Les nouveaux collaborateurs des musulmans jihadistes

A lire pour comprendre : 

http://islam-et-nazisme.blogspot.fr/





En 2010, ayant eu connaissance de deux actes de délation par voie de presse, exposant cyniquement leurs victimes aux représailles d’islamistes, j’ai écrit le texte qui suit définissant les « nouveaux collaborateurs ».
Le prétexte donné à cette délation était des plus ridicule : il fallait, selon les délateurs « situer politiquement » les auteurs de textes critiques de l’islam, écrivant sous pseudonyme : pour cela, les délateurs auraient très bien pu se contenter d’indiquer quel type d’opinion lesdits auteurs auraient défendu, selon eux, sous un autre nom, quelle  activité politique ils exerceraient sous cet autre nom … mais nul n’était besoin de donner précisément ce nom.
L’extradition des pires criminels vers des Etats pratiquant la peine de mort, est interdite en Europe. La délation de personnes protégées par un pseudonyme, n’est rien d’autre qu’un acte de mise en danger délibéré de la vie d’autrui, exposant leurs victimes aux tueurs islamistes. Lorsque cette délation est commise par de soi-disant  héros actuels de la lutte antifasciste-antiraciste etc, contre des gens dont le seul crime … est de n’être pas du même avis qu’eux : c’est presque drôle, non ? En tout cas cela montre la vacuité de leur prétendue pensée antifasciste.
Pour actualiser mon texte, il faut préciser qu’entre temps, les juges hollandais, ayant entendu deux experts en matière de textes islamiques, le Pr Hans Jansen et la psychiâtre syrienne Wafa Sultan, ont acquitté Geert Wilders de toute accusation de racisme pour avoir affirmé que le coran est comparable à Mein Kampf. Lorsque j’ai écrit ce texte, je craignais que les juges hollandais n’agissent comme les juges belges et finlandais, c’est-à-dire  en refusant d’écouter des spécialistes du droit islamique, sous prétexte que ce droit est lié à une religion, donc à un domaine irrationnel,  et qu’il n’y aurait donc aucun « savoir » digne d’expertise à avoir pour juger d’affaires liées à l’islam ( Sur ces affaires, voir mon texte «l’Europe meurt de la fin des Lumières » http://elisseievna.blogspot.fr/2009/12/leurope-meurt-de-la-fin-des-lumieres.htmlet « un philologue condamné pour « atteinte à la paix religieuse » « http://elisseievna.blogspot.fr/2009/12/finland-un-philologue-condamne-pour.html?zx=e4a5f1944219970b)
S’il fallait un élément supplémentaire pour expliquer la comparaison que je fais comme Wilders entre islam et nazisme, entre délation face aux nazis et délation face aux islamistes, par voie de presse, je pourrais citer le réquisitoire contre Robert Brasillach :
« « Fondamentalement, conclut le Procureur Reboul, Brasillach avait l’âme d’un dénonciateur. Il avait dénoncé la Sorbonne parce qu’elle abritait des enseignants engagés dans la Résistance, il avait dénoncé des étudiants du lycée Lakanal qui avaient arraché un portrait de Pétain du mur de leur classe, il avait dénoncé un jeune homme de l’Hérault qui avait ridiculisé Pétain dans un discours du 14 Juillet.:
« Sans doute, vous n’êtes pas le dénonciateur qui va, en rasant les murs, toucher à la Gestapo le prix du sang, mais on peut aujourd’hui légitimement vous considérer comme un dénonciateur plus large, plus schématique, un dénonciateur d’une autre sorte, un dénonciateur presque officiel, car il suffit aujourd’hui à votre crime de ne pas pouvoir nous dire avec certitude si la Gestapo, après la lecture de vos articles — et elle les lisait — a négligé d’aller faire un tour en Sorbonne ou dans ce village de l’Hérault ou au lycée Lakanal. »
Brasillach fut condamné à mort : en temps de paix revenue, je suis contre la peine de mort, comme je condamne toute forme de punition d’ailleurs (mais ceci est un autre chapitre), je ne mentionne donc pas ce journaliste pour vanter sa peine, mais pour rappeler la condamnation morale dont il a fait l’objet à travers ce jugement. Ses actes étaient ignobles. Ceux des délateurs actuels le sont pareillement.
Surtout … quand ils perpétuent leurs actes de délation, ne retirent pas leurs délations par voie de presse, et dans le même temps, osent utiliser la justice pour se plaindre… du fait qu’on leur reproche cette action, ce crime qu’ils sont train de continuer !  L’ignominie et le cynisme atteignent là un comble.
Je terminais mon texte de 2010 en citant un article précédant sur certains partisans du califat, j’ajoute ici les éléments que j’ai mentionnés dans un autre article sur la politique menée, publiquement, par la deuxième organisation étatique internationale, l’OCI, et visant à la promotion de l’islam et de sa loi de part le monde.http://ripostelaique.com/acquittement-bouteldja-reponse-aux-magistrats-de-toulouse.html
Texte de 2010 :

Les nouveaux collaborateurs

Si les juges en venaient à condamner Geert Wilders, comme ils ont condamné Fanny Truchelut, comme ils auraient pu tout aussi bien condamner tous les enseignants et chefs d’établissement qui ont interdit le voile dans leur établissement, alors que la Cour Européenne explique par contre elle clairement que la religion ne peut pas justifier n’importe quel comportement, et qu’elle peut être restreinte au nom de la défense de la démocratie, alors il faudra en conclure que les juges se font les auxillaires de la justice islamique, pour laquelle en aucun cas, l’islam ne doit être critiqué ni les normes islamiques enfreintes.
Les nouveaux collaborateurs sont aussi tous ceux qui incitent les juges à punir ceux qui s’opposent à l’avancée de l’emprise de la loi islamique dans notre pays, en Europe, et tous ceux qui facilitent le travail des exécuteurs musulmans d’opposants à l’islam.
Il y a des gens comme Daniel Pipes, Paul Landau (http://www.ripostelaique.com/Pourquoi-je-soutiens-Riposte.html ), Ivan Rioufol maintenant (http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2009/09/pourquoi-il-faut-differencier.html ), qui pensent qu’il y a une différence entre islam et islamisme, mais la différence entre eux et ceux que je qualifie de  « nouveaux collaborateurs », c’est que ces trois personnes, en aucun cas, ne montent des dossiers d’accusation de racisme contre ceux qui défendent l’idée opposée.
Au contraire, Daniel Pipes soutient Anne-Marie Delcambre, Ivan Rioufol défend Louis Chagnon, et Paul Landau défend Riposte laïque.
Bien entendu sur le plan théorique, tout peut etre discuté, la question de l’éventuelle réforme de l’islam, de sa compatibilité avec la démocratie, de son éventuelle division entre un islam et un islamisme … mais en dressant dossiers et articles contre ceux qui parlent de l’islam (avec de réelles qualifications dans ce domaine, ce qui n’est pas leur cas !) les « nouveaux collaborateurs » ne sont pas dans le débat d’idée, mais ils jouent le rôle de procureur de la justice islamique, c’est-à-dire de complices directs des « islamistes », autrement dit, dans la collaboration active.
A force d’employer les méthodes des néo-fascistes antisémites on finit par devenir comme eux.
Je m’aperçois que certains deviennent bien devenue comme eux, comme l’antisémite et collabo notoire Henri Coston plus précisément : certains jugent bon de révéler que tel ou telle écrivant sous tel nom serait une autre personne, juive : autrement dit, ils passent de la collaboration « intellectuelle » à la dénonciation active pure et simple ! Ils dénoncent quelqu’un qui donc serait juif et anti-islamisme : que cela soit vrai ou pas, cela fait d’eux des collaborateurs et  des dénonciateurs de juif et de résistant à la mode du régime de Vichy, des pétainistes dans les actes.
Et que l’on ne vienne pas me parler de travail de journaliste ou de besoin de « situer » les gens, comme si pour « situer » des gens qui écrivent, il était besoin de se référer à autre chose que leurs écrits : en d’autres temps et circonstances peut etre, mais quand on sait très bien que les opposants à l’islam sont menacaés de mort, la dénonciation devient complicité de crime et rien d’autre – et aveu d’incapacité à répondre sur le fond aux arguments de ses contradicteurs.
Selon certains, on ne pourrait pas à proprement parler collaborer avec autre chose qu’un Etat : cela est faux, la collaboration consiste à faire le jeu d’une puissance ennemie, que cette puissance soit un Etat ou un ensemble de militants et d’occupants visant à imposer sa loi oppressive dans un pays qu’il veut soumettre, jusqu’à y prendre une part importante du pouvoir ou tout le pouvoir en oppressant les habitants. Or c’est précisément ce qui se passe par phase en France, puisque la loi islamique s’impose peu à peu dans différents domaines, modifiant peu à peu le rapport de force entre les français d’origine et la démocratie d’une part, et les militants de l’islam et les normes islamiques d’autre part. Les français sont privés par la terreur de liberté d’expression, contraint d’entretenir une population nouvelle (immigration familiale ou irrégulière) qui peu à peu prend le pouvoir politique par des naturalisations non liées à une assimilation, contraint de payer pour la construction de batiments islamiques, soumis à des incendies, agressions, menaces d’agression s’ils ne se soumettent pas à l’ »ordre islamique » dont parle Izetbegovic …
Certains prétendent que ma critique de l’islam est une forme de complotisme : il est d’autant plus gonflé de me mêler à cela, que je n’arrete pas de dire qu’ il n’y a PAS de probleme de « double langage » à débusquer, ni de « complot », ni de quoi que ce soit de « caché » de la part des musulmans observants : tout est écrit et explicite … il suffit de lire leurs écrits. Si nous, nous sommes trop paresseux pour lire, ce qu’ils se tuent à expliquer, ou et trop lâches pour accepter de comprendre ce qu’ils écrivent quand nous le lisons : ce n’est là vraiment pas leur faute.
Si selon les « intellectuels officiels » d’Europe, la critique de l’islam relève du complotisme, là la boucle est vraiment bouclée, Boukovsky voit confirmer ses analyses : c’est bien que l’Europe se soviétise à fond, en employant contre les « dissidents » les mêmes accusations diffamatoires et les mêmes menaces !
Voici ce que j’ai écris moi sur la notion de complot, pour montrer la différence entre l’islam, dont les textes prônent explicitement et publiquement la conquête du monde selon les ordres de dieu, non pas par perversion, mais pour le soumettre à la loi d’ »allah », et le judaisme, à qui nul n’a pu attribuer de projet d’hégémonie qu’en inventant des faux grossiers, comme le plagiat d’un essai sur un dialogue entre Montesquieu et Machiavel :http://elisseievna.blogspot.com/2010/02/vers-le-retour-du-califat.html
Elisseievna

