Hillel Neuer : où sont vos juifs ?

Patricia Roux








Infrarouge, 21.11.2006, 22h25
Patricia Roux, Nouvelles Questions Féministes - Réaction de Pierre Ménard sur les pensions alimentaires



Patricia Roux

Patricia Roux
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Patricia Roux est une sociologue et féministe suisse.

Sommaire

·         1Biographie
·         2Publications
·         3Notes et références
·         4Liens externes

Biographie[modifier | modifier le code]

Elle dirigeait le Centre en études genre de l'Université de Lausanne, et codirige (avec Christine Delphy) la rédaction de la revue Nouvelles Questions Féministes. Ex-Professeur à l'Université de Lausanne, Patricia Roux est spécialiste en études de genre. Ses publications portent sur les thématiques suivantes : femmes, féminisme, genre et politique. Elle a été contrainte à démissionner après des pratiques avérées (plusieurs cas) de mobbing auprès des collaboratrices.
Selon Willem Doise : « Patricia Roux (Roux, Perrin, Modak & Voutat 1999) fait actuellement évoluer la problématique des rapports de genre en proposant le concept ambiguïté normative pour rendre compte de la condition de beaucoup de femmes qui, dans notre société, sont censées à la fois se réclamer d'une norme d'égalité et de non-discrimination tout en assumant également la tâche quotidienne de protéger les bonnes relations dans le couple, relations souvent inégales et asymétriques surtout concernant le travail ménager1 ».

Publications[modifier | modifier le code]

·         Le sexe du militantisme, dir. Olivier Fillieule et Patricia Roux, Les Presses de Sciences Po, Coll. Sociétés en mouvement, 2009.
·         Qui a droit à quoi ? Représentations et légitimation de l'ordre social, avec Christian Staerklé, Christophe Delay et Lavinia Gianettoni, PUG, Coll. Vies sociales, 2007.
·         Militantisme et hiérarchies de genre, avec Olivier Fillieule et Lilian Mathieu, Armand Colin, 2007.
·         Couple et égalité. Un ménage impossible, Réalités sociales, Coll. Perspectives en politique sociale, 1999.
·         L'insolite au service des minorités : attentes normatives et dynamiques psychosociales de l'influence minoritaire, s.n., 1991, 406 p.

Notes et références[modifier | modifier le code]

1.     Voir Willem Doise, « Un projet Européen pour la psychologie sociale », in Penser la vie, le social, la nature. Mélanges en l'honneur de Serge Moscovici, dir. Fabrice Buschini, Nikos Kalampalikis, MSH, 2001, III, p.399.

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Affaire Ramadan : comment Caroline Fourest s'est acharnée contre une Islamologue réellement critique de la loi islamique et défendant les Juifs : Anne-Marie Delcambre



L'orientaliste Anne-Marie Delcambre, depuis longtemps critique de la loi islamique défendue entre autres par Tarik Ramadan, a été la victime d'attaques infectes de la part de celle qui est aujourd'hui présentée comme combattante contre lui, alors qu'elle n'a aucune des qualifications des vrais orientalistes/islamologues, et s'est permise des critiques odieuses contre l'une des plus courageuses d'entre eux ...

J’avais une « professeur » virtuelle d’islam, Anne-Marie Delcambre, qui est devenue ensuite une amie.
Anne-Marie Delcambre est née en 1943, docteur en études islamiques1, docteur d’Etat en droit, agrégée d’arabe classique,
Anne-Marie Delcambre a été professeur d'arabe au lycée Louis-le-Grand, auteure entre autres des ouvrages suivants :
Méthode d'arabe Linguaphone, Linguaphone Institute, 1979
Mahomet, la parole d'Allah, Gallimard, coll. « Découvertes », 1987
Mahomet, Desclée de Brouwer, 1999.
L'Islam, La Découverte, 200119.
Enquêtes sur l'islam : En hommage à Antoine Moussali, collectif, Desclée de Brouwer, 2004
La schizophrénie de l'islam, Desclée de Brouwer, 200620.
Soufi ou mufti? : Quel avenir pour l'islam?, Desclée de Brouwer, 2007. Préfacé par Daniel Pipes15.
L'Islam des interdits, Desclée de Brouwer, 200821.
A participé à la rédaction d'articles dans l’Encyclopædia of Islam3.

