Un gay lesbophobe ...


Je découvre  ce monument d'imbécilités lesbophobes, d'un gay se prétendant catholique et "continent",  et qui ferait mieux de déposer sa prose dans ses couches ...
http://www.araigneedudesert.fr/page/le-phil-de-l-araignee-faut-il-etre-necessairement-antipathique-pour-etre-lesbienne.html
Pour lui les lesbiennes sont trouilardes, agressives, ne sont pas exclues pour des prunes, s'accouplent violemment .. etc etc ..
Des propos minables qui passent pour savants auprès de catholiques qui veulent voir conforter la vision traditionnelle de l'Eglise et font inviter Philippe Arino sur des plateaux TV ... : le niveau monte (!)
Le fait qu'il s'en prenne à Caroline ne fait que me donner raison sur le fait que sa conduite suscite de la lesbophobie, mais ce garçon a complètement tort sur les causes de la conduite de Caroline, qui sont une partie de ses idées politiques et certainement pas sa sexualité.


Citations :
"trouillardes, bourrées de complexes, crispées, et pour le coup, possiblement agressives, là, je dis oui. Comme pour toute personne humaine qui joue la fière et la dure pour nier ses souffrances."
"Les femmes lesbiennes, à l’instar des féministes et des prostituées, sont une catégorie de femmes qui nous prouve qu’on peut tout à fait être machiste sans être un mec. Le machisme n’est pas autre chose que la négation/diabolisation de ses limites et de ses faiblesses humaines, qui se résout généralement en refus de l’altérité sexuelle et en viol. Si l’accouplement lesbien ne dégageait aucune violence, il n’aurait pas envahi à ce point-là l’univers machiste du porno. Si les couples lesbiennes étaient vraiment aimantes et douces, elles auraient accueilli la différence des sexes ; elles favoriseraient davantage la mixité dans leurs cercles relationnels amicaux et amoureux, ce qui n’est franchement pas le cas.'
"Si le couple lesbien (tout comme le couple gay) et les femmes lesbiennes ont du mal à être acceptés socialement, et font violence à beaucoup de monde, ce n’est pas pour des prunes. Le couple lesbien est le signe d’une exclusionradicale : une exclusion de la différence des sexes désirante,.. Une exclusion de l’autre moitié de l’Humanité, excusez du peu ! Et ça, c’est objectivement violent et discriminant, que les femmes lesbiennes le reconnaissent ou non. Par conséquent, que les héritières des belliqueuses amazones ne s’étonnent pas de susciter ensuite l’indignation autour de leurs couples, de s’attirer les foudres de leurs contemporains, et de passer pour violentes, iniques et antipathiques !"
"j’en connais un paquet qui sont râleuses, agressives, pessimistes, amères, grognonnes, mécontentes, rarement joyeuses"


 
 