Drôles de "féministes", drôle de "pro-mariage"

  Blog "Une vidéo par jour", hébergé par Yagg



Mannequin dénudés, Pornophiles, militantes pour les contrats de mères-porteuses, supporter d'une jeune fille ... dupée par la théorie du "complot sioniste"

Certaines féministes françaises jugent pertinent de :
- soutenir les Femen, ces mannequins aux attitudes de call-girl, qui aspergent de gaz d'extincteurs des enfants, crient à mort de Poutine et du Patriarche Kirill, soutiennent les Pussy Riots et leurs mises en scène porno devant enfants, puis les lâchent en courant ventre à terre parce que ces mêmes Femen ont dit trois mots anti-islam ..
- soutenir une jeune fille tunisienne, Amina, qui finira par lâcher des propos complotistes contre Israel,
- défendre les contrats de mères porteuses, pour ne rien refuser à leurs "copains gays", et peut être aussi ne pas déplaire à des amis dirigeants d'affaires importantes :  Pierre Bergé, Elisabeth Badinter, qui tous deux défendent la " GPA",
- fustigent comme "islamophobes" et "racistes" ceux qui critiquent l'islam et pas seulement l'islamisme ...

C'est byzarre comme ce genre de "féministes" me font penser à la photo de Nicolas Sarkozy dinant avec l'Emir du Qatar.

Quant aux "LGBT", "pro-mariage", "pro-mariage" : certains s'amusent d' une pub montrant un enfant manipulant un objet oblong, non destiné par nature aux enfants, refusant de voir le lien entre la présence de la pornographie "en famille" et l'inceste, refusant de voir l'agression sexuelle que représentait en soi cette publicité, la pub date de 2006, la "rigolade" date d'aujourd'hui, la "conspiration des oreilles bouchées"fonctionne toujours. A vomir.



























Notes sur le livre de Jean-Marie Elie Setbon


Quelques impressions au fil de la lecture.

Impression qu'enfant, il est devenu chrétien alors ses parents ne lui avaient "rien" transmis,
quand je compare à ce que je sais à cet âge,

Alors que sa famille a été protégée à Paris donc par des Français, y compris policiers dont il parle aussi dans son livre, il dit penser à l'adolescence que "la France a été collabo" :
pour ma part, toute ma famille avait été plongée ici en direct dans la guerre et à 8 ans je savais tres bien que "toute la France" n'avait pas été collabo, qu'il y avait des Résistants et des gens qui ne dénonçaient pas, qu'en particulier des catholiques avaient protegés des juifs,

Impression de ne pas avoir connu les mêmes juifs, quand il dit "les juifs haissent leurs ennemis" :
je n'ai jamais de jamais appris cela, au contraire, j'ai entendu  : " il ne faut pas se rejouir du malheur de l'ennemi",
je n'ai jamais entendu cela et pourtant en 1967 j'ai vu mes parents et grands parents, enfants et jeunes parents pourchassés pendant la guerre,  face à cette nouvelle guerre et la crainte de la disparition d'Israel ! ( Je rappelle qu'à époque, cela signifiait l'extermination des Israeliens ...)

Impression que Jesus, bien que masculin, est la face maternelle de Dieu :
en lisant la comparaison qu'il fait entre christianisme et judaisme, je suis frappée par l'idee que Dieu dans le judaisme, est la face masculine, paternelle de dieu, le Dieu qui dit aux juifs :
" Voilà mon gars,  je t'explique la loi, finis de la "penser" fais le monde avec moi, vas, vis, en t'en aidant, et bouge toi sinon coup de pied au cul, car t'en est cap "
( NB : Dans le judaisme, Dieu est censé s'être basé lui-même sur la Torah pour créer le monde, et le Talmud, la loi orale, n'est pas "finie" d'écrire ...)
 alors que Jesus est la face maternelle et féminine de Dieu qui dit :
 "Oui mon petit tu existes pour moi et je t'aime",
mais il n'y a pas d'opposition :  évidemment que la loi est donnée parce que dieu " le paternel" aime les humains, encore une fois, l'impression que c'est la "même religion" profondément ...

Texte de l'historien Daniel Pipes et ma réponse





To Daniel Pipes

I disagree with your article on the possibility to reform Islam
http://www.danielpipes.org/13033/can-islam-be-reformed  (hereunder)    : Your position is based on confusion and forget ... the Hell.

