J'appelle à participer au Jour de Colère du 26 janvier 2014




Je me suis décidée en voyant que l'Elysée a oublié de souhaiter un Joyeux Noel alors qu'il avait souhaité une fête de l'égorgement quelques semaines plus tôt ...

Je suis une militante des droits humains et une féministe matérialiste en colère :

je constate aujourd'hui :
- le refus actuel de toute distinction en droit, qualifiée systématiquement de "discrimination",
- le déni actuel de la dimension matérielle, physique, corporelle de la réalité, 
- la violence avec laquelle toute contestation de ces axiomes est réprimée,
- la prostitution/ collaboration de nombre de politiciens et intellectuels dont des "juifs de cour"

je constate que ces dénis ont pour conséquence aujourd'hui : 

- la marchandisation du corps humain
- des violences sous prétexte de liberté sexuelle
- la mise en danger des enfants
- le déni des éléments nazis de l'idéologie islamique
- la haine anti-française et anti-chrétienne et l'antisémitisme

Voilà les raisons de ma colère ...


 rappel  : je suis contre cette loi là, mais pour le mariage homo, qui malheureusement du fait de ce refus de distinction, se voit ou risque fort de se voir attribuer des effets de filiation semblables a ceux des mariages hetero, alors qu'il serait possible d'instituer le mariage homo sur des bases realistes













Alerte aux bonnets rouges !!!




Avortement : proposition





Au moment où l'Espagne fait un terrible retour en arrière sur le droit des femmes de décider de disposer de leur corps, en réaction à une situation où un commerce de la mort de foetus viables avait pris place dans ce pays, je propose un texte ( une ébauche ... ) qui veut concilier :
le droit des femmes de décider pour elles-mêmes selon leur seule conscience,
la reconnaissance de l'importance pour l'enfant de la symbiose entre sa mère et lui pendant la grossesse,
la reconnaissance de la dignité humaine de tout être humain, handicapés compris,
le refus de la pression pour un eugénisme des handicapés pouvant mener une vie sans souffrance intolérable,
et le refus de l'instauration d'un marché de la mort,
la reconnaissance du droit des médecins à la liberté de conscience,
la reconnaissance du caractère irremplaçable de l'appréciation au cas par cas et en conscience par les médecins des circonstances et conséquences médicales de chaque grossesse et du dialogue libre et en confiance avec la femme enceinte, et de l'impossibilité pratique pour le législateur de s'y substituer par des dispositions de principes généraux ...

Les femmes doivent avoir toute liberté de décider. Il me parait absurde de présumer que bien informée sur la grossesse et sur leurs droits de choisir et d'être aidées pour leur enfant, elles choisissent sans grave raison d'arrêter une vie. Il me parait très dangereux de réprimer les femmes qui se sentent contraintes de le faire. De même, si quelques médecins cupides se sont fait marchands de mort, il me parait largement absurde de définir par la loi ce qui ne peut être décidé qu'au cas par cas par chaque médecin en fonction de son savoir et de la femme et de l'enfant qu'il a en consultation. Peu de médecin ont envie de mettre fin à des vies humaines et de causer des douleurs ou de provoquer des naissances risquant de provoquer des handicaps, sauf lorsqu'ils ont devant des cas extrêmement graves ou pouvant le devenir.
Les lois sur l'avortement sont généralement basées sur des délais : il me parait plus utile de faire reconnaitre cette réalité pratique : à un moment, l'enfant est assez formé pour être viable, dès lors la question de l'avortement ne peut plus se poser, la fin de la grossesse ne peut déboucher que sur des soins à cet enfant désormais né, faute de quoi elle devient assassinat ou torture pure et simple.

Je sais que le Planning et la CADAC militent pour une revalorisation de l'acte d'IVG, mais il me semble que les médecins militants n'étaient pas rémunérés, je me demande si aujourd'hui la principale raison du manque de médecins est en fait leur conscience, leur malaise à donner la mort, et peut-être même encore plus contre rémunération.
Pour ce qui est de la conscience médicale et du double accord après dix semaines de grossesse, j'ai pensé que jusqu'à ce stade, un médecin connaissant sa patiente pouvait avoir les éléments suffisants pour se décider, par exemple pour détecter l'état émotionnel de la femme enceinte, d'éventuelles pressions exercées sur elle, sa liberté de décider ou pas ... Mais au delà de ce seuil, où la question ne me parait plus s'appeler "avortement" en réalité, mais plutôt euthanasie foetale, il faut bien la concertation de deux  médecins pour prendre une décision aussi grave : l'une connaissant sa patiente, l'autre plus spécialiste des pathologies des enfants et pouvant estimer l'état de santé actuel et futur, de viabilité réelle du foetus, l'un et l'autre capable de comprendre les motivations et affects réels du confrère ou de la consoeur devant ce cas ...



Loi sur l’avortement

Texte :

Préambule.
Considérant que l’être humain est acquière la dignité humaine dès sa conception.
Considérant que sa vie a dès ce moment, quel que soit son état de santé, la valeur de la vie de toute personne humaine.
Considérant que l’être humaine a, dès sa conception, le droit au soutien de la solidarité nationale lorsque son état de santé physique ou mentale est déficient, afin de pouvoir grandir dans sa famille autant que le permet son état de santé.
Considérant que le bon développement du petit d’homme durant la grossesse nécessite la bonne santé physique et le bien-être moral de sa mère, la femme qui le porte dans son propre corps.
Considérant que la femme enceinte est libre de disposer de son propre corps.
Considérant que le respect de la vie de la femme enceinte et de son intégrité physique sont, tout au long de sa grossesse, prioritaires sur la vie et l’intégrité physique du fœtus, sauf si elle en décide elle-même explicitement autrement.
Considérant que la liberté de conscience des médecins, sages-femmes  et infirmières face à un acte pouvant causer la mort d’un être humain ou sa douleur, doit être entière, et que leurs décisions doivent être conformes dans toute la mesure possible au serment d’Hippocrate.
Considérant que la relation entre la femme enceinte et les soignants doit être basé sur une confiance mutuelle.

Article 1
Le corps et l’Etat de l’être humain sont indisponibles dès sa conception. Il acquière la personnalité juridique distincte de celle de sa mère lors de sa naissance.
La femme enceinte est libre de disposer de son propre corps et peut décider de mettre fin à sa grossesse, même si la fin de la grossesse a pour conséquence la mort de l’enfant en formation. En aucun cas elle ne peut être poursuivie du seul fait de cette décision.