Elle est aussi co-auteure avec Pierre-André Taguieff d’un livre contre le racisme ( « Face au racisme , les moyens d’agir »  Editions la Découverte 1991 chapitre 12).


https://www.youtube.com/watch?v=RX6vOYTvIp0  (Emission « Apostrophes » 1991)

Voici quelques propos de Anne-Marie Delcambre en défense des juifs :

Sur le site Libertyvox :
Et l’amour des Juifs (?) transparaît clairement dans cette même sourate 5, verset 64/ou 69: «Et les Juifs disent: «La main d’Allah est fermée». Que leurs propres mains soient fermées et maudits soient-ils pour l’avoir dit. Au contraire, ses deux mains sont largement ouvertes. Il distribue ses dons comme il veut. Et certes, ce qui a été descendu vers toi de la part de ton Seigneur va faire beaucoup croître parmi eux la rébellion et la mécréance. NOUS AVONS JETE PARMI EUX L’INIMITIE ET LA HAINE JUSQU’AU JOUR DE LA RESURRECTION. TOUTES LES FOIS QU’ILS ALLUMENT UN FEU POUR LA GUERRE, ALLAH L’ETEINT. ET ILS S’EFFORCENT DE SEMER LE DESORDRE SUR LA TERRE ALORS QU’ALLAH N’AIME PAS LES SEMEURS DE DESORDRE». 
Loin d’être abrogé ce verset a été cité, mais habilement tronqué, pour appuyer une fatwa de l’UOIF, destinée aux musulmans, lors des émeutes des banlieues. D’ailleurs la sourate 5, la table servie, est la dernière révélée dans l’ordre de la révélation. Comme les versets de la sourate 9, ses versets ne sont pas abrogés. Or, c’est le contraire qu’on veut nous faire croire, dans le plus total mépris de toute la littérature traditionnelle musulmane (depuis le commentaire de Tabari au 9ème siècle jusqu’à celui de Sayyid Qutb, le maître à penser du mouvement des Frères musulmans, pendu sur l’ordre de Nasser, en 1966. Les commentaires sont extrêmement répétitifs et ne vont jamais dans le sens d’un adoucissement). "
Anne Marie Delcambre " L'Islam n'a pas deux visages " 25/6/2006

https://www.youtube.com/watch?v=B19bpNEhn5Y
  (Lors des assises de décembre 2010)
 :

" Il y a pour la communauté juive un danger immense contre lequel je me bats depuis 5 ans. Surtout çà cause du problème d’ Israel. Les gens qui combattent contre les israeliens ne sont pas des gens du XXième siècle : ce sont des gens qui se rappellent qu’il a été dit  « qu’au jour du jugement dernier les juifs se cacheront derrière une pierre, derrière un arbres, et que les pierres elles mêmes diront :  «  il y  a un juif derrière : tue le ! ». Alors comment laisser … il y a non assistance à un peuple en danger ! Alors je dirai : l’islam n’est pas ce que l’on vous dit, l’islam est dangereux parce que dans l’islam il n’y a pas d’égalité, pas de liberté, pas de fraternité, pas de possibilité de s’en sortir. »


Et je rappelle, à la mémoire d’Anne-Marie Delcambre, qu’elle m’a confié dans ses dernières années, refuser désormais d’ajouter des propos sur l’islam après tous ses livres, car ceux-ci avaient été repris de manière déformée, pour servir contre les musulmans, ce qu’elle ne voulait en aucun cas. Anne-Marie Delcambre s’est toujours battue, malgré les risques et les représailles physiques effectives qu’elle a subi et dont elle n’a pas pu parler, contre tous les racismes et toutes les haines envers des personnes.