A) Confusion

At first lacks a definition of "Islam" :  What do you call precisely "Islam"? The Texts? Their meaning (s)? Their application at a particular time and place? The Muslims?  One or an other particular Muslim movement?  Islamic civilization?  If the "Islamism" distinguish it self from from "Islam": what is it?  Another "religion", another "cult", a separate Muslim movement? ..
Then, lacks a definition of "essentialism."
Confusion between the doctrine of Islamic ideology on the one hand and its application through history, the "History" of Muslims.
Confusion between doctrine and the people who have applied it. The Constitution of the United States is an ideology like Islam. It is not a country, nor is "Islam" a country.
Confusion between properties proper to people, and properties proper to texts and to the meaning of texts.
The word "essentialisation" is a critique of the theory that human beings of the same group are determined by their genes, that they have an essence and are not free to make in their lives. This is a strong word that is synonymous with racism. It was applied to conscious beings.
It does not apply to texts. The texts are not living beings, "conscious", autonomous. The texts have a meaning, a definitive meaning for the most when they have been written and finished. This sense is really their "essence". To deny the existence of this meaning,  one must fall into two errors.
1)
The first is to deny that the notion of "language" means that the texts have a common sense  understable by everyone,  to deny that it is impossible to give “ what ever meaning “ to a text,  impossible present it as if it meant exactly the opposite of what it says. The margin of interpretation is a "margin" only, unless for texts which are totally obscure, which have no sense, and therefore can be "interpreted" anyhow.
 The philosophy of language underlying this idea, is the formula often used that "everything is interpretation." If a text is just an interpretation, there is no law and there is more language because there is more common sense understood by everyone.
If one could to give “ what ever meaning “ to a law, to a normative term, there would be no law, there would be no rule of law, because no one would understand the meaning of "the law ", it would not be no longer a" law ".
This vision of the texts as infinitely flexible relate to two conceptions that do not have their place in the political debate on Islam. The first conception  concerns the language : this conception , as I have just shown, is incompatible with the concept of law. This is the "subjectivist" conception of the "language": the meaning of a text or statement exists only in the mind of every reader, it would be impossible to agree on a common sense for all speakers. At it extreme, it is the negation of language itself.
The second conception is an "autonomy" of the text, of the language, which is assimilated to a living being, who would have a "own life".  It is a magical and anti-human thought. Humans no longer would manufacture a common language and the history, they would be "acted" by "thetongue/language" ( “ lalangue” in French, expression of the psychoanalyst Jacques Lacan),  by the "sense of history", without even being able to think this language and history. In this conception, one could reproach the will to "essentialise" a text by empeaching it to have a free story. But then one can not at the same time say that this text would be "what Muslims do of it" because this text escapes them too, his "existence" is his own ... If the text is religious, then the reproach of essentialization means that the "true meaning" of religion is unknown by men and evolutionary, because only God would know and would let it be known, because "God knows best", but again, then, Islam is certainly not what Muslims do of it, but only what God wants.
2)
The second mistake is to believe that the elements of an ideology can be separated and studied independently of each other, regardless of their consistency and their converging influences on the reactions of their followers.
Islamic ideology is immutable for most of its worst provisions, for two reasons: these provisions are clear and sacred, and they form a system, a coherent system.
Islam is a doctrine totally oriented toward war and conquest. This is why it is sexist and violent. That is why it is opposed to reflexion, to the progress of reflexions. This is why it has "mad" aspects,  aspects of "double-bind". That is why it uses terror and guiltiness. That is why it flatters the lowest instincts.
Islam has for purpose to conquer to the benefit of God and his Ummah. This is why the woman has no value because if one bursts (dies), it can be replaced by a prize of war. This is why the strength is enhanced and not love. That is why love is repressed because men must be frustrated and badly  loved so they have the taste of blood. This is why compassion is repressed. This is why the dream of Muslims is merely a brothel of re-inflatable dolls. This is why it is forbidden to understand that acts of sadism of Muhammad are acts of sadism and not normal. This is why are needed the discipline of fast, the prayer in tight ranks, the control of all by all, the fear of hell for beginnings of reflexion. This is why is needed the bait of loot and details on the rights of men to rape women ...
Everything is so consistent, that any attempt to progress in one area is understand as an unbearable deviance away from the primary goal, unbearable because it is guilty, or unbearable because it deprives a pleasure that was taken for granted. This is why these attempts have failed repeatedly, this is why "Islam", that is to say the overall understanding of Islamic texts is "non-reformable" Liberal "reforms" exist but are incomplete, unstable and inconsistent, so they do not persist over time, anywhere.
The adaptation of Islamic law to the realities of a particular time does not change the key feature of Islam, which is a doctrine of war.
As a doctrine of war, it is quite realistic indeed, and for this reason, widely adaptable to circumstances. If adaptations achieve the basic purpose of the jihadist expansion, they will not be challenged, even by the "purists",  largely on the contrary. But as soon as the toughest laws prove themselves useful to expansion, they are reactivated.
Being a war doctrine, Islam is compatible with the borrowing of weapons, including weapons of propaganda to opponent : so are the borrowing 0to fascism. But fascism is not the "essence" of a new "religion" or "cult" that would be "Islamism": it only provides new tools for observant Muslims. The totalitarian aspect, that is to say, the global and terrorist aspect, exist from the beginning of Islam, it is not specific to the “islamists” movements. These “Islamists” movements  have the flexibility that Muslims have always have in accordance with the principle of deception, and realism that prevails in the texts of Islam.
So is the center, the meaning, the "essence" of the Islamic system, since it is this system that Muhammad and the four caliphs have exploited and that is the eternal model. The center of the doctrine, it purpose is well defined, it is the sense of the sacred texts of Islam and can not be "reformed", unless one pretend to present the texts as meaning the opposite of what they clearly mean both in their parts and as a whole.
I do not agree with your comparison with slavery and usury in Judaism and Christianity. First, because to put on the same level "law" in these two religions do not make sense. The problem of the interpretation of texts as "standard" arises only for the Jews. Then, because the texts were far from unequivocal on these two subjects. Then, and most importantly because these two issues are not central points or Judaism or Christianity. One can be Jewish or Christian, with or without interest or with or without slaves. While jihad and caliphate and discrimination against non-Muslims, slaves, women are crucial points of Islam, and are linked, they form a coherent system, undissociable elements.

B) Hell

There are debates in the Muslim world, so much the better: they will lead to the same conclusion that all those who have studied the texts of Islam do : when the central points of doctrine are bad and not marginal points,  and when the most of the texts are bad and not only a little part, when each reform faces major taboos, such as saying (or just thinking) that the words of Allah and most of behaviors of Muhammad are repellent, this doctrine is not "reformable", one have to replace it completely.
What does the phrase "Islam is what Muslims do of it ?" mean ? Does it mean that Muslims can give any meaning to the sacred texts, but then, as I just explained:  a text would not have a meaning ? Does it mean that they can act no matter how,  despite the texts? But then what is "Islam", if this "doctrine" no longer has any connection with the sacred texts?
It is absurd to ask the anti-Islamists  Muslims to develop a coherent ideology opposed  to "sharia, the Caliphate and the horrors of jihad “.
First, because opposing "Sharia" and Islam has absolutely no sense. The "Sharia", the way of Allah, is the "norm" of Allah, Fiqh is the formulation of this standard, as Islamic law is inseparable from "Islam," submission to God itself . What sense may have the sentence "Being obedient to God without being subject to the law of God"? It is possible that the formulating (wording) of the standard (Fiqh) is bad, but not whole. If it was bad as a whole, it would mean that all scholars would have been wrong since the beginning ? This would imply that Muslims should "follow the path of Allah" without being able to formulate it ? That would be absurd because if God must be obeyed it must be understood at least a minimum. The Quran itself speaks of clear verses ..
Then, to ask the anti-Islamist Muslims to develop a coherent and opposing "Sharia and the Caliphate to the horrors of jihad" ideology, is to ask them to think completely contradictory, against the meaning of texts. It is to ask them the Impossible, it's almost sadistic ...
What "trick" "Hyjal" may they invent?  Follow the path of the Sudanese engineer who claimed to give precedence to the verses from Mecca on the those of Medina ? It is against all logic of any lawyer. Any lawyer knows the last law  is the enacted law and repeals the previous law on the same subject.
It is true that we  can "invent" everything "in the language".  It is true that human beings can make of any doctrine "what they want to do". Being illogical,  act on the basis of "conventions", of "legal fictions" or moral fictions, pretending not to see the contradictions, is not a problem when it comes to social conventions. But Islam is not whatever doctrine, it is a faith, a dogma. Muslims are believers, they are afraid to disobey, they are afraid of Hell. It is impossible to ask them to invent conventions that go against the clear commands of Allah and would make them fear hell. Hell and the torments of the grave are a terrible fear. It is strictly unthinkable to risk going there.
So when a job is “not done nor to be done”, one have to throw it all over and do it again by beginning  ...
Ayaan Hirsi Ali  is not only right when she says that'' Islam is not reformable”, but also when she says that feminists (like me) must join forces with Christian, and that human solution to help Muslim believer is to "evangelize" (Judaism could be used as it is too complicated). The only way to convince a believer to reject the barbaric aspects linked to orders of his god according to his faith, is to prove him that his is mistaking himself about God, about conception of God, that there are other, more soft, and that his will even go to Hell if he follows the orders, not if he refuses to follow them.
Elisseievna

Can Islam Be Reformed?
History and human nature say yes

by Daniel Pipes
Commentary
July/August 2013

Islam currently represents a backward, aggressive, and violent force. Must it remain this way, or can it be reformed and become moderate, modern, and good-neighborly? Can Islamic authorities formulate an understanding of their religion that grants full rights to women and non-Muslims as well as freedom of conscience to Muslims, that accepts the basic principles of modern finance and jurisprudence, and that does not seek to impose Sharia law or establish a caliphate?
A growing body of analysts believe that no, the Muslim faith cannot do these things, that these features are inherent to Islam and immutably part of its makeup. Asked if she agrees with my formulation that "radical Islam is the problem, but moderate Islam is the solution," the writer Ayaan Hirsi Ali replied, "He's wrong. Sorry about that." She and I stand in the same trench, fighting for the same goals and against the same opponents, but we disagree on this vital point.
My argument has two parts. First, the essentialist position of many analysts is wrong; and second, a reformed Islam can emerge.

Arguing Against Essentialism

To state that Islam can never change is to assert that the Koran and Hadith, which constitute the religion's core, must always be understood in the same way. But to articulate this position is to reveal its error, for nothing human abides forever. Everything, including the reading of sacred texts, changes over time. Everything has a history. And everything has a future that will be unlike its past.

Only by failing to account for human nature and by ignoring more than a millennium of actual changes in the Koran's interpretation can one claim that the Koran has been understood identically over time. Changes have applied in such matters as jihad, slavery, usury, the principle of "no compulsion in religion," and the role of women. Moreover, the many important interpreters of Islam over the past 1,400 years—ash-Shafi'i, al-Ghazali, Ibn Taymiya, Rumi, Shah Waliullah, and Ruhollah Khomeini come to mind—disagreed deeply among themselves about the content of the message of Islam.
However central the Koran and Hadith may be, they are not the totality of the Muslim experience; the accumulated experience of Muslim peoples from Morocco to Indonesia and beyond matters no less. To dwell on Islam's scriptures is akin to interpreting the United States solely through the lens of the Constitution; ignoring the country's history would lead to a distorted understanding.
Put differently, medieval Muslim civilization excelled and today's Muslims lag behind in nearly every index of achievement. But if things can get worse, they can also get better. Likewise, in my own career, I witnessed Islamism rise from minimal beginnings when I entered the field in 1969 to the great powers it enjoys today; if Islamism can thus grow, it can also decline.
How might that happen?