Article 2
L’avortement et la délivrance de produits abortifs ne peuvent être effectués que par des médecins, sages-femmes ou infirmières.
La vente ou la fourniture de produits risquant d’avoir un effet abortif ou contraceptif ou réducteur de la fertilité doit être accompagné de la fourniture d’une mise en garde écrite claire  sur ces risques. L’absence ou l’insuffisance d’information est punie des peines de l’empoisonnement.
Les médecins, sages-femmes et infirmières sont libres de décider selon leur conscience de mettre fin ou non, sur la demande de la femme enceinte, à une grossesse.
Ils ont l’obligation de réaliser une échographie [ ou un des autres examens non intrusifs qui viendraient à être rendu possibles techniquement à l’avenir ] de la femme enceinte lorsqu’elle demande un avortement afin de déterminer le stade de développement de l’enfant en formation, et doivent respecter le souhait de la femme de visualiser ou pas cette échographie. 
L’accord de deux médecins gynécologues, ou obstétriciens ou pédiatres est obligatoire pour réaliser des avortements au-delà de dix semaines de grossesse.
Ils ont l’obligation de respecter la méthode d’avortement choisie par la femme, son souhait de bénéficier d’anesthésie générale ou locale ou de produits antalgiques, et tout au long de son traitement, son intimité et sa vie privée.
Un règlement défini les méthodes d’avortement autorisées en fonction de l’état de la science, dans le but d’éviter au maximum la douleur de la femme enceinte et du fœtus.

Article 3
L’Etat a l’obligation de fournir publiquement des informations sur la biologie humaine de la reproduction, le développement de l’embryon humain durant toute la grossesse, les produits augmentant ou diminuant la fertilité humaine, sur les services médicaux et sociaux destinés aux enfants, femmes enceintes et parents, sur le droit des femmes enceintes à continuer leur grossesse comme à avorter, sur les aides et assistances dont elles et leurs enfants peuvent bénéficier, sur les possibilités de remise de l’enfant en vue de l’adoption ou de l’accouchement anonyme, sur les méthodes autorisées de contraception et d’avortement.
Ces informations doivent être publiées sur le site des services publics, dans des versions accessibles aux adolescents d’une part et dans des versions plus complètes à l’attention des adultes d’autre part.
Les services publics ou médecins consultés par les femmes demandant des informations sur le droit à l’avortement, ont l’obligation de les informer sur : leurs droits à continuer leur grossesse nonobstant l’avis de leur entourage, comme à avorter selon leur seule décision, les assistances dont elles et leurs enfants peuvent bénéficier, les possibilités de remise de l’enfant en vue de l’adoption ou de l’accouchement anonyme, sous peine contraventionnelle. L’Etat doit fournir à ces services et médecins le matériel d’information nécessaire.

Article 4
La contrainte exercée sur la femme enceinte ou sur les personnes autorisées à pratiquer un avortement afin de les obliger soit à pratiquer un avortement, soit à ne pas respecter les obligations légales exigées lors de sa réalisation, soit à ne pas le pratiquer, est puni de peine délictuelle (prison pour les deux premiers, amende pour la troisième).

Article 5
Sauf dans le cas où elle est effectuée pour sauver la vie de l’enfant ou préserver sa santé, ou bien dans le cas où la vie de la femme enceinte serait en danger du fait de la continuation de la grossesse, ou dans le cas où son intégrité physique risquerait d’être lourdement et définitivement détériorée de ce fait, l’opération mettant fin à une grossesse ne peut être rémunérée. Seuls les frais matériels (produits, location de salle et matériel d’échographie et d’opération, frais de déplacement) peuvent être payés au médecin, à la sage-femme ou à l’infirmière. La proposition et la perception d’une rémunération pour l’arrêt d’une grossesse hors de ces trois cas est punie de peine délictuelle (prison).

L’Etat a l’obligation de fournir dans ses hôpitaux publics les matériels (produits, salle et matériel d’échographie et d’opération) nécessaires à la réalisation d’avortement par les médecins, sages-femmes et infirmières sollicités par des femmes enceintes.

Article 6
Lorsque le fœtus a atteint un stade de développement où il est viable lors de la fin de la grossesse, les médecins ayant donné leur accord et réalisé l’arrêt de grossesse, quelle qu'en soit la raison, et la femme enceinte sont conjointement responsables civilement et pénalement de l’assistance qui doit lui être fournie pour sa survie et la préservation de sa santé, et des conséquences éventuelles pour sa santé de la fin de la grossesse, sauf dans le cas où la continuation de la grossesse aurait mis en danger la vie de la femme enceinte ou risqué de détériorer gravement et définitivement son intégrité physique.



Papier is doch weiss





Point en décembre 2013 :


Henri Baruk expliquait que les fous ont une raison, qu'il faut chercher cette raison pour pouvoir les aider, (au moins pour certaines formes de folie ) : ce monde ressemble de plus en plus à une famille dont un des membres est fou et dont les autres veulent se le cacher, pour refuser de voir que la logique des fous est folle il suffit de l'adopter soi même, alors toute la famille est contaminée et personne ne guérit,
l'islam comprend des injonctions paradoxale et une pression terroriste mêlant carotte et baton et abrutissement mêlé a l'excitation et l'alerte constantes, voila pourquoi il rend fou à tuer et se tuer, l'islam est une maladie mentale, je n'en suis convaincue que parce que j'entend des personnes de famille musulmane me le dire et je suis effrondrée par notre refus de les aider à sortir de cette doctrine empoisonnée, d'autant plus que je vois à quel point l'on se sert de "la shoah" pour persécuter ceux qui veulent les aider ( et en éviter d'autres),
j'esperais que l'on puisse entendre des féministes d'un coté et le Pape de l'autre, dire ensemble que Madgi Allam et Ayaan Hirsi Ali, parmi tant d'autres apostats inconnus, y compris des arabes d'Arabie saoudite, ont raison dans leur critique radicale de l'islam, mais je ne vois rien de cela,
j'esperais que la valeur de chaque individu, personne humaine, soit fortement affirmée à l'occasion de cette loi contre la consommation de corps prostitues, qui est un grand pas moral, qui pourrait etre un element caractéristique d'un projet positif, mettant chaque personne humaine, chaque visage humain au centre, que l'on pense qu'il est une part de l' "etincelle divine" ou pas ... mais non : projet socialo alors on ne va pas le defendre, et puis les putes c'est des putes et la liberté c'est de s'amuser .. et bien vous serez servi avec le butin islamique alors ai je envie de répondre, et vous ressemblerez en ce domaine aux chiens que les musulmans vomissent mais en qui l'islam semble avoir trouvé le modele de sa vision de l'usage des corps.
j'ai peur des réactions de colère qui surgissent en réaction a l'islam, je refuse l'idee de sainte colere, je vomis l'idee de bonne haine, je récuse les tribunaux révolutionnaires que nombreux excitent à dresser, 
le Pape ne prépare pas la paix en parlant - je vais être "modérée" - pour ne rien dire, je pense que le Vatican est vide aujourd'hui, je pense que tous les catholiques qui s'allient avec des "familialistes" islamiques se ridiculisent pour etre gentille, et cela ne me console pas quand je pense à toutes les sornettes et odieuseries que j'ai entendu dans mon mouvement, 
nos silences, convergent, encouragent la violence et l'abrutissement islamique à se propager, 
si la colère du peuple est encouragée sans projet positif clair, une fois le peuple épuisé par des manifestations constantes, ce n'est pas Napoleon mais les pouvoirs islamiques et leurs clienteles qui ramasseront la donne et instaureront leur donne - avilissante, abaissante.