LE MARIAGE GAY OU LE RETOUR DU PATRIARCAT



LE MARIAGE GAY OU LE RETOUR DU PATRIARCAT

La revendication du mariage par des gays et lesbiennes fait à priori sursauter les féministes des années 70. A priori et à postériori plus encore, car elle est effectivement une des marques du retour actuel au patriarcat. Le patriarcat est l’appropriation des femmes et des enfants par les hommes, en tant que groupe dominant, et par le pater familias dans la famille. Un patriarcat qui nous revient cette fois, non pas franchement au nom de l’ordre moral et « naturel », mais sournoisement, au nom de l’ « égalité » et de la « libération sexuelle ».
Les féministes –hétérosexuelles comme lesbiennes- de 70 avaient déjà dénoncé le sexisme cette prétendue révolution sexuelle, mais le patriarcat allié à l’ultralibéralisme n’ont pas renoncé, ils ajoutent aujourd’hui l’alibi de la « non-discrimination », de l’ «universalisme » et l’épouvantail de l’accusation d’homophobie.
Le mariage gay tel qu’il est revendiqué aujourd’hui,  lié au droit à l’enfant, par adoption ou « PMA-GPA », c’est le retour au pouvoir des hommes sur les femmes, et aussi des adultes sur les enfants.  
La seule forme réelle de famille homoparentale est la coparentalité :  un couple parental formé par une lesbienne et un gay élevant leur(s) enfant(s) : ces familles existent bel et bien, mais ne sont absolument pas prises en compte dans les revendications actuelles de mariage.
La légalisation des mères porteuses (gestation pour autrui), avec ou sans don d’ovocytes,  sous prétexte d’égal droit à l’enfant des gays ou des hommes riches dont la femme ne peut porter d’enfant, est la mise en esclavage des femmes pauvres dans l’unique but d’obtenir un enfant issu des gènes de l’homme : patriarcat.
La procréation médicalement assistée a le plus souvent pour but que le mari obtienne de sa femme un enfant de ses gènes à lui, quelle que soit la douleur des traitements médicaux (y compris grossesses multiples ou « réduction embryonnaire ») pour elle ou pour la femme qui fait don d’ovocytes ou pour les deux : patriarcat. 
Le « généreux » don, anonyme ou sans engagement, de gamètes mâles par des hommes, peut certes permettre à des femmes seules ou lesbiennes de donner la vie à des enfants nés d’un désir de leurs deux parents biologiques, mais n’est- il pas aussi l’ubris génétique d’un homme  abandonnant à leur sort une femme et un enfant ?
L’adoption revendiquée par les associations  LGBT est réalité une revendication des gays qui ne veulent pas de la coparentalité et préfèrent prendre leurs bébés aux femmes pauvres dans le monde.
Chacun et chacune sait bien, qu’il ou elle préfère -(rait)e être né de l’amour de deux parents qui le voulaient comme enfant de leur amour, ou même s’il n’était pas exactement arrivé au moment T prévu, qui étaient prêts à l’aimer. Tout enfant a besoin d’être aimé et entouré de son papa et de sa maman. Que l’on cesse de se moquer du monde avec des études tendant à prouver que les dégâts ne sont  ou ne seraient pas si énormes quand … des adultes font passer leurs caprices, leur désir d’un enfant comme d’un jouet, avant la reconnaissance de ce besoin manifeste de tout enfant.  Bien sûr les enfants s’adaptent : mais de quel droit les priver sciemment, volontairement,  de ce que chacun sait être essentiel pour eux, pour chacun d’entre nous ?  
Et de quel droit, priver un enfant sans famille de ce que seul un couple adoptant hétérosexuel peut lui apporter : l’exemple d’un homme avec son expérience d’homme, d’une femme avec son vécu de femme, et de leur amour hétérosexuel,  celui que vivront plus de 90% des enfants adoptés .
L’adoption par des couples homosexuels doit être permise, car elle peut être utile dans des cas particuliers, mais elle ne doit pas être un « droit égal à l’enfant adoptable au nom de la non-discrimination » : le droit de l’enfant adoptable à un père et une mère doit primer. 
L’accès des femmes aux dons de sperme n’a pas à être lié à un « mariage » qui de toute façon n’est pas celui des vrais parents de l’enfant. Dans une société où visiblement l’amour est difficile, il peut être une voie pour donner la vie à un enfant qui saura au moins que ses deux parents  voulaient qu’il naquit… mais il serait nettement préférable que de tels « dons » ne soient pas anonymes.
Le retour du patriarcat, allié à l’ultra-libéralisme, sur l’air de la « non-discrimination » se manifeste encore dans de nombreuses autres évolutions.
Le PACS, sous prétexte d’innovation sociale et d’égalité des droits, s’est traduit par l’instauration de la répudiation et la ruine de décennies d’avancées de l’égalité dans le mariage. Les associations LGBT n’ont su soutenir pour la coparentalité que les revendications masculinistes de « droit du père ou du beau-père » ou de garde alternée, qui sont très dangereuses pour les droits des femmes hétérosexuelles sur leurs enfants.  Le projet de « mariage homosexuel » actuel réduirait aussi l’obligation de fidélité, ce qui est une demande généralement plus masculine. Le droit occidental s’aligne ainsi sur les législations plus archaïques : patriarcat.
Les revendications féministes les plus légitimes, tels le droit de disposer et de jouir de son corps, le droit à la contraception et l’avortement, le droit de refuser la maternité,  le droit à l’autonomie financière, sont retournées contre les femmes.    La division maman/putain se situe aujourd’hui entre occidentales et femmes du tiers monde,  ces dernières servant de ventres pour la production de main d’œuvre à bas coût. 
Les occidentales sont vouées à la baise :   on est passé pour reprendre l’expression lapidaire d’une historienne, «  du droit à l’avortement à «  ces salopes qui veulent faire des gosses ! ».   Il manque toujours  400 000 places de crèches en France, il n’y a toujours aucun cadre pour les enfants malades, aucune aide aux petites entreprises  employant des femmes enceintes ou jeunes mères. Les femmes vivent de plus en plus dans un climat juridique insécure,  renforcé par les revendications des militants « LGBT » ( entre fréquence du divorce, répudiation aujourd’hui, loi sur la garde alternée, droit du « beau-père »),  qui les dissuade souvent d’être mères alors qu’elles le voudraient. 
Pendant ce temps, le diktat de la pornographie règne dès l’enfance (« Et si on parlait de sexe à nos ados ? » Pr Israel Nisand), toujours sur l’air de la « libération sexuelle » toutes orientations confondues, l’existence de la contraception le rendant aujourd’hui  incontestable. Peu importe que les pilules ne soient toujours pas remboursées à 100%,  que les stérilets soient refusés aux jeunes femmes, qu’avorter reste un parcours de la combattante, que quantité de jeunes filles ne sachent toujours pas que l’on peut être enceinte malgré la contraception : pendant ce temps-là  les industries du sexe et pharmaceutique encaissent, et quant aux femmes, pour avorter elles avorteront autant qu’il le faudra, ça oui, mais souvent tard et sans analgésiques… 
Bilan : 200000 avortements par an : le même chiffre que l’immigration légale prétendument indispensable à l’économie, alors que 80% des avortements sont dus … « aux conditions économiques », c’est-à-dire que des femmes qui psychologiquement se sentent prêtes à être mères sont mises en conditions de se sentir obligées d’avorter. Où est le libre choix là-dedans, sinon celui du patriarcat et de l’ultra-libéralisme … ?