The Medieval Synthesis

Key to Islam's role in public life is Sharia and the many untenable demands it makes on Muslims. Running a government with the minimal taxes permitted by Sharia has proved to be unsustainable; and how can one run a financial system without charging interest? A penal system that requires four men to view an adulterous act in flagrante delicto is impractical. Sharia's prohibition on warfare against fellow Muslims is impossible for all to live up to; indeed, roughly three-quarters of all warfare waged by Muslims has been directed against other Muslims. Likewise, the insistence on perpetual jihad against non-Muslims demands too much.

To get around these and other unrealistic demands, premodern Muslims developed certain legal fig leaves that allowed for the relaxation of Islamic provisions without directly violating them. Jurists came up with hiyal (tricks) and other means by which the letter of the law could be fulfilled while negating its spirit. For example, various mechanisms were developed to live in harmony with non-Muslim states. There is also the double sale (bai al-inah) of an item, which permits the purchaser to pay a disguised form of interest. Wars against fellow Muslims were renamed jihad.
This compromise between Sharia and reality amounted to what I dubbed Islam's "medieval synthesis" in my book In the Path of God (1983). This synthesis translated Islam from a body of abstract, infeasible demands into a workable system. In practical terms, it toned down Sharia and made the code of law operational. Sharia could now be sufficiently applied without Muslims being subjected to its more stringent demands. Kecia Ali, of Boston University, notes the dramatic contrast between formal and applied law inMarriage and Slavery in Early Islam, quoting other specialists:
One major way in which studies of law have proceeded has been to "compare doctrine with the actual practice of the court." As one scholar discussing scriptural and legal texts notes, "Social patterns were in great contrast to the 'official' picture presented by these 'formal' sources." Studies often juxtapose flexible and relatively fair court outcomes with an undifferentiated and sometimes harshly patriarchal textual tradition of jurisprudence. We are shown proof of "the flexibility within Islamic law that is often portrayed as stagnant and draconian."
While the medieval synthesis worked over the centuries, it never overcame a fundamental weakness: It is not comprehensively rooted in or derived from the foundational, constitutional texts of Islam. Based on compromises and half measures, it always remained vulnerable to challenge by purists. Indeed, premodern Muslim history featured many such challenges, including the Almohad movement in 12th-century North Africa and the Wahhabi movement in 18th-century Arabia. In each case, purist efforts eventually subsided and the medieval synthesis reasserted itself, only to be challenged anew by purists. This alternation between pragmatism and purism characterizes Muslim history, contributing to its instability.

The Challenge of Modernity

The de facto solution offered by the medieval synthesis broke down with the arrival of modernity imposed by the Europeans, conventionally dated to Napoleon's attack on Egypt in 1798. This challenge pulled most Muslims in opposite directions over the next two centuries, to Westernization or to Islamization.
Muslims impressed with Western achievements sought to minimize Sharia and replace it with Western ways in such areas as the nonestablishment of religion and equality of rights for women and non-Muslims. The founder of modern Turkey, Kemal Atatürk (1881-1938), symbolizes this effort. Until about 1970, it appeared to be the inevitable Muslim destiny, with resistance to Westernization looking rearguard and futile.
 But that resistance proved deep and ultimately triumphant. Atatürk had few successors and his Republic of Turkey ismoving back toward Sharia. Westernization, it turned out, looked stronger than it really was because it tended to attract visible and vocal elites while the masses generally held back. Starting around 1930, the reluctant elements began organizing themselves and developing their own positive program, especially in Algeria, Egypt, Iran, and India. Rejecting Westernization and all its works, they argued for the full and robust application of Sharia such as they imagined had been the case in the earliest days of Islam.
Though rejecting the West, these movements—which are called Islamist—modeled themselves on the surging totalitarian ideologies of their time, Fascism and Communism. Islamists borrowed many assumptions from these ideologies, such as the superiority of the state over the individual, the acceptability of brute force, and the need for a cosmic confrontation with Western civilization. They also quietly borrowed technology, especially military and medical, from the West.
Through creative, hard work, Islamist forces quietly gained strength over the next half century, finally bursting into power and prominence with the Iranian revolution of 1978–79 led by the anti-Atatürk, Ayatollah Khomeini (1902-89). This dramatic event, and its achieved goal of creating an Islamic order, widely inspired Islamists, who in the subsequent 35 years have made great progress, transforming societies and applying Sharia in novel and extreme ways. For example, in Iran, the Shiite regime has hanged homosexuals from cranes and forced Iranians in Western dress to drink from latrine cans, and in Afghanistan, the Taliban regime has torched girls' schools and music stores. The Islamists' influence has reached the West itself, where one finds an increasing number of women wearing hijabs, niqabs, and burqas.
Although spawned as a totalitarian model, Islamism has shown much greater tactical adaptability than either Fascism or Communism. The latter two ideologies rarely managed to go beyond violence and coercion. But Islamism, led by figures such as Turkey's Premier Recep Tayyip Erdoğan (1954-) and his Justice and Development Party (AKP), has explored nonrevolutionary forms of Islamism. Since it was legitimately voted into office in 2002, the AKP gradually has undermined Turkish secularism with remarkable deftness by working within the country's established democratic structures, practicing good government, and not provoking the wrath of the military, long the guardian of Turkish secularism.
The Islamists are on the march today, but their ascendance is recent and offers no guarantees of longevity. Indeed, like other radical utopian ideologies, Islamism will lose its appeal and decline in power. Certainly the 2009 and 2013 revolts against Islamist regimes in Iran and Egypt, respectively, point in that direction.

Toward a Modern Synthesis

If Islamism is to be defeated, anti-Islamist Muslims must develop an alternative vision of Islam and explanation for what it means to be a Muslim. In doing so, they can draw on the past, especially the reform efforts from the span of 1850 to1950, to develop a "modern synthesis" comparable to the medieval model. This synthesis would choose among Shari precepts and render Islam compatible with modern values. It would accept gender equality, coexist peacefully with unbelievers, and reject the aspiration of a universal caliphate, among other steps.
Here, Islam can profitably be compared with the two other major monotheistic religions. A half millennium ago, Jews, Christians, and Muslims all broadly agreed that enforced labor was acceptable and that paying interest on borrowed money was not. Eventually, after bitter and protracted debates, Jews and Christians changed their minds on these two issues; today, no Jewish or Christian voices endorse slavery or condemn the payment of reasonable interest on loans.
Among Muslims, however, these debates have only begun. Even if formally banned in Qatar in 1952, Saudi Arabia in 1962, and Mauritania in 1980, slavery still exists in these and other majority-Muslim countries (especially Sudan and Pakistan). Some Islamic authorities even claim that a pious Muslim must endorse slavery. Vast financial institutions worth possibly as much as $1 trillion have developed over the past 40 years to enable observant Muslims to pretend to avoid either paying or receiving interest on money, ("pretend" because the Islamic banks merely disguise interest with subterfuges such as service fees.)
 Reformist Muslims must do better than their medieval predecessors and ground their interpretation in both scripture and the sensibilities of the age. For Muslims to modernize their religion they must emulate their fellow monotheists and adapt their religion with regard to slavery and interest, the treatment of women, the right to leave Islam, legal procedure, and much else. When a reformed, modern Islam emerges it will no longer endorse unequal female rights, the dhimmi status, jihad, or suicide terrorism, nor will it require the death penalty for adultery, breaches of family honor, blasphemy, and apostasy.
Already in this young century, a few positive signs in this direction can be discerned. Note some developments concerning women:
  • Saudi Arabia's Shura Council has responded to rising public outrage over child marriages by setting the age of majority at 18. Though this doesn't end child marriages, it moves toward abolishing the practice.
  • Turkish clerics have agreed to let menstruating women attend mosque and pray next to men.
  • The Iranian government has nearly banned thestoning of convicted adulterers.
  • Women in Iran have won broader rights to sue their husbands for divorce.
  • A conference of Muslim scholars in Egypt deemed clitoridectomies contrary to Islam and, in fact, punishable.
  • A key Indian Muslim institution, Darul Uloom Deoband, issued a fatwa against polygamy.
Other notable developments, not specifically about women, include:
  • The Saudi government abolished jizya (the practice of enforcing a poll tax on non-Muslims).
  • An Iranian court ordered the family of a murdered Christian to receive the same compensation as that of a Muslim victim.
  • Scholars meeting at the International Islamic Fiqh Academy in Sharjah have started to debate and challenge the call for apostates to be executed.
  •  All the while, individual reformers churn out ideas, if not yet for adoption then to stimulate thought. For example, Nadin al-Badir, a Saudi female journalist, provocatively suggested that Muslim women have the same right as men to marry up to four spouses. She prompted a thunderstorm, including threats of lawsuits and angry denunciations, but she spurred a needed debate, one unimaginable in prior times.
Like its medieval precursor, the modern synthesis will remain vulnerable to attack by purists, who can point to Muhammad's example and insist on no deviation from it. But, having witnessed what Islamism, whether violent or not, has wrought, there is reason to hope that Muslims will reject the dream of reestablishing a medieval order and be open to compromise with modern ways. Islam need not be a fossilized medieval mentality; it is what today's Muslims make of it.