Résister au noyautage des militants de la loi d’Allah et à la tentation de la Terreur révolutionnaire

Résister au noyautage des militants de la loi d’Allah et à la tentation de la Terreur révolutionnaire
La résistance à  l’emprise de la loi d’Allah en France fait face à deux obstacles internes, à deux tentatives et tentations.
La première est le noyautage des mouvements de l’intérieur par les militants musulmans, la deuxième est la tentation de la Révolution, avec sa Terreur nihiliste. Les deux ouvrent des boulevards à la prise de pouvoir islamique irréversible, ou quasi.
Les mouvements qui apparaissent comme pouvant résister à la progression de la loi islamique sont immédiatement pris d’assaut par les militants de l’islam, afin de les anéantir de l’intérieur, exactement comme Hitler l’a fait des Eglises.
Les mouvements nationalistes ou patriotiques non néo-nazis, se laissent pour certains berner soit  par la haine des juifs qui leur fait par « contraste » penser avoir pour « amis » les ennemis supposés de leurs ennemis, c’est-à-dire les musulmans, soit comme bien d’autres, juste par la crainte de l’ « islamophobie raciste » ou juste par la crainte de donner une mauvaise image. Pour les néo-nazis, la question est plus simple : ils ont la même vision antisémite et dictatoriale que les militants musulmans et sont alliés naturels …
Les mouvements chrétiens ou familialistes traditionnels sont pour certains trompés par le discours en apparence traditionnel et familialiste des musulmans.
A ces mouvements je vais résumer de façon abrupte et crue l’opposition entre christianisme et islam quant à la famille, aux femmes et aux enfants :
Dans le christianisme, le principe est la chasteté et le mariage un sacrement et la monogamie absolue, le devoir conjugal est de « se donner » mutuellement, mais la sanction au pire est l’annulation du mariage, il n’y a pas d’ « obligation de faire », pas d’autorisation du viol.  L’enfant nait «  désiré » par principe et d’un homme et d’une femme qui vivent ensemble et font tout pour s’aimer et ne doivent pas divorcer.  Quant à la pédophilie, Jesus explique qu’il vaut mieux s’arracher un œil que de « scandaliser un petit ». L’avortement est vu par l’Eglise comme crime dès la conception.
Dans l’islam,  - on est prié de lire après avoir achevé sa digestion – la femme doit accepter les relations sexuelles quand son mari le veut, si elle désobéit il a le droit de l’attacher au lit et de la battre. Le mari a le droit de lui imposer la levrette. Il a le droit à quatre épouses et un nombre illimité d’esclaves. Il a le droit de la répudier. Le fantasme sexuel autour du paradis aux 72 vierges et éphèbes,  n’est pas réprouvé au nom de la chasteté mais encouragé comme stimulant pour le jihad. L’enfant nait d’une femme qui elle n’a droit qu’au quart de plaisir sexuel de son mari ou moins. Si le père répudie la mère, il a la garde de l’enfant …Mahomet, vieux libidineux de 50 ans se tape un bout de chou de 9 ans et cet âge est donc le modèle, et recommande de ne pas trop couper lors de l’excision, c’est-à-dire de couper quand même.  La femme choséfiée, putifiée au service de la lubricité masculine, humiliée, ce que les chrétiens appellent « chair » est au centre du contrat d’achat d’usage du vagin des femmes qu’est le « mariage », les enfants propriétés, avec permission de les avorter dans les premiers temps.
Le seul point commun entre christianisme et islam est une vision hiérarchique entre homme et femme résultant de la lecture de Saint Paul qui depuis un certain temps maintenant a été remise en cause par le Vatican lui-même.
Aux nationalistes qui pensent que parler du danger de l’idéologie islamique serait une invention de juifs pour diviser les « goys » et prendre le pouvoir, un « complot sioniste », je répondrais que ce qui divise ce n’est pas la dénonciation de l’islam, mais c’est l’islam, déclaration de guerre de Mahomet à l’humanité tout entière, Mahomet, représenté à juste titre comme fendu en deux dans l’Enfer de Dante. Quant aux juifs médiatisés que ce genre de nationalistes nomment toujours comme « preuves » que ce sont « les juifs » qui tiendraient le pouvoir et l’utiliseraient pour diviser le brave peuple, je leur ferais remarquer qu’il s’agit d’individus juifs, qui défendent leurs intérêts particuliers  et qui défendent tous l’islam en interdisant toute critique autre que celle d’un « islamisme » : la division dont ils peuvent profiter est justement celle induite par l’islam.
Passons au deuxième obstacle qui est celui de la tentation d’un mouvement « revanchard ». On entend des appels à quelque justice révolutionnaire contre les traitres et profiteurs, on voit des caricatures de traitres ou profiteurs, on décerne des anti-prix, piloris médiatiques ou bien simplement on rève d’un grand remplacement à rebours qui virerait cette « clique » et éventuellement les musulmans avec.  Ce ménage, même avec l’armée, risque sans projet cohérent de mener à la guerre civile et donc d’être juste celui qui ruinera le pays et fera toute la place aux militants de l’islam … permettant justement de mener à terme la politique d’infiltration dans les milieux « résistants » à « la mondialisation » ou « la dénaturation de la famille » …
Sans projet on va dans le mur, et sans projet et avec la « rage », on va dans le mur et dans le bain de sang. La  réaction de colère face aux violences que nous subissons aujourd’hui est une réaction normale, mais se complaire dans ce mauvais sentiment en se réjouissant d’avance de revanches et guillotines, et en entamant les réjouissances par des caricatures ou mises au pilori humiliantes, est immoral, bas et dangereux.
La vengeance ou l’humiliation d’autrui n’ont jamais rien résolu. Ces méthodes nous placent au même niveau que le coran. Chercher des coupables ou chercher à punir est toujours une perte sèche de temps.
Il nous faut inventer un « new deal », un nouveau contrat avec les autres nations, c’est un chantier énorme, et c’est un chantier préalable ou au mieux concomitant au chantier de désislamisation de la France. Nous ne pourrons évacuer les traces de la loi d’Allah d’ici, qu’en ayant choisi définitivement les principes opposés, donc excluant l’esprit revanchard ou punitif, et en ayant un projet économique et écologique crédible à proposer comme plan aux Nations.
Un « plan d’aménagement du territoire » à l’échelle mondial, dans laquelle chaque pays s’insérerait. Un plan qui tablerait essentiellement sur les ressources locales de chaque pays, un plan qui ne supposerait pas des déplacements massifs de population d’un coin de la planète à l’autre, un plan qui serait celui d’une économie pour la vie humaine, pour les humains, et non pas de l’asservissement des humains à l’économie.
La réflexion sur le rôle économique des femmes et des enfants est capitale dans un tel plan, mais sa base n’est plus à inventer :  cette base est la femme, l’enfant n’est pas un objet. Par conséquent l’économie doit être organisée en tenant compte à la fois de la différence des corps et de leur différentes aptitudes et besoins, et en interdisant toute utilisation du corps d’autrui pour ses propres caprices, tout atteinte à l’intégrité physique d’autrui. Les études « féministes » ( et non « de genre ») sont capitales dans cette optique, à condition qu’elles ne se perdent pas dans des débats ésotériques sur le sexe du genre…
La base de tout redressement est un service public de la Recherche Scientifique, financé par l’Etat, des chercheurs indépendants des firmes, capables de répondre en toute indépendance aux questionnements des pouvoirs législatifs et exécutifs sur les questions de santé, d’agronomie, d’industrie, d’écologie, et militaires ou stratégiques, des chercheurs ayant les moyens de réaliser sans retards leurs recherches sur tous les projets permettant une protection de la santé, de l’écologie.
Tant que nous n’aurons pas construit ce projet, les hargnes et la recherche des coupables continueront, pendant que les plus malins, sans mauvaise intention particulière (contrairement à ceux que s’imaginent les complotistes emprisonnés dans leur vice de recherche de « coupables ») mais juste par négligence, continueront à tirer les marrons du feu en détruisant l’économie et la planète, et  l’islam continuera à tenter ambitieux, sadiques ou autres désemparés.
Ce ne sont pas les musulmans qui ont construit une économie basée sur le pétrole : c’est nous-mêmes. Ce ne sont pas les musulmans qui nous ont mis dans la tête qu’il serait normal de compter sur le malheur des pays musulmans pour profiter d’une main d’œuvre moins cher pour nos vieux, c’est nous mêmes, la cupidité des occidentaux eux-mêmes, nous-mêmes, qui en plus ont le culot d’accuser « les juifs » de leur avoir fourni un bon prétexte avec leur parano légitime du retour d’idéologies racistes.
Aucun musulman n’est venu en Europe par une invasion, c’est-à-dire les armes à la main, et la majorité d’entre eux se conforme à la loi. Par conséquent si nous avons aujourd’hui en Europe des problèmes liés à l’islam, c’est uniquement parce que nous l’avons décidé, et si nous devons désislamiser l’Europe au sens de refouler le pouvoir de la loi islamique, nous devons maintenant le faire en prenant en même temps soin de ne pas nuire aux droits fondamentaux des musulmans qui vivent ici. De même, si les Français d’origine, dont les ancêtres sont nés en France, voulaient recouvrer leur droit de propriété sur leur terre et refouler les originaires d’Afrique, ils ne pourraient le  faire qu’en respectant pour résumer les lois de l’expropriation d’un droit d’usage ancien maintenant pour beaucoup d’immigrés. De surcroît, la France devrait renoncer à des comportements néo-colonisateurs, qui représentent une exploitation ou une destruction des ressources de ces pays, comme d’autres pays en développement, et qui sont une des causes de l’immigration.
Quand nous aurons inventé un projet excluant le néo-colonialisme, nous pourrons sans complexe appliquer la désislamisation complète, c’est-à-dire interdire toute manifestation publique de culte musulman, tout enseignement non contradictoire ou critique de l’islam, raser les mosquées, interdire les tenues islamiques, interdire l’abattage islamique, et si les Français d’origine le veulent, éventuellement récupérer leur propriété entière sur leur sol.
Mais tant que ce projet n’existe pas, tant que d’une façon ou d’une autre, nous poussons des musulmans à vivre ou rester ici, tant que d’une façon ou d’une autre, nous soutenons des tendances les plus radicales dans les pays sous loi islamique eux-mêmes et donc contribuons à les laisser dans leur misère morale et économique,  il est incohérent et largement impraticable, largement injuste même de leur demander en même temps de ne pas être musulmans ou de retourner dans ces pays …
Elisseievna