L'islam en résumé, égale idéologie nazie ...


L'islam en résumé

L’islam en résumé.


Mahomet (570-632) était un commerçant arabe, marié à une femme plus âgée que lui, elle-même libre commerçante quand il la connut. Vers 40 ans, il cru avoir une « révélation » venant d’un Dieu unique « Allah ». Pendant 23 ans, il « révéla » par « versets », ce qu’il pensait être la « parole de Dieu », le coran. C’est ainsi que fut fondé l’islam. Mahomet réunit autour de lui des troupes de musulmans, à qui le coran promettait du « butin » s’ils combattaient pour que l’islam soit la religion du monde entier. Mahomet fit tuer des poêtes qui le critiquaient, il mena des batailles avec ses troupes, il ordonna le massacre de tribus qui s’opposaient à lui. A la fin de sa vie, ses troupes avaient conquis toute l’Arabie. Un siècle plus tard, l’empire musulman s’étendait jusqu’en Inde. Selon le coran, Mahomet est le modèle à suivre, l’homme parfait.

L’islam n’est pas seulement une religion, c’est un régime politique : à partir du coran et des paroles de Mahomet (« hadiths ») recueillies par ses compagnons, les juristes musulmans ont élaboré une législation complête ( droit de la famille, du commerce etc). Pour l’islam, la loi ne doit pas être votée par le peuple, la démocratie est à bannir : c’est la loi de dieu, « la charia », tirée du coran et des hadith qui doit s’appliquer.
Or cette loi prévoit :
- que les femmes doivent obéir aux hommes
- que les non musulmans doivent être soit convertis, soit tués, soit soumis aux musulmans : ils doivent payer un impôt spécial, être humiliés, etc..
- que quitter l’islam ou le critiquer ou critiquer Mahomet sont des crimes punis de mort.
- enfin, que les musulmans doivent lutter « par la langue, par les biens, par le corps » pour que « toute la religion soit à Allah », c’est à dire pour que l’islam s’impose à tous.

Voilà pourquoi nous nous alarmons, lorsque nous voyons que des militants musulmans tentent d’imposer partout des règles de l’islam. Pour nous, cette loi islamique est injuste, barbare. Il est du devoir de chaque citoyen et citoyenne, de s’opposer à la lutte des militants de l’islam, qui, même s’ils sont sincères et croient se battre pour une société idéale, nous mènent en fait à un régime dictatorial et barbare.