Policy Implications

What can those, Muslim and non-Muslim alike, who oppose Sharia, the caliphate, and the horrors of jihad, do to advance their aims?
For anti-Islamist Muslims, the great burden is to develop not just an alternative vision to the Islamist one but an alternative movement to Islamism. The Islamists reached their position of power and influence through dedication and hard work, through generosity and selflessness. Anti-Islamists must also labor, probably for decades, to develop an ideology as coherent and compelling as that of the Islamists, and then spread it. Scholars interpreting sacred scriptures and leaders mobilizing followers have central roles in this process.
Non-Muslims can help a modern Islam move forward in two ways: first, by resisting all forms of Islamism—not just the brutal extremism of an Osama bin Laden, but also the stealthy, lawful, political movements such as Turkey's AKP. Erdoğan is less ferocious than Bin Laden, but he is more effective and no less dangerous. Whoever values free speech, equality before the law, and other human rights denied or diminished by Sharia must consistently oppose any hint of Islamism.
Second, non-Muslims should support moderate and Westernizing anti-Islamists. Such figures are weak and fractured today and face a daunting task, but they do exist, and they represent the only hope for defeating the menace of global jihad and Islamic supremacism, then replacing it with an Islam that does not threaten civilization.
Daniel Pipes is president of the Middle East Forum.

July 7, 2013 update: Jeff Jacoby does an excellent job of summarizing this article in his Boston Globecolumn today under the title "What Is Islam?"

Justification infecte d'une affiche antisémite ...


La réalisatrice d'un film dont l'affiche est odieuse, montrant une araignée monstrueuse enserrant le globe terrestre avec le titre "Oligarchie et sionisme", tente de justifier le droit à la "caricature", alors que manifestement c'est "le Juif" que cette affiche désigne. Tout comme des affiches ignobles pour un livre intitutlé " la Mafia Juive". Voir ici : http://www.cercledesvolontaires.fr/2013/06/13/censure-du-film-de-beatrice-pignede-reponses-aux-propagandistes-sionistes/

Droit à la caricature, sur des affiches, pour animaliser des êtres humains en les présentant comme des monstres prédateurs des autres : certainement pas, c'est de l'appel au lynchage, la désignation du monstre à abattre, de l'appel au pogrom, rien de moins, insidieux, pas direct, mais c'est bien cela !

Je le dis avec d'autant plus de détermination pour défendre les juifs, que j'ai dénoncé avec la même force un dessin, qui n'était pas une affiche pourtant, mais publié sur le web, et qui visait une militante du voile dans l'entreprise, qui pourtant avait attaqué en justice, et ruiné la vie d'une femme ... ce dessin présentait cette militante musulmane sous la forme d'une sorte d'insecte rampant : j'ai alors dit combien ce dessin était odieux et insupportable. 


IGG
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MessagePublié: 26 Oct 2007, 02:10 
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AFFAIRE TRUCHELUT : DOUBLE OPERATION

1. Horia Demiati, née Nhari, il va falloir comprendre...
http://grouik-grouik.org/8/2007/10/affa ... ti-ne.html

2. Félicitations aux collaborateurs de la Barbarie
http://grouik-grouik.org/8/2007/10/affa ... s-aux.html

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elisseievna
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MessagePublié: 26 Oct 2007, 07:17 
des illustrations comme ça : non !

les doryphores, ça visait on sait qui,

d'accord il y a des voilées qui sont du même acabit que les allemands-nazis-doryphores, mais pas toutes les filles embringuées là dedans, et puis de là à les desiner en vermine !!!

  

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IGG
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MessagePublié: 26 Oct 2007, 07:55 
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@ Elissevina

Cliquer sur le dessin dans le site pour le voir en entier, et ne pas confondre doryphore et cafard.

"Cafard" est une insulte typiquement mahométane par déformation de "kafir"...

Ceci étant, désolé, mais le rapprochement entre islam et nazis, collabos des uns et des autres, avec comme élément clé la justice, il me semble que la REALITE se charge tous les jours de nous le donner.

Et puis celle-là, c'est une victime ou bien c'est Fanny Truchelut la victime ?

Pour terminer, on n'est pas obligé de faire l'action si on ne la comprend pas... ou si on ne comprend pas le dessin de Steph Bergol (visiter son site pour comprendre que ça n'a rien à voir avec les rapprochement que vous faites).

Et disons qu'il faudrait peut-être apprendre à être enfin un peu plus productif quand on propose des choses et ne pas tirer à boulets rouges sur ses petits camaradfes pour cause de rapprochements que l'on fait soi-même tout seul dans son coin au réveil... (rassurez-vous, cela m'est arrivé aussi) -> les messages privés ne sont pas faits pour les doryphores ! :D

Enfin, nos actions sont juste des suggestions (on a aussi proposé une option carte-postale). On peut améliorer, on peut choisir de ne pas imprimer le dessin, on peut aussi proposer d'autres actions si on a mieux en tête, on peut écrire soi-même une lettre manuscrite, on peut FAIRE plein de choses (ou on peut continuer de s'entre-critiquer mutuellement, ce qui certes permet de passer la journée à ne rien faire).


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elisseievna
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MessagePublié: 26 Oct 2007, 08:16 
toutes les vermines ne sont pas des doryphores, mais oui :
je cite les doryphores, parce que c'est une metaphore utilisée par Pierre Dac, par la resistance de Radio Londres, après et pendant une époque où cette réduction d'humains à des vermines avait justement abouti à la Shoah,
j'explique pourquoi l'utilisation par la Résistance de cette image de mangeurs de pomme de terre (pilleurs de la France occupée) était admissible.
Mais pas la vôtre, désolée, en tout cas pas appliquée à toutes les voilées : ce que vous ne comprenez pas, c'est que : 1 - un message rendu public doit tenir compte de sa mé-comprehension possible, et que 2 - à la différence des soldats de la Wehrmacht (les "doryphores"), la tactique des islamistes consistent à utiliser la naïveté des voilées, qui ont le sentiment de ne porter qu'un voile, et qui ne sont pas des soldates armées, et à les mettre au premier rang pour les présenter ensuite en victimes !
Avec cette caricature vous rentrez dans leur jeu.

  

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IGG
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MessagePublié: 26 Oct 2007, 08:35 
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Contrairement à vous, sans doute, je ne fréquente pas assez les islamistes pour tirer des leçons sur leurs stratégies avec (toutes) les embâchées.

Pour le reste, je vous laisse avec votre psychanalyse de texte. Je suis désolé, mais nous n'écrivons ni pour les mal comprenants, ni pour ceux qui n'agiront jamais en rien, ni pour les barthésiens qui s'autorisent à analyser toujours ce qui n'est pas dit et jamais ce qui est effectivement dit (et d'ailleurs, ce n'est pas un hasard si Barthes détestait Voltaire), ni enfin pour ceux qui non contents de n'agir en rien, passent leur temps à critiquer en public leurs petits camarades qui font des choses pour cause de virgule mal placée, histoire de bien leur casser leur action (on ne sait jamais, ça pourrait marcher).

Je vous apprécie Elissevina, mais là, vous feriez mieux d'aller vous recoucher.

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elisseievna
 Sujet du message:
MessagePublié: 26 Oct 2007, 08:41 
J'ai fait un plaidoyer pour Fanny Truchelut que tout un chacun et chacune peut envoyer à ses interlocuteurs préférés, mais il n'est besoin pour cela d'insulter et en encore moins de caricaturer en animal personne !

L'enjeu juridique de l'affaire du gîte des Vosges - Riposte Laique
Riposte Laique 
http://www.ripostelaique.com/

GITE DES VOSGES
L’enjeu juridique de l’affaire du gîte des Vosges
mercredi 17 octobre 2007, par Elisseievna


Du point de vue juridique, deux points importent dans l’affaire du gîte des Vosges :
1 : Fanny Truchelut n’a pas commis de délit ;
2 : L’enjeu de cette affaire est la conservation du droit de s’opposer à un comportement prescrit par la loi islamique.

