sans projet et avec la « rage », on va dans le mur et dans le bain de sang. La  réaction de colère face aux violences que nous subissons aujourd’hui est une réaction normale, mais se complaire dans ce mauvais sentiment en se réjouissant d’avance de revanches et guillotines, et en entamant les réjouissances par des caricatures ou mises au pilori humiliantes, est immoral, bas et dangereux.
La vengeance ou l’humiliation d’autrui n’ont jamais rien résolu. Ces méthodes nous placent au même niveau que le coran. Chercher des coupables ou chercher à punir est toujours une perte sèche de temps.
Il nous faut inventer un « new deal », un nouveau contrat avec les autres nations, c’est un chantier énorme, et c’est un chantier préalable ou au mieux concomitant au chantier de désislamisation de la France. Nous ne pourrons évacuer les traces de la loi d’Allah d’ici, qu’en ayant choisi définitivement les principes opposés, donc excluant l’esprit revanchard ou punitif, et en ayant un projet économique et écologique crédible à proposer comme plan aux Nations.
Un « plan d’aménagement du territoire » à l’échelle mondial, dans laquelle chaque pays s’insérerait. Un plan qui tablerait essentiellement sur les ressources locales de chaque pays, un plan qui ne supposerait pas des déplacements massifs de population d’un coin de la planète à l’autre, un plan qui serait celui d’une économie pour la vie humaine, pour les humains, et non pas de l’asservissement des humains à l’économie.
La réflexion sur le rôle économique des femmes et des enfants est capitale dans un tel plan, mais sa base n’est plus à inventer :  cette base est la femme, l’enfant n’est pas un objet. Par conséquent l’économie doit être organisée en tenant compte à la fois de la différence des corps et de leur différentes aptitudes et besoins, et en interdisant toute utilisation du corps d’autrui pour ses propres caprices, tout atteinte à l’intégrité physique d’autrui. Les études « féministes » ( et non « de genre ») sont capitales dans cette optique, à condition qu’elles ne se perdent pas dans des débats ésotériques sur le sexe du genre…
La base de tout redressement est un service public de la Recherche Scientifique, financé par l’Etat, des chercheurs indépendants des firmes, capables de répondre en toute indépendance aux questionnements des pouvoirs législatifs et exécutifs sur les questions de santé, d’agronomie, d’industrie, d’écologie, et militaires ou stratégiques, des chercheurs ayant les moyens de réaliser sans retards leurs recherches sur tous les projets permettant une protection de la santé, de l’écologie.
Tant que nous n’aurons pas construit ce projet, les hargnes et la recherche des coupables continueront, pendant que les plus malins, sans mauvaise intention particulière (contrairement à ceux que s’imaginent les complotistes emprisonnés dans leur vice de recherche de « coupables ») mais juste par négligence, continueront à tirer les marrons du feu en détruisant l’économie et la planète, et  l’islam continuera à tenter ambitieux, sadiques ou autres désemparés.
Ce ne sont pas les musulmans qui ont construit une économie basée sur le pétrole : c’est nous-mêmes. Ce ne sont pas les musulmans qui nous ont mis dans la tête qu’il serait normal de compter sur le malheur des pays musulmans pour profiter d’une main d’œuvre moins cher pour nos vieux, c’est nous mêmes, la cupidité des occidentaux eux-mêmes, nous-mêmes, qui en plus ont le culot d’accuser « les juifs » de leur avoir fourni un bon prétexte avec leur parano légitime du retour d’idéologies racistes.
Aucun musulman n’est venu en Europe par une invasion, c’est-à-dire les armes à la main, et la majorité d’entre eux se conforme à la loi. Par conséquent si nous avons aujourd’hui en Europe des problèmes liés à l’islam, c’est uniquement parce que nous l’avons décidé, et si nous devons désislamiser l’Europe au sens de refouler le pouvoir de la loi islamique, nous devons maintenant le faire en prenant en même temps soin de ne pas nuire aux droits fondamentaux des musulmans qui vivent ici. De même, si les Français d’origine, dont les ancêtres sont nés en France, voulaient recouvrer leur droit de propriété sur leur terre et refouler les originaires d’Afrique, ils ne pourraient le  faire qu’en respectant pour résumer les lois de l’expropriation d’un droit d’usage ancien maintenant pour beaucoup d’immigrés. De surcroît, la France devrait renoncer à des comportements néo-colonisateurs, qui représentent une exploitation ou une destruction des ressources de ces pays, comme d’autres pays en développement, et qui sont une des causes de l’immigration.
Quand nous aurons inventé un projet excluant le néo-colonialisme, nous pourrons sans complexe appliquer la désislamisation complète, c’est-à-dire interdire toute manifestation publique de culte musulman, tout enseignement non contradictoire ou critique de l’islam, raser les mosquées, interdire les tenues islamiques, interdire l’abattage islamique, et si les Français d’origine le veulent, éventuellement récupérer leur propriété entière sur leur sol.
Mais tant que ce projet n’existe pas, tant que d’une façon ou d’une autre, nous poussons des musulmans à vivre ou rester ici, tant que d’une façon ou d’une autre, nous soutenons des tendances les plus radicales dans les pays sous loi islamique eux-mêmes et donc contribuons à les laisser dans leur misère morale et économique,  il est incohérent et largement impraticable, largement injuste même de leur demander en même temps de ne pas être musulmans ou de retourner dans ces pays …
Elisseievna