La loi sur le mariage homosexuel que j’aurais souhaitée / Un égalitarisme et un antiracisme de façade ...



La loi sur le mariage homosexuel que j’aurais souhaitée.

Le mariage est l’institution civile favorisant la vie commune des couples, il marque la volonté de la société d’aider les couples à vivre leur amour. C’est pourquoi les homosexuel-les y tiennent, comme marque de reconnaissance de la réalité, de la valeur, de leurs amoures.  La loi devrait permettre aux couples homosexuels de s’engagent selon les mêmes règles que les couples hétérosexuels. Par contre il n’y a aucune raison de nier la réalité de la différence entre cette alliance et celle d’époux susceptibles d’avoir des enfants biologiquement communs. Pour marquer cette différence, il serait sans doute utile, vu la confusion actuelle des idées, de choisir un nom différent de celui du mariage. Quant au PACS, il représente l’institution de la répudiation : il aurait pu être supprimé avec l’institution d’une alliance-mariage homosexuel.
Les avantages fiscaux et sociaux accordés aux couples hétérosexuels doivent être analysés en fonction de leur finalité :  ceux qui ont pour finalité de favoriser la naissance d’enfants communs ne seront pas reconnus aux couples homosexuels.

Code civil Livre 1er

Titre XIII
Les PACS ne pourront plus être conclus à dater de l’entrée en vigueur de la loi sur le mariage des personnes de même sexe.

Titre XV
De l’Alliance,  mariage des personnes de même sexe

Article 1
Deux personnes majeures de même sexe peuvent contracter un mariage dénommé «  alliance ». 

Article 2
L’alliance emporte entre les alliés ainsi qu’en matière de nationalité, toutes les conséquences du mariage. 
+++ Toutefois, une personne engagée dans une alliance, pourra, avec l’accord de son allié-e, contracter un mariage avec une personne de l’autre sexe pour concevoir et élever ensemble les enfants nés dans le cadre du mariage.+++

Article 3
Les règles du mariage ou du concubinage entre personnes de sexe différent et concernant les enfants nés, adoptés ou conçus dans le cadre de leur union, ne sont pas applicables aux alliances entre personnes de même sexe.  




« C'est le seul point faillible, le seul point attaquable, la seule brèche dans cette entité parfaite que sont deux femmes qui s'aiment. L'impossible, ce n'est pas de résister à la tentation de l'homme, mais au besoin de l'enfant. » Ce texte de Marina Tsvétaïéva (1892-1941) sur l'amour des femmes entre elles est adressé à Natalie Clifford Barney (1876-1972) en réponse à ses Pensées d'une amazone (1918). Avec son génie libre, sa faculté poétique éclatante, sa langue française d'une sublime beauté, Mon frère féminin est l'un des plus beaux textes lesbiens à ce jour. Marina Tsvétaïéva analyse en profondeur l'amour féminin et s'attache, en particulier, à définir les manques et les inquiétudes de deux femmes qui s'aiment sans qu'il leur soit possible d'avoir un enfant. Transcendant son propos, Marina Tsvétaïéva nous offre des pages inoubliables sur la femme, l'homme, l'amour et la vie.



CE QUE NOUS DEVRIONS ETRE NOMBREUSES A DIRE ...

FEMINISTES CONTRE UN EGALITARISME ET UN ANTIRACISME DE FACADE


Nous devrions nous réjouir, nous qui sommes des  féministes et militantes contre l’homophobie de longue date, de voir une réaction vigoureuse après des propos inadmissible contre la Ministre de la Justice.
Nous devrions nous réjouir de voir depuis des mois, le paysage médiatique tout occupé par des réformes et débats vigoureusement féministes, antiracistes, et anti-discrimination …

Mais derrière cette façade, on constate  des reculs très graves des droits des femmes et des libertés en général. Pire : c’est au nom même des notions d’égalité et d’antiracisme que ces atteintes sont justifiées. 