Un ancien président du MRAP, Alain Callès estime que « la loi contre le racisme ne peut pas être dévoyée de sa fonction et de son esprit par un tour de passe-passe sémantique qui aboutirait à cette situation paradoxale : condamner les adultes qui combattent le sexisme et l’obscurantisme qui le sous-tendent ! ». Je montrerai que ce « tour de passe-passe sémantique » consiste en une confusion entre « pensée » et « acte », qui sont – sauf à revenir à la pensée magique primitive – deux réalités distinctes, auxquelles le droit français donne des effets tout à fait différents.
L’enjeu de l’affaire du gîte des Vosges n’est pas seulement le nombre de lieux où le voile devrait être accepté. Si Mme Fanny Truchelut devait être condamnée définitivement, c’est toute opposition à un comportement d’observance de la loi islamique, y compris les actes tendant à l’instauration d’un ordre islamique en France, qui deviendrait punissable.

LE DROIT ACTUEL

Ecartons tout d’abord une idée fausse trop répandue à la suite de la loi de 2004 sur l’interdiction du voile à l’école. Le fait que la loi interdise le voile à l’école, ne signifie pas qu’il serait interdit de l’interdire ailleurs.
Le principe du droit français est la liberté, y compris la liberté du commerce. Les hôteliers sont libres d’exiger une tenue « de soirée » lorsqu’ils organisent des fêtes, tout comme ils étaient libres jusqu’à récemment d’interdire ou d’autoriser de fumer. Il n’y a pas à ce jour de loi interdisant d’interdire le voile, donc la liberté d’interdire le voile existe.

Mme Fanny Truchelut est accusée d’avoir refusé un service à une personne en raison de sa religion.
Code pénal :
Article 225-1 :
« Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison de (...)de leurs opinions politiques, (...) de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée. »
Article 225-2 :
« La discrimination définie à l’article 225-1, commise à l’égard d’une personne physique ou morale, est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 Euros d’amende lorsqu’elle consiste : 1º A refuser la fourniture d’un bien ou d’un service ; (...)
4º A subordonner la fourniture d’un bien ou d’un service à une condition fondée sur l’un des éléments visés à l’article 225-1 ; (...)
Lorsque le refus discriminatoire prévu au 1º est commis dans un lieu accueillant du public ou aux fins d’en interdire l’accès, les peines sont portées à cinq ans d’emprisonnement et à 75 000 Euros d’amende. »

Une infraction pénale est définie par un certain nombre d’éléments. Cette définition doit être entendue dans un sens limitatif, et non étendue par analogie à des actes voisins ou liés aux éléments de l’infraction, mais qui n’en font pas partie. Pour que l’infraction soit commise, il faut que tous les éléments de l’infraction soient présents. Or ils ne le sont pas ici.

Fanny Truchelut a pris la réservation de Horia Demiati, sans s’inquiéter de savoir si son nom pouvait laisser supposer une foi musulmane ou pas. Elle avait déjà accueilli des musulmans dans son gîte. Lorsque Horia Demiati et une autre femme de sa famille se sont présentées voilées, elle leur a dit que le voile devait être retiré dans la salle commune du gîte. Elle ne leur a pas refusé de location. Horia Demiati a décidé de partir, alors qu’elle aurait pu rester en enlevant son voile. Il n’y a pas de refus de service de la part de Fanny Truchelut.

Examinons le deuxième élément : distinction à raison de la religion, croyance (ou de l’opinion politique). Ce que la loi désigne ici, c’est une pensée, une croyance, une « opinion » religieuse, et non tout acte lié à cette foi, non tout acte d’observance d’une loi « religieuse ».
Il n’a en effet jamais jusqu’à présent en France été question d’autoriser tout comportement « justifié » par la loi « de dieu ». Les sacrifices humains, l’anthropophagie, ou l’instauration d’une dictature théocratique (califat), ne sont pas autorisés sous prétexte qu’ils seraient une obligation religieuse aztèque, kanaque ou autre ; islamique, par exemple.

La plainte portée contre Fanny Truchelut indique qu’elle est poursuivie « aux Motifs : ... Refus de la fourniture d’un service .. à raison de son appartenance ou non à une religion déterminée, au motif que les deux femmes portaient le voile ». (Les accusations de discrimination à raison de la race ou de l’ethnie n’auraient pas été retenue par le tribunal.)
Cette formulation est en elle-même l’aveu de l’absence d’un des éléments constitutifs : ce n’est pas en raison de la religion qu’il y aurait eu refus de service, mais « au motif que les deux femmes portaient le voile », autrement dit pour une autre raison que celle dont la loi fait un élément de l’infraction.
On peut ainsi déduire de la rédaction de la plainte elle-même que les accusateurs « savent » que la véritable raison de la demande de Fanny Truchelut ne tient pas à la croyance, à la religion en elle-même de Horia Demiati, mais à un autre fait.
Certes on peut se demander si le refus d’accepter le voile, acte d’observance de l’islam (du moins selon la conception de Horia Demiati), n’est pas « l’indice » d’une raison autre qui serait la foi, l’opinion religieuse ou politique elle-même. Mais dans ce cas, il incomberait à l’accusation de prouver que la véritable raison de l’attitude de Fanny Truchelut n’est pas celle qu’elle a indiquée.

Ce que signifie cette rédaction, c’est que selon les accusateurs :
d’une part, la « religion », la croyance serait la « même chose » que l’acte d’observance de cette religion qu’est le port du voile. Il y a ici une confusion entre pensée et acte.
d’autre part, le refus d’accepter un acte d’observance d’une religion constituerait une présomption irréfragable ( une présomption dont on ne peut apporter la preuve contraire), d’une discrimination en raison de la croyance, de la pensée religieuse elle-même.

Certains, entrant dans la première de ces confusions entre pensée et acte, en viennent à se poser la question de savoir si le port du voile est une obligation de la loi musulmane, pensant que si tel n’était pas le cas, alors il n’y aurait pas de discrimination. Mais cette question « théologique » et de droit musulman, n’a rien à faire dans le débat. Quelle que soit l’opinion de Horia Demiati sur le voile et sa validité au regard du droit islamique, aucun service ne saurait lui être refusé en raison de cette opinion quelle que soit sa véracité.

La seule question qui est posée est de savoir si son comportement, le port du voile en l’occurrence, rendait ou non sa demande de service acceptable, ou abusive.
En effet, la rédaction de l’article 225 qui met en parallèle « religion » et « opinion politique », montre bien que le critère dont la loi refuse qu’il soit discriminant, est bien la pensée de la personne, et non les actes qui peuvent en découler.
Si une femme enlève son voile, elle ne perd pas sa foi pour autant. Fanny Truchelut en demandant d’enlever le voile signifiait par là même qu’elle accepte la présence d’une femme dont elle connaît la confession musulmane, dès lors que son comportement est compatible avec la résidence dans un gite.

Or c’est bien là que le problème se posait. Le voile n’est pas compatible avec la convivialité à préserver dans un lieu de vie commune qu’est un gîte.

A l’évidence le voile est en soi la négation de la mixité, qui représente un usage très ancien en France, un aspect essentiel de la convivialité.

Le voile est surtout un comportement angoissant pour les autres, une violence psychologique, une agression quasi sensorielle. En imposant la vision d’une femme dont le corps est ainsi enfermé, c’est cette angoisse d’enfermement que l’on fait ressentir par identification, au corps et à la conscience des autres ...
L’angoisse que provoque cette vision vient aussi du fait que chacun sait, depuis les luttes féministes, que l’inégalité des droits, du droit d’être libre dans son corps notamment, est liée aux violences envers les femmes.
Cette relation est confirmée lorsque l’on connaît la loi islamique qui prescrit de « frapper » les femmes récalcitrantes (coran IV, 34 ou 38), et qui prend la peine de détailler (coran II, 223, cf jurisprudence ou « tradition » islamique l’explicitant) quelle position sexuelle humiliante peut être imposée à une femme, et quelle autre ne le peut pas ...
Toute l’actualité rappelle au simple spectateur du « 20 h » que « le voile est tâché de sang » (André Glusckmann), du sang de celles qui refusent le porter ou de se soumettre aux lois islamiques discriminatoires.

L’angoisse, le malaise créé par la vision d’une femme voilée est accrue par l’autre aspect du voile : celui d’étendard de l’islam dans ses aspects politiques.
Ici il faut faire un aparté pour expliquer quelques aspects du contenu de la doctrine politico-religieuse islamique : en effet sans cette connaissance, le sens du port du voile que nous allons indiquer ci- dessous, pourrait paraître extravagant.
L’islam est un mouvement politico-religieux qui vise à l’instauration de « l’ordre islamique », la loi islamique, loi de dieu, la « charia », une loi prônant l’inégalité entre hommes et femmes, ainsi qu’en musulmans et non musulmans. L’islam fait obligation aux musulmans de « lutter/ faire des efforts » (Jihad) pour que « la Religion entière soit à Allah », efforts par le corps (combat / qital), par les biens, ou par la langue. La lutte pour l’expansion de l’islam sur le monde entier par de multiples moyens fait donc partie des obligations religieuses du musulman, de l’observance de la foi musulmane. Mahomet alla jusqu’à se vanter d’avoir vaincu ses adversaires « par la terreur ».
Que signifie donc le port du voile compte tenu de cette doctrine islamique.
Les juristes musulmans répondent aux mêmes : pour eux le port du voile est une obligation, en raison à la fois de la pudeur à préserver, et de l’obligation de se distinguer des non musulmans, de ne pas faire partie de leur peuple : « le Message d’Allah m’a vu porter deux habits teints en rouge, il m’a dit « ceci fait partie des habits des mécréants, ne les porte plus » car « quiconque imite un peuple en fait partie ».