En 2006, elle écrivait sur le site créé par un juif américain :
17/10/2006 : « Caroline Fourest.  Un fil mérite d’être ouvert pour mettre en garde contre les écrits d’une personne dont les connaissances en islam sont inexistantes. J’étais morte de honte, hier soir, que cette jeune femme puisse dire autant de bêtises en un minimum de temps. Je pensais au jugement des musulmans, concernant ses propos. C’est une honte que quelqu’un sans connaissance de la matière puisse se poser en spécialiste, alors qu’on ignore des gens comme les époux Urvoy qui sont des puits de science. …
[ citant un texte où Xavier Ternisien reprochait à Caroline Fourest des accusations fausses selon lui ] Franchement je ne croyais pas avant ce que disaient les « ennemis » de Caroline Fourest, mais ce que je puis dire, après l’avoir écoutée hier soir, c’est qu’elle dit n’importe quoi et que c’est extrêmement grave. …
Quand on attaque la réputation des gens, il faut avoir de solides connaissances. Caroline Fourest parle de ce qu’elle ne connait pas bien. Je le répète, hier soir son exposé sur l’islam n’était pas juste. Alors les féministes comme cela, moi je m’en passerais bien. Heureusement qu’il y a notre chère Elisseievna, féministologue distinguée, pour rattraper cela dans mon esprit. Mais je suis ultra choquée. »

Comme j’intervenais sur le forum pour défendre un peu Caroline, Anne Marie Delcambre répondait : « Ah moi elisseievna, je suis effondrée, car c’est impossible d’avoir étudié cinq ans les textes et de dire ce qu’elle a dit. Mais elle n’a jamais ouvert un coran ? Qu’a-t-elle lu ? Les livres de Malek Chebel ou quelqu’un de ce genre ! Ce n’est pas possible autrement. Et ce qui m’étonnera toujours c’est l’indulgence de ces journalistes … féministes pour l’islam ! Seulement on la croit !! »
«  elisseievna et les autres en savent un milliard de fois plus que .. Caroline Fourest .. Si EN CINQ ANS elle a retenu que l’islam n’était pas violent, elle aurait mieux fait de dormir ou de s’occuper de la migration des autruches. »



J’ai alors pris la défense de Caroline en disant notamment le 31/10/2006 : «  ... Il n’est pas question de ce livre là, mais d’un autre parmi les nombreux qu’elle et Fiammetta Venner a écrit, et de la thèse du distingo islam/islamisme, qu’elle défend depuis dans ses interventions.  .. Je trouve les critiques de Anne Marie Delcambre justifiées, mais cela n’empêche pas d’estimer la démarche de Caroline Fourest très courageuse. « Critiquer » ce n’est pas attaquer. Cette thèse de distinguer islam/islamisme n’est qu’un aspect du débat, sur le reste : la défense de la laïcité, des droits des femmes, de nos libertés … elle dit des choses très justes. »

Puis j’ai tenté de réconcilier Anne-Marie Delcambre et Caroline. J’ai appelé Anne-Marie Delcambre pour lui demander si elle acceptait d’aider Caroline à apprendre l’islam, je leur ai écrit à toutes deux en ce sens aussi. Anne-Marie Delcambre m’a dit : «  J’accepte bien sur, mais vous verrez que Caroline Fourest n’acceptera pas ». J’ai téléphoné à Caroline, qui m’a presque raccroché à la figure. 

Quelques mois après, elle publiait dans sa revue un article honteux contre Anne-Marie Delcambre.

Anne-Marie Delcambre avait répliqué sur Libertyvox, dans l’article « Salir une islamologue » le 12 /6/2007 en disant entre autres :  «  Il est pour moi hors de doute que Madame Brancher a voulu faire plaisir à tous ceux qui rêvaient de me voir discréditée… C’est d’autant plus drôle que Madame Caroline Brancher a rédigé un article pour défendre Redeker, intitulé «Salir un philosophe». Elle s’insurge contre une certaine gauche qui n’a pas hésité à traîner Redeker dans la boue.
Je me suis amusée à remplacer le nom de Redeker par le mien et j’ai imaginé que Madame Caroline Brancher écrivait un article pour me défendre, intitulé «Salir une islamologue». Seulement, pour les propos concernant Rachida Dati, Madame Caroline Brancher a confondu allègrement, ce que dénonce brillamment la féministe antitotalitaire, Elisseievna, à savoir islam et musulman... Mais, de toute façon, dans son esprit, j’étais condamnée d’avance. Pour ce genre de journalistes, n’être pas de gauche est un vice rédhibitoire 
».      http://www.libertyvox.com/article.php?id=255

En lisant cela, Caroline s’est étouffée. Zéro plus que pointé pour elle. Bon point répété pour moi.