L’égalité et la liberté sont invoquées pour oublier la protection des plus faibles, en particulier les enfants et leurs mères. L’antiracisme est invoqué pour légitimer l’opium du peuple islamique qui nie leurs droits. 

Concrètement, voici  quelques-uns des faits qui alarment.

La loi intitulée «  Egalité Hommes-Femmes » vient de renforcer l’application de la garde alternée imposée, une mesure dont les pédopsychiatres ont montré la nocivité pour les enfants et expliqué qu’elles servent très souvent aux pères divorcés à maltraiter les mères. Elle instaure de plus un délit de manipulation de l’enfant par l’un des parents. Ainsi, en invoquant l’ « égalité » entre les parents, les associations de père viennent d’obtenir des mesures qui leur permettront de mener la vie dure à leurs enfants et ex-compagne.

Autre loi présentée comme libératrice : la loi sur le « Mariage pour tous ». Il est très probable, compte tenu de la jurisprudence européenne, que, telle qu’elle est rédigée, elle conduira à l’admission en France de la « gestation pour autrui ». Ainsi, sous prétexte d’ »égalité », entre les couples mariés, des droits à la procréation médicalement assistée, risque d’être admise en France une des pires formes d’exploitation des femmes.

Dans le débat autour de la proposition de loi de pénalisation de l’achat d’acte de prostitution, les opposants à la loi disent : « j’ai bien le droit d’aller aux putes » ou «  j’ai bien le droit de me prostituer » ou « dès lors que le consentement des deux personnes existent, la loi ne doit pas intervenir ». Or c’est oublier que la permission de payer pour du sexe créé des situations où quantité de femmes qui n’ont nulle intention de vendre leurs corps, subissent des pressions pour se prostituer ou du chantage à l’emploi. Ainsi, sous prétexte de la « liberté de choix » des uns et de quelques-unes, est oubliée la liberté de toutes les autres.

Quant à l’antiracisme, il semble invoqué aujourd’hui essentiellement pour interdire de défendre les droits humains contre des lois religieuses qui les nient … La République se rend ainsi incapable de s’opposer efficacement aux atteintes aux droits des femmes, des homosexuels, des athées.

L’affaire Babyloup est symptomatique de la situation schizophrénique actuelle. Pendant que notre justice et nos penseurs débattent  savamment des questions de laïcité, sur le terrain, c’est la loi islamique qui s’impose. Que la crèche gagne ou perde son procès avec son employée voilée, elle  fermera, parce que des militants de l’islam suffisamment actifs dans la population locale parviennent à rendre son fonctionnement impossible.

Comment expliquer des dévoiements aussi paradoxaux ? Que peut signifier un tel brouhaha autour de mantras antiracistes et égalitariste, une telle mobilisation idéologique, alors que les décisions prises démentent les beaux principes affichés ?

Ils s'expliquent par l’extension d’un ultra-libéralisme, qui, pour abattre les oppositions à ses profits, répand une forme de propagande favorable à ses intérêts.
L’égalité suppose à la fois une économie respectueuse de l’être humain, mise à son service, (et non l’inverse) et la paix sociale. Ces conditions s’opposent à la réalisation de certains profits particuliers. Il faut donc répandre une idéologie qui lève les obstacles aux profits, en particulier les revendications réellement égalitaires.
Précisons tout de suite que cette propagande n’est pas le fait d’une entente concertée, d’un « complot », mais juste le fait de pouvoirs économiques puissants (dont chacun d’entre nous, en tant que nous formons « la masse » des consommateurs …), partageant un même intérêt objectif à la répandre et s’y livrant simultanément.
Cette idéologie a actuellement deux volets. Le premier est l’idéologie du droit de faire « ce que je veux », l’illusion du « tout est possible, tout est achetable », sur l’air du « libre choix absolu ».
Ainsi la conception classique de liberté «  qui s’arrête où commence celle d’autrui » est remplacée par le crédo : interdit d’interdire, interdit de juger, juger est discriminatoire et raciste.
Il parait dès lors tout naturel de dire : « Partager mes enfants en garde alternée, c’est mon choix »,  « Recourir à une mère porteuse, c’est mon choix », «  Aller aux putes c’est mon choix », « Etre voilée et être lapidée si je pêche c’est mon choix » «  Travailler le dimanche, c’est mon choix » …
Ce premier volet a pour objet de maximiser le domaine du marché, de rendre un maximum de « choses » vendables.

Le deuxième volet est un pseudo-antiracisme bien particulier, qui consiste à taxer de racisme toute interrogation sur la stratégie officielle des pays de l’Organisation de la Conférence islamique (OCI) et sur les migrations de populations qui en sont issues. Cette stratégie (publiée officiellement sur le site de l’OCI) consiste à maintenir dans une « identité musulmane » les immigrés membres de l’« oumma islamique » et à interdire la critique de « La religion » : l’islam.
Ce second volet a pour objet de maximiser les profits les plus immédiats en faisant gonfler la consommation et baisser les coûts. 
En effet « l’importation » en Europe de populations islamisées, majoritairement assistées, a le double avantage de « faire tourner » l’économie tout en divisant les classes moyennes et pauvres de la société.  Les populations de toutes origines consomment, les Etats s’endettent, les salaires sont pressés à la baisse. Le profit des entreprises et des banques gonfle.
Pour les « rois du pétrole » l’immigration est la garantie de la sécurité de leurs investissements en Europe : au cas où des Etats européens songeraient à les exproprier, ils peuvent mobiliser sur place des jeunes hommes, barbus ou portant tee-shirt « Fly Emirates » qui font régulièrement des démonstrations de force contre la police locale…

On voit que la conservation de l’enfermement des immigrés dans une identification à l’islam est au cœur de cette économie. D’où le matraquage idéologique pour conserver la réputation de cette idéologie.

Un des arguments spécieux les plus répétés est qu’il serait raciste de critiquer l’islam et non pas seulement l’ « islamisme », c’est-à-dire  ce qui en serait une mauvaise interprétation, une dérive politique de l’islam.  Cette théorie est dangereuse, c’est exactement le contraire qui est vrai.  En effet, selon cette théorie, les actes de violence si nombreux commis au nom de l’islam ne seraient pas dus au sens des textes, mais uniquement à une mauvaise interprétation des textes de l’islam de la part de nombre de musulmans.  Les peuples auraient tous des textes religieux équivalents, potentiellement aussi dangereux ou peu dangereux les uns que les autres, mais seules les populations conquises par l’islam interpréteraient les leurs aujourd’hui dans un sens violent. Un tel jugement tout  à fait injuste et ne peut que causer des sentiments d’hostilité envers les musulmans.