Certains de nos juristes ont estimé que le port du voile n’était pas en soi un acte prosélyte. Si l’on entend par « prosélyte » le fait de porter la bonne parole, alors certes le voile n’est pas prosélyte : il est en fait le signe d’un marquage « communautariste » ( la « oumma ») et d’une présence « en force » sur un territoire, il est un acte d’intimidation.
D’autres parmi nos juristes ont estimé pour leur part, que « le port du foulard islamique, est, par la signification qu’il a nécessairement, incompatible avec l’ordre public français », l’ordre public étant entendu comme « l’ensemble des normes qui correspondant aux exigences fondamentales, sociales, politiques et morales, qu’une société considère comme lui étant consubstantielles et qui sont les principes mêmes de son ordre juridique. ». La signification qu’ils attribuent au voile étant :
« la signification d’un acte, non de prosélytisme, mais de pression sur les correligionaires ou supposées telles de celles qui arborent ce foulard ; une signification politique ; la signification d’une communion idéologique avec des mouvements qui même s’ils ne sont pas toujours extrémistes dans les moyens qu’ils prônent ont pour projet la subversion de nos principes politiques ; et la signification de l’affirmation par celles qui le portent d’un système de valeurs incompatibles avec l’ordre public au sens précédemment exposé. »

Si l’on additionne ces deux aspects du voile, l’agression psychologique et la menace politique, et si l’on connaît le discours méprisant de nombre d’ « islamistes » pour les moeurs et les femmes « occidentales » (tel cet imam prétendant que les femmes occidentales s’accouplent avec des singes et des chiens et que plus de la moitié des Danoises ne connaît pas l’identité du père de leurs enfants ...), on peut résumer en ces termes le message du voile :
« Ici règne la loi qui fait des femmes des inférieures, devant cacher leur corps, voici cette femme qui obéit à cette loi et bientôt ce sera à toi, la putain qui refuse de rester à ta place, d’y obéir".
Ce message outrageant est tout ce qu’il y a de contraire à la politesse la plus élémentaire, à toute ambiance de convivialité.

Faut il penser que seuls des érudits en matière d’islam ou de géopolitique peuvent comprendre la signification de ce message, et qu’une femme non spécialiste comme Mme Truchelut n’aurait pas pu lui attribuer un tel sens ? Aucunement, car tout le sens est donné par le fait de « résumer » la loi islamique en montrant l’inégalité « en action », « sur pied », dans le corps des femmes recouvertes.
Le voile est un symbole facile à comprendre par toute personne et choisi par les "islamistes" pour sa simplicité. Il est fait pour être compris immédiatement par tout le monde. En bon propagandistes, les musulmans militants savent que "le viol des foules par la propagande politique" passe par l’utilisation de tels symboles.

En réalité si les lois antiracistes ont pu faire l’objet d’un tel « tour de passe- passe sémantique », c’est que la réalité recouverte par le mot « Religion » en Europe est bien différente de celle de la doctrine islamique. Refuser de louer à un chrétien parce qu’il porte une croix peut raisonnablement être vu comme une présomption d’une discrimination à raison de sa foi. Mais le fait de porter une croix ou de refuser le poisson le vendredi, n’a rien à voir avec l’observance de la foi selon l’islam, qui va, comme on l’a dit jusqu’au combat pour renverser la démocratie, y compris par l’utilisation de moyens d’intimidation et de démoralisation des infidèles, tel que le port du voile ou des procès abusifs...

LA PORTEE D’UNE JURISPRUDENCE TRUCHELUT

Dès lors, que l’on prenne bien la mesure de la portée qu’aurait une « jurisprudence Truchelut » si nos cours d’appel et de cassation l’entérinaient.
Ce que les musulmans militants veulent faire dire à la Halde et aujourd’hui à nos juges, ce serait que tout acte accompli dans l’observance de l’islam, doit être accepté en tant que simple croyance : cette prétention repose sur la confusion entre la conscience et les actes.
S’ils parvenaient à leur fin, cela voudrait dire que l’instauration de la loi islamique en France devrait être admise au nom du respect des croyances, (car ce qu’un bon musulman doit croire et promouvoir selon l’islam, c’est l’instauration de la loi islamique sur le monde entier), et que tout acte s’opposant à l’instauration et à la mise en oeuvre du droit islamique en France, serait un acte réputé de haine envers les musulmans, et condamné par nos propres lois anti-haine, anti-racistes et anti-discrimination.

La confusion entre pensée intime et actes est une aberration totale pour un juriste français.
Nos textes sur la liberté de conscience reposent sur la distinction entre l’intime de la pensée, de la croyance interne, et les actes
La distinction du droit et de la morale qui existe dans le droit français ne signifie pas que le droit n’aurait pas son substrat dans une ou des conceptions morales, mais elle signifie que les individus sont protégés de l’immixtion de l’Etat dans leur conscience intime, que la pureté de leurs intentions morales ou de leurs croyances n’a pas à être prise en compte par l’Etat. Autrement dit en clair : qu’on ne les brûlera pas parce qu’ils n’ont pas telle ou telle croyance, et que quand bien même ils adoreraient Satan ou l’anti-monde, ils ne seront pas torturés pour l’avouer, ils ne seront pas brûlés en place publique : l’Etat doit y être indifférent, cela ne concerne pas le droit d’un Etat de droit.
Par contre, les actes concernent le droit, les actes concernent l’Etat.
Les actes subversifs tendant à renverser nos libertés et droits démocratiques sont à combattre par nos Etats. Les actes blessants autrui sont condamnés et sanctionné par l’Etat, que ce soit, dans un nombre de cas limités, pénalement, ou bien civilement.
Refuser que l’on utilise un lieu commercial, en portant le voile ou en faisant le salut hitlérien, c’est s’opposer à un acte insultant, agressif, subversif, cela n’est pas refuser un service à raison des convictions intimes musulmanes ou nazie de la personne demandant à acheter un service.
Nos loi anti-racistes et anti-discriminations interdisent que l’on tienne compte des convictions intimes religieuses ou politiques, ou de l’origine « raciale », pour refuser un service, mais en aucun cas elles n’interdisent que l’on tienne compte du comportement des clients et que l’on refuse un service à des clients dont le comportement rend la demande abusive.

L’attitude de Fanny Truchelut, n’est pas seulement conforme à la loi française, elle est IR-RE-PRO-CHA-BLE.
Elle n’est pas « naïve », elle est au contraire profondément imprégnée de l’intelligence du droit français. Mme Truchelut a suffisamment d’expérience professionnelle et de conscience historique pour comprendre l’essentiel du droit français, et de son sens.

La voie de la confusion entre acte et pensée a malheureusement été ouverte au moment du débat sur le voile à l’école, par ceux qui refusaient de reconnaître dans le voile un comportement sexiste, un acte politique de prosélytisme contre les droits des femmes. La misogynie de certains laïcards, nous la payons aujourd’hui.
En réduisant le voile à un « signe d’appartenance », à un pur symbole, en gommant, en niant l’acte attentatoire à la liberté qu’il constitue, on est entré dans l’enchaînement de la négation des actes commis par les musulmans, de l’assimilation insensée entre leurs actes et la simple croyance à l’islam, ce qui nous mène tout droit à une prétendue obligation de tolérer tous les actes – et donc d’accepter l’application par eux de la loi islamique - au nom d’une tolérance envers leur croyance.

Comprenons bien ceci :
Si tout acte réalisé en accord avec la loi islamique devait être nié en tant qu’acte, et assimilé à une simple « croyance intime », à une simple « conviction religieuse ou politique », et donc, si toute personne s’opposant à un tel comportement, devait être condamnée pour « racisme anti-musulman », alors c’est tout acte d’opposition à l’instauration de la charia en France qui serait déclaré punissable.

Aussi aberrante que soit la situation à laquelle aboutit une telle jurisprudence, elle est bien celle là. Il faut que nos juristes comprennent bien la portée de leur décision. Ce qui est plus aberrant encore est qu’elle ne leur soit pas apparue déjà.

Le port d’un voile est un acte, un acte condamnable, moralement et par le droit, car il est contraire à notre ordre public.

Tous les actes tendant à instaurer un rapport de force permettant l’instauration de la loi islamique doivent pareillement être reconnus – et non déniés – comme des actes tendant à renverser nos institutions et il est non seulement légitime de les condamner, mais il est du devoir de nos Etats, de ses juges et de chaque citoyen de s’y opposer.