Sa haine ressurgit périodiquement, dans des manifestations plus ou moins publiques. Le dernier épisode est cette plainte, que Riposte laique a rendue publique, ce que je ne souhaitais pas.
Voir suite ici : http://elisseievna.blogspot.fr/2017/03/la-haine-folle-de-caroline-fourest-2.html

Quand l'Etat ne défend pas ses lois et réprime ceux qui tentent pacifiquement de favoriser leur application ...

Communiqué du Général MARTINEZ

Communiqué
 » le procès intenté à Génération identitaire »
Le jugement du procès intenté à Génération identitaire qui avait été mis en délibéré en juillet dernier vient d’être rendu ce jeudi 29 août 2019. Le tribunal correctionnel de Gap a prononcé des peines de prison ferme de six mois pour trois de ses principaux membres, assorties d’amendes individuelles ainsi que la suppression de leurs droits civils et civiques pour une durée de cinq ans et une amende de 75000 € pour l’association.
Devant l’incapacité des pouvoirs publics à faire appliquer les lois de la République pour empêcher l’entrée illégale et continue sur notre territoire de clandestins, l’Etat n’assurant pas l’intégrité du territoire en contradiction totale avec l’article V de notre Constitution, les jeunes Identitaires avaient décidé de mener symboliquement et pacifiquement une opération médiatisée au col de l’Echelle en avril 2018. Ils démontraient ainsi qu’il était possible de protéger la frontière à condition de le vouloir. On peut penser que le pouvoir n’a absolument pas apprécié la leçon et que tout a été fait pour punir cette organisation de jeunes patriotes. D’ailleurs au cours des réflexions engagées et qui ont suivi cette opération, le procureur de Gap avait lui-même considéré qu’il n’y avait rien d’illégal dans cette action. La suite nous démontre que l’offense, le crime de lèse-majesté commis par ces jeunes patriotes semble avoir pesé plus lourd que le droit.
Face à cette condamnation hallucinante de sévérité, il faut bien que nos compatriotes comprennent le message clair adressé aux Français. Il s’agit de faire taire les patriotes qui veulent défendre leur civilisation. Il est donc interdit de s’opposer à l’invasion migratoire et à cette migration de remplacement prônée par les experts de l’ONU. On ne peut que songer aux conséquences graves d’une telle condamnation pour la suite et notamment la mise en application du pacte de Marrakech  prétendument non contraignant.et signé par la France le 7 décembre 2018 et que nous avions dénoncé. Les supplétifs de l’immigration clandestine pourront et peuvent déjà ainsi agir, eux, impunément.
Dans cette affaire n’est-ce pas l’Etat qui est hors-la-loi et coupable en ne défendant pas nos frontières et en laissant entrer illégalement des milliers de clandestins, face à des citoyens, lanceurs d’alerte, qui eux dénoncent pacifiquement et symboliquement la situation  qui met en danger l’avenir de la nation et de la France ?
Par la disproportion des condamnations de ces jeunes patriotes et les racailles qui agressent quotidiennement nos policiers et pompiers, les clandestins délinquants, les ONG complices des passeurs, c’est l’ensemble de la fonction régalienne de l’Etat qui est discréditée. Car aimer son pays et s’engager pour le défendre est dorénavant considéré comme un crime. Cela devient insupportable. Tout dans cette affaire laisse à penser que ceux qui dirigent le pays n’aiment pas leur peuple qui souffre de l’invasion et restent indifférents à son génocide programmé. Jusqu’à quand ce dernier restera-t-il silencieux ?
Alors, les Volontaires Pour la France saluent le courage de cette jeunesse engagée pour la défense de notre identité et l’assure de son entière solidarité et de son total soutien dans ce combat qui nous est commun et qui doit mobiliser tous les patriotes.
Général (2s) Antoine MARTINEZ
président des Volontaires Pour la France