Si nous voulons réellement une égalité entre les personnes humaines tout en assurant le maximum de libertés, ne nous laissons tromper par ces politiques de pure façade. La droite comme la gauche, qui en l’occurrence trahit sa vocation, s’y livrent tour à tour. Cette politique  ultra-libérale peut séduire par ses avantages immédiats. Mais elle est indigne, car les plus fragiles en font les frais. Les féministes devraient être les premières à s’y opposer ….


CE QUE SERAIT UN MANIFESTE DES FEMINISTES CRITIQUES DU CORAN 


Nous sommes des féministes, laïques, antiracistes, anti-homophobie. Nous participons aux mouvements féministes et/ou lesbiens, historiquement de gauche.

Rappelons les bases du mouvement féministe, puisque ce terme est aujourd’hui récupéré par des mouvements familialistes ou religieux. Le féminisme est historiquement le mouvement qui défend les droits des femmes en tant qu’individues, autonomes, non soumises à la famille ou à la féminité prédéfinie par un ordre dit naturel.  Nous disons « Mon corps, moi »,  « Nos luttes changent la vie entière », et nous défendons le droit à l’avortement, la liberté d’être lesbienne, l’égalité en droit et l’autonomie financière des femmes.

Nous ne pouvons dès lors rester muettes face au militantisme musulman.

Nous reprochons aux textes sacrés  de l’islam d’être des sermons de haine et de mépris.
Nous récusons, au niveau théorique, la distinction entre islam et islamisme, pour trois raisons : l’ensemble de l’islam se réfère au même corpus de textes sacrés, aucun dogme ne permet de distinguer ce qui serait un islam de ce qui serait un islamisme, les points fondamentaux de l’idéologie islamique ne posent aucun problème d’interprétation.
Nous reprochons aux textes sacrés de l’islam de désigner les juifs comme les principaux ennemis de dieu et des musulmans, d’être un peuple mauvais, et d’annoncer leur extermination : par là les textes de l’islam sont fortement apparentés aux discours nazis.

Dans le monde musulman, de plus en plus de femmes et d’hommes connaissant parfaitement ces textes, prennent conscience de leur barbarie. Ces personnes ne peuvent pas s’exprimer librement : nous portons ici ces voix du silence.  Ces voix sont nombreuses : un site en arabe contre l’islam a ainsi atteint un millions de passage, tous ou presque, bien sur, écrivant sous pseudonyme.

L’islam est une idéologie complète alliant organisation temporelle, juridique donc politique, et éléments spirituels. Ses textes imposent  comme devoir à tout musulman de se mobiliser dans le combat dans le chemin d’Allah pour imposer la religion et la loi musulmanes au monde.
Nous nous opposons à toute diffamation contre les musulmans qui les présenterait comme obéissants tous aux injonctions de ces textes et adhérents tous à ce projet. Nous affirmons par contre que tant que les textes de l’islam seront la référence de certaines populations, des mouvements violents et sexistes se développeront parmi elles.

Jusqu’à présent les médias ont principalement mis en avant des féministes laïques, lesbiennes pour certaines, vilipendant la critique de l’islam comme du racisme … tout en affichant, sous prétexte de laïcité, leur pieuse ignorance de ces textes. Autrement dit : « je ne sais rien, mais je dirai tout ».  
Pour ces féministes, le fait de «  se situer » ainsi «  en tant que « féministes laïques » est en réalité le seul gage qu’elles donnent de la validité de leurs jugements sur l’islam.  L’argument étant bien mince, elles se sont attelées à dénigrer chacune d’entre nous : taxant l’une de raciste, l’autre de malade, la troisième d’alléguer de fausses origines juives, et allant jusqu’à nier notre participation historique au mouvement.

Nous sommes également accusées de tenir sur l’islam un langage du même acabit que la prose contre le judaisme et le talmud répandue par les anti-sémites. Or cet anti-judaisme repose sur des faux : faux écrits complotistes, faux passages du talmud.  Au contraire, et malheureusement, notre critique est fondée sur les textes sacrés musulmans traduits par des musulmans, sur des ouvrages écrits, publiés, en français, par des musulmans.  Le projet d’imposer au monde,  par la force si nécessaire, la loi de dieu y est défendu comme seul rationnel pour un croyant ...

Nous accusons nous , à notre tour, les perpétuels chercheurs du Graal de la distinction entre islam et islamisme, de renforcer le dénigrements des populations musulmanes . Quand les violences islamiques sont connues de tous, affirmer que « tout est question d’interprétation », c’est accuser ces populations musulmanes d’avoir une propension particulière à donner à leurs textes une interprétation violente. En réalité, toute autre interprétation est aberrante, et le seul recours des populations musulmanes pour les atténuer, a été de ne pas les appliquer intégralement dans les faits.

Nous constatons de surcroît que l’invocation des droits humains contre les abominables islamistes qui seraient cause de tous les maux des sociétés musulmanes sert curieusement de prétexte pour des guerres assurant la domination occidentales sur des zones pétrolières.

Nous connaissons l’histoire des civilisations islamiques, nous savons que l’islam ne saurait être caricaturé comme « l’empire du mal », mais nous savons aussi que les plages de paix et de tolérance dans le monde islamiques, sont dues à des circonstances historiques particulières et non pas au sens des textes.

Si le monde doit sortir « par le haut » de la violence née de ces textes, ce n’est pas par des expéditions punitives contre « l’islamisme » ou contre les « dictateurs », mais par une prise de conscience de plus en plus large de la barbarie des textes de l’islam.   Pour cela, le monde « libre » doit faire connaitre la critique de l’islam, largement faite par d’ex-musulmans eux-mêmes.  C’est tout cas ce que nous, féministes critiques du coran, estimons être de notre devoir.


 




Les auteures féministes publiées par Riposte laique face aux calomnies ....



Pour répondre à diverses calomnies  me visant personnellement comme d'autres féministes dont des articles sont publiés par Riposte laique, j'ai récapitulé dans un blog un inventaire à ce jour de leurs articles dans Riposte laique.
Le blog contient également des éléments de la biographie de ces militantes féministes depuis "toujours", qui ont soit participé comme Anne Zelensky à la création du mouvement féministe français dans les années 68-70, soit qui comme moi l'ont rejoint depuis des décennies maintenant ...

Voici la présentation du blog qui explique la ( une des ..) divisions du mouvement féministe actuel, une parmi tant d'autres ( voir l'opposition diamétrale entre la position abolitionniste de Anne Zélensky ou moi quant à la prostitution et celle d'Elisabeth Badinter),
et une présentation d'un livre publié par SOS SEXISME et datant déjà de 18 ans où j'appparais au côtés de féministes également émérites.


Ce blog regroupe les articles des féministes qui participent à Riposte laique.
Parmi les fondatrices de Risposte laique en 2007, on comptait Anne Zelensky et Annie Sugier, deux féministes "historiques". La vidéo ci dessus les montre en compagnie de Simone de Beauvoir.

Le mouvement féministe aujourd'hui semble subir la même pesanteur qu'a endurée la féministe russe Alexandra Kollontaï : des intérêts politiciens ou "révolutionnaires" autres, poussent les féministes à taire leurs revendications propres.
Aujourd'hui, par souci d'être soutenu par des mouvements politiques soucieux de leur électorat "musulman", supposé préférer des mosqués à la lutte contre l'imposition du voile, le mouvement féministe lâche largement les revendications féministes contraires à la loi islamique.