Si des lois anti-racistes et anti-discrimination doivent être utilisées, ce doit être pour condamner les textes et actes prônant le racisme et les discriminations, et à ce titre, ce sont quantité de textes islamiques, dont le coran et nombre de hadiths, qui devraient faire l’objet de poursuites pour incitation à la haine et à la violence.

ELISSEIEVNA




Il se trouve qu'il est approuvé par un juriste également :



http://denismerlin.blogspot.com/2007/10 ... et-la.html

http://denismerlin.blogspot.com/2007/10 ... ation.html

http://denismerlin.blogspot.com/2007/10 ... helut.html

  

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IGG
 Sujet du message:
MessagePublié: 26 Oct 2007, 08:54 
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Messages: 76
elisseievna a écrit:
J'ai fait un plaidoyer pour Fanny Truchelut que tout un chacun et chacune peut envoyer à ses interlocuteurs préférés, mais il n'est besoin pour cela d'insulter et en encore moins de caricaturer en animal personne !


Vous ne comprenez rien à la satire, que vous confondez avec l'insulte, exactement comme les islamistes. Vous ne comprenez guère plus à la caricature, et vous ne devez absolument rien comprendre à l'ironie. Relire d'urgence quelques grands classiques de la littérature avant de dire n'importe quoi : on se croirait chez la Perdrix là ! Je ne peux en attendant que vous déconseiller fortement de lire le Blog du Cochon Hallal.

Le Bêbête-show, ce n'était pas très fin, mais donc, pour vous, c'était pire que de l'insulte ? Diable... il l'a échappé belle le Roucas !

Quant à comprendre la force d'un texte satirique par rapport à une ronflante dissertation, je pense que ça vous passe par dessus la tête. Ce n'est pas grave, il en faut pour tous les gouts.

Bref, mettez votre texte sur votre blog, ajoutez quelques adresses utiles (vous pouvez reprendre les nôtres, nous n'en sommes pas propriétaires), et on mettra un lien.

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elisseievna
 Sujet du message:
MessagePublié: 26 Oct 2007, 09:13 
J'ai lu des articles de votre blog, en particulier sur l'exposition d'art guerrier musulman, encore un scandale qui n'a pas fait surface, mais je ne suis pas du tout d'accord sur les caricatures,

pour moi ce sont les caricatures des années 30 qui ont permis la shoah, point à la ligne, et je me contrefous des justifications pseudo intellectuelles de l'utilisation de ces dessins.
Je ne crois pas une seconde à une efficacité par ces moyens là, je crois que la fin est dans les moyens.

L'article est mon blog :
http://elisseievna.blogspot.com/2007/10 ... tpwww.html

  

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IGG
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MessagePublié: 26 Oct 2007, 09:22 
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Vous n'aimez pas la caricature, on ne va pas vous en vouloir pour ça. Mais vous voulez que je vous dise un truc ? Sans l'invention du chemin de fer, il n'y aurait pas eu de Shoah non plus : alors, maintenant, il va falloir se passer de prendre le train.

A votre avis, ce dessinateur a-t-il comparu au tribunal de Nuremberg ?

[img]http://www.rpsl.org.uk/images/pig/hitler_pig.gif[/img]

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IGG
 Sujet du message:
MessagePublié: 26 Oct 2007, 09:41 
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Inscrit le: 01 Sep 2007, 02:44
Messages: 76
elisseievna a écrit:
Je ne crois pas une seconde à une efficacité par ces moyens là, je crois que la fin est dans les moyens.

L'article est mon blog :
http://elisseievna.blogspot.com/2007/10 ... tpwww.html


Libre à vous de croire ou de ne pas croire. Mais je crois pour ma part que vous ne comprenez strictement rien à ce que nous faisons car si vous aviez compris ne serait-ce qu'un tout petit peu, vous vous seriez épargné la peine de venir chipoter sur des virgules.

Bref, et on en fait quoi de votre article efficace ? Parce que au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, à chaque action que nous proposons estampillée SITA, correspond une ou plusieurs adresses, ce qui nécessite souvent un surcroît de travail de plusieurs heures, soit dit en passant.

On lit, on oublie, on passe à autre chose et on laisse tout ça dans le virtuel ou on envoie à quelqu'un qui ne manquerait pas d'être très intéressé par votre prose - personne qui jamais n'aurait eu l'idée de venir vous lire, mais qui peut-être y réfléchira à deux fois la prochaine fois qu'elle sera tentée de faire de la propagande pro-islamiste, et qui avec un peu de chances amènera des tas de nouveaux lecteurs qui jamais n'auraient eu l'idée de chercher à savoir ce qu'est l'islam sur internet si on ne les avaient un peu aidés.

Maintenant, au cas où vous ne l'auriez jamais vu :
http://sitathon.blogspot.com/ (articles 2, 3 ou 4)

Est-ce que tout ceci est assez clair ou vous faut-il encore des précisions ?

Permettez néamoins de vous aider un petit peu à améliorer votre culture littéraire bien déficiente. C'est un des textes de référence du Blog du Cochon Hallal qui vous expliquera peut-être mieux que moi la force de la satire par rapport à la dissertation :
http://lpbvh.blogspot.com/2006/02/beaum ... ge-de.html

Bonnes méditations.


Dernière édition par 
IGG le 26 Oct 2007, 09:45, édité 1 fois au total. 
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zebulon
 Sujet du message:
MessagePublié: 26 Oct 2007, 10:46 

Inscrit le: 15 Fév 2006, 19:13
Messages: 33
elisseievna a écrit:
des illustrations comme ça : non !

les doryphores, ça visait on sait qui,

d'accord il y a des voilées qui sont du même acabit que les allemands-nazis-doryphores, mais pas toutes les filles embringuées là dedans, et puis de là à les desiner en vermine !!!

Cette bâchée des Vosges est une militante islamiste donc bien du même acabit que les allemands-nazis-doryphores et dire que le cafard stigmatise TOUTES les bâchées ressort clairement du procès d'intention envers IGG.

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FFL
 Sujet du message:
MessagePublié: 26 Oct 2007, 11:11 
De Poulet
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Inscrit le: 04 Mar 2006, 03:15
Messages: 6550
Il me semble que la caricature n'est pas celle d'une musulmane "en général", mais celle de Horia Demiati? En tout cas le torchon péricéphale bicolore ressemble à celui qui figure sur la photo d'icelle.

Donc il n'attaque pas toute une catégorie, mais bien une personne en particulier en raison de son comportement belliqueux.

Quoi qu'il en soit, ce n'est qu'un dessin. Le rapprochement au bébête show est très juste.

Par contre cher IGG, la lettre proposée est assez menaçante et, même si votre colère est compréhensible et même partagée, il me semble que vous ne devriez pas tomber dans la menace, réaction exagérée et d'ailleurs totalement inutile. Exprimer une désapprobation c'est une chose. Menacer, c'en est une autre et c'est excessif. Ne serait-ce que pour votre sécurité juridique. En plus les menaces ne servent pas à grand chose contre des fanatiques religieux. Sauf à ce qu'elles soient suivies d'effet, ce qui j'en suis sûr n'est pas votre intention. :wink:

Bien à vous.

_________________
François Eiffel (F. Eiffel / FFL).

""Un homme est grand dans la mesure où, placé entre l’illusion et la douleur, il choisit la douleur." Thibon

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Delcambre
 Sujet du message:
MessagePublié: 26 Oct 2007, 12:29 
FFL a écrit:
Il me semble que la caricature n'est pas celle d'une musulmane "en général", mais celle de Horia Demiati? En tout cas le torchon péricéphale bicolore ressemble à celui qui figure sur la photo d'icelle.

Donc il n'attaque pas toute une catégorie, mais bien une personne en particulier en raison de son comportement belliqueux.



Je viens de lire la lettre et là cela peut être assimilé à des menaces : le nom , l'adresse, la caricature. C'est vraiment n'importe quoi.
Ensuite c'est André Dufour ou moi-même qui allons devoir rendre compte de cette initiative. Attaquer les textes, oui, mais une personne précise, NON. Mais merde alors , c'est vraiment importe quoi. Je n'ai jamais regardé ce fil mais l'administrateur sera content quand une personne de 85 ans paiera pour ce genre de prose attaquant une personne précise. C'est une attaque ad hominem. Pourquoi pas le Ku Klux Klan, pendant qu'on y est. Alors que cela reste sur le site du cochon grouik grouik. En tout cas, quitte à me faire insulter, je dis NON NON NON:
[b]
Les textes , oui, les menaces aux personnes privées, NON.

Tant que cela reste des versets du Coran, des hadîths, du droit musulman, on reste crédibles. Mais là on s'attaque à des personnes, en dehors de tout cadre juridique et judiciaire, avec des menaces et des termes inacceptables. [/b]


Dernière édition par Delcambre le 26 Oct 2007, 12:38, édité 1 fois au total.