Notre critique de l’islam ne doit en aucun cas être comprise comme une critique « des musulmans ». Nous pensons que chaque être humain est libre de ses choix, et ne peut être tenu pour responsable que de ses propres actes. Nous estimons que l’islam est une doctrine dangereuse car elle incite les musulmans à des comportements dangereux, et pour les non musulmans et pour eux-mêmes, mais nous ne disons en aucun cas, que « tous les musulmans » suivraient ces prescriptions.

Nous nous opposons à tout ce qui est la propagation de cette doctrine et la mise en application de la charia. Nous voulons discréditer cette théorie parce qu’elle est contraire aux droits humains et a eu jusqu’à présent des effets destructeurs. Nous le voulons pour le bien de tous, y compris des personnes qui se disent aujourd’hui « musulmanes », et que nous voyons avant tout comme des êtres humains méritant mieux que de vivre sous un régime islamique.


Islam égale idéologie Nazie


Tout musulman n'applique pas ou ne connait pas forcément les textes de sa religion, il n'y a pas d'essence de musulmans, mais des individus qui chacun ne sont responsables que de leurs propres actes, que cela soit bien entendu,
mais cela ne doit pas nous empêcher de faire l'analyse froide des doctrines telles qu'elles sont exprimées par leurs textes reconnus par leurs adeptes.

Au vu de cette analyse des textes, je dis que l'islam (en tant qu'idéologie) est le nazisme d'aujourd'hui.

Quand je dis que l'islam est le nazisme d'aujourd'hui, beaucoup me répondent d'arrêter de traiter une religion de fascisme, d'utiliser des images excessives :
il ne s'agit pas d'une image ni d'une allégorie, il s'agit d'une description :

- comme le nazisme, l'islam prone l'écrasement des peuples inférieurs, les non-musulmans, en attendant leur extermination, ou éventuellement leur absorption par la conversion, mais les chefs musulmans ont plusieurs fois interdit la conversion pour pouvoir continuer leur exploitation des dhimmis ....
- comme le nazisme, l'islam prone pour le salut du monde, l'avenement du "mehdi", l'extermination des juifs.

Que tous les antifascistes d'opérettes qui attendent toujours les hordes de skins du Front, que tous les soixantes huitardes autocélébrants lubies maoistes et autres, que tous les militants de mouvements anti-discrimination autocélébrants leurs idées d'avant-garde, se regardent dans la glace :
que font ils aujourd'hui pour le fascisme d'aujourdh'ui ne continue pas à enfler ?
qu'attendent ils pour combattre les nazis d'aujourd'hui ????

Ma réponse est très simple : rien.
Si : ils insultent et menacent ceux qui combattent l'islam, traitant les anti-islam de racistes,
Si : ils concoctent des textes de lois qui seront l'instrument du totalitarisme islamique en Europe...

C'est simple : tous les grands "mouvements", (grands car subventionnés ...) antiracistes et féministes sont actuellement du côté de la police de la pensée islamique et anti-européens de vieille souche. Ils ont tous trahis.



Relire André Dufour
http://www.libertyvox.com/article.php?id=322

"Comme dans Mein Kampf, il y a dans le Coran, mais dilué dans le désordre chronologique qui brouille les pistes, tout un programme explicite de domination du monde par la persuasion ou à défaut, par la violence.
Il y a la supériorité de l’homme musulman sur la femme, la supériorité d’une quasi race de seigneurs, la Oumma, sur les non musulmans dont les survivants doivent être maintenus dans un état d’infériorité et de vassalité.
Il y a l’intolérance érigée en vertu, il y a des appels à l’extermination des incroyants, des homosexuels et in fine des Juifs.
Ce n’est pas seulement une sorte de «clause de style» ou une simple «allégorie» ou «figure de rhétorique» comme le soutient un bon voisin musulman. Alors que les Juifs étaient nombreux en Arabie, il n’en restait plus un seul après la mort de Mahomet.
«Judenrein» était un objectif mahométan bien avant qu’il ne devienne hitlérien. "


Hezbollah "parti de Dieu" au Liban :