Ma biographie militante

Biographie militante

Ma biographie militante
Je suis une militante bénévole, indépendante. Mon job n’a rien à voir directement avec le féminisme et je n’ai jamais brigué de poste d’intellectuel fonctionnarisé ou salarié ni de poste politique, je ne dépend pas non plus d’un lectorat. D’où ma stricte indépendance, à la différence de la quasi-totalité des militantes actuelles.
Il est de tradition dans le mouvement féministe d’agir dans l’anonymat et collectivement, ce qui me convient et me plait tout à fait – voir l’interview toute récente de Phyllis Chesler à ce propos sur cette pratique aux USA, en France il en est de même. Même la gloiriole de militante ne m’interesse pas. Je participe à des mouvements collectifs ou j’écris pour contribuer à mes idées, qu’elles soient conformes ou non aux désidératas des divers sponsors et soutiens politiques du mouvement féministe actuel.
J’avais des idées féministes depuis longtemps. J’ai commencé à militer dans le mouvement féministe lors de la guerre d’ex-Yougoslavie. Nous soutenions les femmes victimes de violences de tous les pays d’ex-Yougoslavie. J’ai milité alors avec les principales leader du mouvement féministe universaliste : Maya Surduts, Monique Dental, Françoise d'Eaubonne, Michèle Dayras, Sylvie Jan, Suzy Rojtman, Vivianne Monnier, Franky, Josette Trat, Christine Delphy, Françoise Picq, et cette chère et regrettée Akramossadat Mirhosseini …
Puis j’ai participé aux Assises pour les Droits des Femmes, au collectif pour les droits des femmes et au Cercle d’étude de réformes féministes.
Je suis Universaliste – et cela a à voir avec le judaisme -, mais j’ai tout de suite été choquée par les oppositions virulentes entre tendances dans le mouvement alors que pour ma part j’aurais préféré moins de divisions -. Je suis évidemment pour le « droit des femmes à disposer de leur corps », pour que la décision d’avorter ou pas leur appartienne, mais je n’ai jamais considéré l’avortement comme un acte banal et indifférent – et je ne suis pas du tout la seule féministe à penser ainsi, voir les réflexions de Nadja Ringart par exemple. J’ai milité avec le CERF pour des crèches, pour une prise en charge du risque de « parentalité » par mutualisation, pour une réforme des noms des femmes, pour la pénalisation de l’achat de prostitution ou de contrat de mère porteuse, contre une constitution européenne non démocratique, contre le port du voile etc.
Christine Delphy a été brouillée avec moi plus tard à cause de manipulations de la bande de Prochoix, elle a cru sans doute que je l’accusais d’antisémitisme, ce qui n’est pas du tout le cas, mais de toute façon, une grande part d’entre elles m’ont ensuite trahie en trahissant également le mouvement, par un déchainement de haine totalement irrationnelle et stupide contre la critique de des lois de l’islam, alors que cette loi est la base d’une oppression féroce des femmes et de massacres notamment antisémites.
Antoinette Fouque avait obtenu mon téléphone par une de ses militante que j’apprécie, et elle a tenté de me recruter, m’a invitée dans sa demeure du 7eme, pour me présenter à Taslima Nasreen, puis s’en est violemment prise à moi lorsque je lui ai demandé de défendre Robert Redecker ...
Car en effet à partir du 11 septembre, j’ai recherché les origines idéologiques de cet attentat, et j’ai commencé à critiquer la loi du coran, loi JURIDIQUE donc politique, comme d’autres religions d’ailleurs, à critiquer les personnages du dieu du coran qui est pour moi une représentation du diable et du messager Mahomet, dont les biographies rapportent des actes de criminel de guerre et de criminel tout court, et de ce que certaines ont nommé récemment, des porcs, tout en expliquant sans cesse, que les personnes musulmanes sont nos « frères et sœurs humain-e-s » et qu’il serait totalement faux de les juger par confusion avec ces textes anciens, que rien ne justifie la musulmanophobie.
A partir de ce moment là, la presse féministe, qui publiait mes articles depuis 1993, a de moins en moins accepté de les publier. Prochoix en avait publié certains en refusant que je les signe de mon nom, pour ensuite faire courir la calomnie que j’utiliserai plusieurs pseudonymes, pour des raisons obscures. J’ai alors adressé mes articles à publications variées, dont Riposte laique lorsqu’elle a été fondée entre autres par des militantes féministes ayant milité avec Simone de Beauvoir, je viens de rompre à la suite de la trahison des dirigeants de cette revue, qui aujourd’hui mettent en danger des militants et leur entourage de manière délibérée et odieuse.
Le mouvement féministe est tombé dans le relativisme ou l’indifférence coupable en refusant de considérer les LOIS JURIDIQUES DE L’ISLAM pour s’y opposer afin de lutter efficacement contre les violences qu’elles instituent et prônent. Il s’agit clairement d’une trahison de la cause des femmes.
Je suis laïque et agnostique, j’avais bien sur tue sur mon origine à la plupart des militantes, parce que simplement le sujet de nos conversations n’avait rien à voir, puis j’ai parlé de mes origines juives lors que, vers 2000, une vague d’antisémitisme a surgi avec une intifada. J’ai alors relevé des propos d’un antisémitisme crasse chez des féministes et j’ai répondu publiquement, en indiquant alors « d’où je parlais ». Depuis quelques années, je m’oppose aussi à une « russophobie /ukrainophobie » de plus en plus virulente, délirante et allant jusqu’au racisme crasse. Car comme la plupart des juifs russes, j’adore la Russie, toutes Russies.