Rares sont les supports, comme Riposte laique, ( issu du "journal de la gauche républicaine" Respublica" et fondé par le syndicaliste Pierre Cassen), qui acceptent de publier les tribunes des rares féministes qui critiquent les dispositions mysogynes de la loi islamique.



http://elisseievna-ripostelaique.blogspot.fr/2013/11/elisseievna-publiee-en-1995-par-sos.html
  Parmi les différentes publications de mes articles dans des revues et livres féministes, je citerai plus particulièrement ce livre, car il concrétise la réunion d'une  parties des féministes que j'ai cotoyées dans le mouvement féministe,  dont certaines aujourd'hui décédées ..

Michèle  Dayras et son association SOS Sexisme publient en 1995 un recueil d'articles où je figure aux côtés de Nelly Trummel, André Michel, Francine Bavay, Françoise d'Eaubonne  et ... Claudie Lesselier et Fiammetta Venner.

Il apparait clairement que le mouvement féministe se préoccupe du sort de toutes les femmes, de toutes "religions" ...


FEMMES ET VIOLENCES DANS LE MONDE
Editions L'Harmattan 
  

Sommaire de l'ouvrage : 

         Généralités

17-22
23-34
o    Au secours
35-42
Artículo
61-66
67-72
73-82
o    Choix du sexe de l'enfant: sexocide et féminicide
83-88

         Europe

o    Pauvreté, précarité: le sort des femmes en France
93-98

105-116
117-120
121-124
125-128
129-138
139-146
147-150
151-158
159-174
175-177

         Amériques


         Afrique

207-220
221-230

         Asie

235-242

         Moyen-Orient

261-270
271-278
279-296
297-302
303-304

         Un espoir pour les femmes

309-314
315-316





Françoise d'Eaubonne

Données clés
Naissance
Décès
3 août 2005 (à 85 ans)
ParisFrance
Profession
Famille
Indiana et Vincent (enfants)
La personne publique
Troisième enfant du comte Etienne d'Eaubonne, un anarchiste chrétien originaire de Bretagne et membre du Sillon, et de Rosita Martinez Franco, une fille de révolutionnaire espagnol carliste1[réf. insuffisante], son enfance toulousaine est marquée par le déclin physique de son père, dû aux effets des gaz dans les tranchées de la guerre de 1914. Elle a 16 ans quand éclate la guerre d'Espagne, 19 ans quand elle voit arriver les républicains en exil. De 20 à 25 ans, elle subit les privations propres à l'époque et rencontre à la Libération, dans une grande gare parisienne, les rescapés juifs de retour des camps. Elle résumera plus tard son sentiment sur cette période de sa vie sous le titre évocateur de Chienne de Jeunesse.
Cette enfance plaquée sur une personnalité hypersensible la conduit à porter sur le monde un regard critique qui façonnera la militante radicale et féministe. Un temps membre du Parti communiste français, elle milite activement contre la guerre d'Algérie et en septembre 1960, signe le Manifeste des 121. Cofondatrice du MLF dans les années 60, signataire du Manifeste des 343 pour le droit à l'avortement2, elle lance le FHAR (Front homosexuel d'action révolutionnaire) avec l'écrivain et journaliste Guy Hocquenghem et Anne-Marie Grélois en 19723. Au sein du Mouvement de Libération des Femmes (MLF), elle anime également le groupe Écologie et féminisme4. À l'origine du mot « phallocrate », du terme écoféminisme en 1974, elle fonde l'association Écologie-Féminisme en 1978. Cette vie littéraire et militante se croise avec celles de Colette,Jean Cocteau, Simone de Beauvoir dont elle fut une amie très proche, et de Jean-Paul Sartre.
Elle est mère de deux enfants, Indiana et Vincent. Elle meurt à Paris le 3 août 2005 au matin, et est incinérée au cimetière du Père Lachaise à Paris.
L'écrivaine
« Pas un jour sans une ligne » : c'est sous la férule de ce mot d'ordre que l'auteur a produit plus de 50 ouvrages, de Colonnes de l'âme (poèmes, 1942) à L'Évangile de Véronique (essai, 2003) en passant par quelques romans de science-fiction (L'échiquier du temps, Rêve de feu, Le sous-marin de l'espace, Les sept fils de l'étoile…). Parmi ses ouvrages, on pourra distinguer :
Les romans, parmi lesquels :
Le cœur de Watteau, 1944
Comme un vol de gerfauts, prix des lecteurs 1947
Belle Humeur ou la Véridique Histoire de Mandrin, 1957
J'irai cracher sur vos tombes, 1959 (d'après le film J'irai cracher sur vos tombes)
Les Tricheurs, 1959 (d'après le film Les Tricheurs)
Jusqu'à la gauche, 1963
Les Bergères de l'Apocalypse, 1978
On vous appelait terroristes, 1979
Je ne suis pas née pour mourir, 1982
Terrorist's blues, 1987
Floralies du désert, 1995
Les biographies, parmi lesquelles :
La vie passionnée d'Arthur Rimbaud, 1957
La vie passionnée de Verlaine, 1959
Une femme témoin de son siècle, Germaine de Staël, 1966
La couronne de sable, vie d'Isabelle Eberhardt, 1967
L'éventail de fer ou la vie de Qiu Jin, 1977
Moi, Kristine, reine de Suède, 1979
L'impératrice rouge : moi, Jiang King, veuve Mao, 1981
L'Amazone Sombre : vie d'Antoinette Lix, 1983
Louise Michel la Canaque, 1985
Une femme nommée Castor, 1986
Les scandaleuses, 1990
L'évangile de Véronique, 2000
Les essais, parmi lesquels :
Le complexe de Diane, érotisme ou féminisme, 1951
Y a-t-il encore des hommes?, 1964
Eros minoritaire, 1970
Le féminisme ou la mort, 1974
Les femmes avant le patriarcat, 1976
Contre violence ou résistance à l'état, 1978
Histoire de l'art et lutte des sexes, 1978
Écologie, féminisme : révolution ou mutation ?, 1978
S comme Sectes, 1982
La femme russe, 1988
Féminin et philosophie : une allergie historique, 1997
La liseuse et la lyre, 1997
Le sexocide des sorcières, 1999
Les poèmes, parmi lesquels :
Colonnes de l'âme, 1942
Démons et merveilles, 1951
Ni lieu, ni mètre, 1981
Et quelques romans pour enfants édités dans la collection bibliothèque verte.
Les activités littéraires diverses, parmi lesquelles des pamphlets (20 ans de mensonges, contre Longo Maï), des traductions (Poèmes d'Emily Brontë), une édition critique des lettres de Flaubert, de nombreuses préfaces, etc.
Elle aura laissé avant de mourir un impressionnant volume de souvenirs, sous le titre Mémoires irréductibles, qui regroupe Putain de jeunesse (antérieurement publié sous le titre plus correct que son éditeur avait voulu, "Chienne de jeunesse"), Les Monstres de l'été, L'indicateur du réseau et Les feux du crépuscule, ce dernier inédit jusque-là.