Riposte laique : rupture


Immonde attitude de Riposte laique

Il existe pour moi une ligne rouge : la mise en danger d’autrui.
Je peux laisser passer beaucoup de choses, je ne suis ni obsessionnelle ni maniaque, je suis pour la libre expression, le droit à l’erreur et au n’importe quoi … mais je suis sécuritaire, je suis intransigeante lorsque cette ligne là est franchie.
J’ai adressé de nombreux articles à Riposte laïque, qui en a publié beaucoup parmi eux, y compris des articles critiquant d’autres articles parus dans la revue.
Je n’ai jamais fait partie de la rédaction, mais initialement, j’étais dans la ligne de Riposte laique, soit dans la prolongation de la « Coordination laique et féministe » qui avait été tentée 2003-2004. Puis la revue a évolué politiquement et stylistiquement.
Jusqu’à présent, j’avais nettement ralenti mes envois d’articles par rapport à la période du procès de Fanny Truchelut, mais étant donné le courage des fondateurs de Riposte et les attaques dont ils font l’objet, j’avais préféré taire l’essentiel de mes griefs contre la revue.
Mais Riposte laique vient de prendre une décision immonde, inexcusable, une trahison.
J’avais demandé à la revue de prendre des mesures nécessaires à la sécurité de personnes. Elle ne l’a pas fait. Sans explication. J’ai dû insister et exiger ces mesures. Là leur réponse est venue. Immonde. Déni affiché du danger assorti de propos méprisant pour les personnes ainsi mises en danger, face aux tueurs de l’islam.
Nul n’a le droit de décider de prendre des risques face aux assassins fanatiques, sauf les personnes concernées par ces risques. Exposer qui que ce soit à ce risque relève de la trahison.
L’évolution politique  et stylistique de Riposte m’a fait beaucoup de tort, car bien sur l’on est assimilé à un média où nos articles sont publiés. De plus, des titres, des illustrations – dont certaines obscènes et sexistes -, des tags, des commentaires ont été collés à mes articles qui m’insupportaient, (allant jusqu’à modifier l’orthographie féministe que j’utilise, soit le contenu de mon texte), et le public pouvait penser que j’étais aussi l’auteur de ces présentations, ce qui était et est faux.
Je m’étais tue à ce sujet, comme au sujet de mon appréciation politique de la revue, par égard pour les fondateurs de Riposte, soumis à trop d’adversité déjà.
Mais leur attitude actuelle me conduit à décider d’une rupture politique publique avec cette revue.
Je considère depuis plusieurs années maintenant, que le style et le contenu de nombreux articles a un effet politique catastrophique en ce qu’il décrédibilise totalement la lutte idéologique conte l’ideologie de l’islam.
Riposte laique joue aujourd’hui le même rôle de fait à propos de l’islam que le Front national concernant le patriotisme : le rôle de repoussoir rédhibitoire.
Je ne rentrerai pas vraiment dans le détail des composantes de cet effet repoussoir, car il n’est à mon sens que trop évident, sauf pour les adeptes de ce style d’action. L’emploi du mot « muzz » est une insulte insupportable, pour ne donner qu’un exemple.
La France est largement un pays catholique, et ne peut être attirée par une action qui est aussi dénuée d’esprit de charité envers des personnes, même si le fond des propos n’est pas raciste et n’incite pas au racisme.
Aucune personne un tant soit peu civile, décente, ne peut être encline à examiner les critiques de l’islam si elles lui sont présentées comme le fait aujourd’hui Riposte laïque. Riposte démolit ainsi au passage le travail de nombreux militants ( dont le mien) ou érudits, en le rendant inaccessible, car confondu avec son type de publication.
Elisseievna
20 juin 2019