Anne Zélensky et Andrée Michèle


Andrée Michel
Andrée Michel est une sociologue française féministeanticolonialiste et antimilitariste. Elle est née en 1920 dans le sud de la France.
Biographie
Après avoir obtenu une licence de droit à la faculté d’Aix-en-Provence et une licence de philosophie à la faculté de lettres de Grenoble, Andrée Michel a enseigné dans le secondaire (1941-1943) puis s’est engagée dans l’armée française comme assistante sociale en 1944.
Venue à Paris à la Libération, elle a passé son doctorat ès lettres de sociologie en 1959 à la Sorbonne, avec une thèse portant sur la famille, l’industrialisation et le logement1. Avec les discriminations, les inégalités de classe et de sexe2, la militarisation et la citoyenneté, ces thèmes vont structurer l’essentiel de son parcours de sociologue ; de même que les rapports Nord-Sud et la lutte anticolonialiste, qu’elle va traiter dès 1956 à travers la condition des travailleurs algériens en France, sujet de sa première publication3.
Entrée au CNRS (Paris) en 1951 comme stagiaire, Andrée Michel y est devenue attachée, chargée, puis directrice de recherche (1978), tout en poursuivant ses activités politiques. Sa carrière de chercheuse est ponctuée de périodes d’enseignement à l’étranger, sur invitation d’universités algériennesaméricaines (ClevelandMinneapolis),canadiennes (Moncton), latino-américaines (Université d’Antioqua à Medellín, UNAM à Mexico), belge (université de Liège), ainsi que de missions auprès d’agences internationales et d’ONG (Brésil, Afrique, Moyen-Orient). Andrée Michel a participé en 1962 à la création du Groupe de sociologie de la famille, au Centre d’études sociologiques de Paris. Elle a coordonné avec Elise M. Boulding (en) le Comité international de recherches sur les rôles des sexes au sein de l’Association internationale de sociologie (AIS) et fondé en 1974 le Groupe d'études sur les rôles des sexes, la famille et le développement humain, unité de recherche (06 051) du CNRS.
Auteure de plus de 150 articles, Andrée Michel a été membre du comité éditorial de l’International Journal of Sociology of the Family (États-Unis), du Journal of Comparative Family Study (Canada), de Current Sociology (revue de l’AIS), de la Nouvelle Revue féministe (France), etc …
Andrée Michel a participé aux activités du Mouvement français pour le planning familial. Elle est membre de Femmes et Changement et des Pénélopes.
En 1965, Andrée Michel, en compagnie de Madeleine GuilbertMarguerite ThibertGisèle HalimiColette AudryÉvelyne Sullerot, a participé au Mouvement démocratique féminin, sorte d’union de la gauche avant la lettre, sans pour autant appeler à voter pour François Mitterrand aux présidentielles de 1965.
Andrée Michel est l’auteure du Que sais-je sur Le Féminisme, plusieurs fois réédité et traduit, et de Sociologie de la famille et du mariage, également traduit en plusieurs langues dont le japonais, le grec, l'iranien et le coréen.
Pendant la guerre d’Algérie, Andrée Michel a été « porteuse de valises » et a témoigné comme sociologue au procès Jeanson en faveur des accusé-es.
Indignée par les essais nucléaires dans le Pacifique, elle a témoigné sa solidarité aux victimes de la politique française dans le Pacifique (Tahiti et Nouvelle-Calédonie).
En 1990, Andrée Michel a créé le réseau Citoyennes pour la paix qui a adressé au Conseil de Sécurité des Nations-Unies des milliers de signatures d’Européens contre la guerre et le blocus frappant l’Irak. Après avoir participé, de Tunis à Tripoli, en décembre 1990, au voyage du Bateau des femmes arabes pour la paix à destination des enfants irakiens, elle est intervenue à Tunis, en janvier 1991, au congrès international contre la guerre d’Irak. En soutien au peuple irakien, elle s’est rendue avec Aïcha Brahim et Michel Dayras à des conférences internationales organisées à Bagdad par les femmes arabes.
Andrée Michel a accepté en 1993, quelques mois avant la signature des Accords d’Oslo, une courte présidence de l’association Justice et paix en Palestine, collectant des signatures pour la fin de la colonisation israélienne en Palestine et le respect des résolutions des Nations-Unies.
En 1995, dans Justice et Vérité pour la Bosnie-Herzégovine, elle exprime sa révolte contre le massacre de Srebrenica et définit les enjeux d’un conflit où les génocidaires sont assurés de l’impunité grâce aux mensonges et aux droits du plus fort. Dans Surarmement, pouvoir, démocratie, Andrée Michel soutient que le système patriarcal, à travers les notions de « sécurité » et de « défense nationale », la production et les ventes d’armes, sert avant tout à opprimer les peuples, tout particulièrement les femmes. La parution de cet ouvrage lui a valu d’être invitée à donner des cours à l’Université de Medellín en Colombie ainsi qu'à l'Université nationale autonome du Mexique de Mexico, et à effectuer des recherches sur le surarmement de l’Afrique à Addis-Abeba, en Éthiopie.
Avec Citoyennes militairement incorrectes, illustré par des dessins de Florence Debray, Andrée Michel détaille, chiffres à l’appui, la militarisation de la planète.
Œuvres
  • Les Travailleurs algériens en France, CNRS, 1956
  • Famille, industrialisation, logement, CNRS, 1959
  • La Condition de la Française d'aujourd’hui, avec Geneviève Texier, Denoël-Gonthier, 1963
  • Travail féminin, un point de vueLa Documentation française, 1975
  • Le Féminisme, “Que sais-je”, Presses universitaires de France, 1979
  • Les Femmes en France dans une société d’inégalités, codirection avec Madeleine Rebérioux, La Documentation française, 1982
  • Sociologie de la famille et du mariage, Presses universitaires de France, 1986
  • Justice et paix pour la Bosnie-Herzégovine4, éditions L’Harmattan, 1995
  • Surarmement pouvoir, démocratie5, éditions L’Harmattan, 1995
  • Citoyennes militairement incorrectes6, avec des dessins de Florence Debray, éditions L’Harmattan, 1999
  • Féminisme et antimilitarisme7, avec un avant-propos de Jules Falquet, éditions Ixe, 2012

 Nelly Trummel,  peintre et féministe



L’émission Femmes libres


Nelly Trumel au micro
Photo (c) Catherine Deudon
Femmes libres est une émission de radio animée par Nelly Trumel depuis 1986 sur Radio libertaire (radio libre parisienne). Chaque mercredi soir, N. Trumel y commente l’actualité d’un point de vue "anarcho-féministe" et reçoit des invitées en fonction des événements politiques ou des dernières parutions : féministes françaises et étrangères, historiennes, écrivaines... En presque 20 ans d’existence, l’émission a reçu la plupart des militantes du féminisme contemporain de gauche et d’extrême-gauche, et de nombreuses intellectuelles ayant contribué, à un titre ou un autre, à l’histoire des femmes et du féminisme.