Pas de doute, un certain Viktor vient d'ajouter un chapitre au manuel de l' " Art de faire mettre une fille à poil en dix leçons ",
il est même parvenu à trouver " l'Art de faire faire à presque tout un mouvement féministe l'exégèse de la phrase d'une insondable profondeur " Nos seins sont nos armes"". Mazette, ça c'est de la pensée! ... Tiens, je ne sais pas pourquoi et ce serait à analyser bien entendu, elle m'en rappelle une autre de pensée : " c'est con les gonzesses".
il est même parvenu à trouver " l'Art de faire faire à presque tout un mouvement féministe l'exégèse de la phrase d'une insondable profondeur " Nos seins sont nos armes"". Mazette, ça c'est de la pensée! ... Tiens, je ne sais pas pourquoi et ce serait à analyser bien entendu, elle m'en rappelle une autre de pensée : " c'est con les gonzesses".
Les FEMEN : caricature de l’idéal du macho et
peut-être symptome d’un ratage du féminisme
Argh … dur le documentaire sur les FEMEN de l’Australienne Kitty Green « L’Ukraine n’est pas un
bordel » présenté à la Mostra de Venise, qui révèle les propos de
Viktor Svyatski sur les FEMEN et son
rôle dans le mouvement.
.« C’est vrai, reconnaît-il
face caméra, je suis le patriarche d’une organisation qui
lutte contre le patriarcat. Mais les paradoxes font partie de l’Histoire, et
après tout Marx et Lénine étaient des bourgeois. » « Il pouvait être horrible avec les Femen, explique Kitty
Green, qui a vécu avec les activistes ukrainiennes pendant une année. Il leur criait dessus et les traitait de salopes. »
« On l’entend dire de « ses » Femen : « Ces filles sont faibles. Elles n’ont pas un caractère fort. Elles
n’ont même pas le désir d’être fortes. Elles se montrent soumises, molles, pas
ponctuelles, et des tas d’autres facteurs les empêchent de devenir des
activistes politiques. Ce sont des qualités qu’il est essentiel de leur
apprendre. »
Les
FEMEN disent « La première fois que j’ai rencontré Victor, témoigne une des Femen, je lui ai demandé qui il était. Il m’a répondu : ‘ Je
suis le père du nouveau féminisme ‘. » « Victor, c’est un
homme qui veut contrôler des femmes. Un brillant exemple, en somme, d’une
nouvelle forme de patriarcat. » « Nous demandons
mercredi midi à Inna et Sasha Shevchenko, activistes de Femen présentes sur la
Mostra, si cette révélation paradoxale sur les origines masculines du mouvement
féministe ne risque pas de fragiliser, voire de décrédibiliser en profondeur le
message du mouvement. « Peut-être, réagit
Sasha. Nous verrons bien. C’est un féminisme patriarcal, d’accord, mais
ma conviction c’est que nous n’aurions jamais pu créer une idéologie aussi
forte si nous n’avions pas vu de près cet exemple fou de patriarcat. Je suis
reconnaissante d’avoir connu ce type d’hommes, que je déteste et qui ruinent la
vie de la femme. Il y a des millions d’hommes de ce genre dans mon pays, en
France en Italie ou chez vous. Alors il faut garder cette image de Victor dans
nos esprits pour devenir plus forte et plus agressive contre le système
patriarcal. » (http://www.lesoir.be/311310/article/actualite/monde/2013-09-04/un-macho-etait-tete-des-femen)
Plus gogo-te tu meurs.
Les FEMEN : idéal type du macho : jolies crédules
prêtes à se plier aux pires caprices sur ordre et en premier lieu à se mettre
nues
Victor est quand même fort pour un petit macho : avoir
réussi à domestiquer mentalement tout un groupe de fille et au-delà d’elles, à
ridiculiser une bonne partie des féministes qui les ont vantées, et par là se
sont réduites comme elles au niveau de dindes stupidement crédules et se sont
décrédibilisées complètement par cet aveuglement et par l’acceptation de la méchanceté
et de la furie comme principe d’action.
Les femen sont la caricature de l’idéal du macho :
de belles filles indubitablement, les autres ne valent même pas
d’être regardés,
des filles à qui on peut faire croire n’importe quelle
sornette,
l’inverse de la réalité : que mon cul c’est poulet, et le
strip-tease du féminisme,
des filles qui acceptent de se mettre à poil, et en public s’il
vous plait,
et de s’exhiber avec des gestes obscènes devant des flics et
des caméras en criant des cris ridicules et pro-violences, comme « viole moi » ou autres
gestuelle de call-girl,
des filles assez débiles pour gober n’importe quelle
sornette pour justifier ce déshabillage,
genre une phrase creuse comme « nos seins sont nos
armes » devant laquelle elles
restent ébahis la bouche ouverte et sans une seule idée transversant leur
pauvre petite cervelle, comme des grosses abruties que sont les moins gourdes
des filles,
et puis montrer que les filles au fond c’est méchant,
furieux, des garces, qui méritent bien d’être humiliées et qu’il faut bien
mater et dresser,
et capables de faire obéir d’autres filles en leur servant
les mêmes arguments creux devant laquelle elles restent bouche-bées, stupides,
cervelle vide, justes ravies qu’on les flattent avec un compliment pour leur
faire croire qu’elles ont « compris » et qu’elles servent une grande
cause,
se prouver qu’on peut dresser les filles même par fille
interposée : car c’est du lourd n’est
ce pas Victor ?
Les FEMEN et leurs admiratrices c’est la caricature de l’idéal
du macho : bref « la connasse » dans toute sa splendeur, voilà
l’apparence que Victor arrive à donner à « ses filles »,
mais de la fine, attention, de la belle, juste pour prouver
que même les plus belles filles n’ont rien d’autre dans le cerveau que de quoi
apprendre à se mettre aux ordres d’un homme qui sait s’y prendre,
car les filles comme
dit Victor, c’est faible, les filles ça se dresse quoi, ça chiale et ça obéit
quand même, plus ça chiale plus ça obéit et sans l’ouvrir,
c’est vraiment marrant comme on peut faire croire à la fine
fleur du « mouvement féministe » les pires aneries, leur faire
prendre les arguments les plus faux et creux et les plus machistes pour des
vérités lumineuses et …. féministe :
là c’est quand même la jouissance du macho qui explose, s’enfiler
mentalement pas seulement une fille et ses copines mais une bonne part de tout
un mouvement qui se prétend « féministe », ça c’est joiussif, ça fallait le faire Victor, t’es fort sur ce
coup là
Victor, ta raclée (http://www.liberation.fr/monde/2013/09/04/viktor-sviatski-un-manipulateur-dans-l-ombre-des-femen_929389
) , tu sais quoi : ho non ce n’est pas bien et on la condamne, mais on n’a
pas envie de pleurer dessus.
En mettant les choses au pire, on se dirait qu’à voir à quelle dose le
mouvement féministe est récupéré par tant d’autres pour obtenir des femmes le
contraire de ce qui est leur intérêt réel, le pari de gens comme Victor est
largement gagné.
Le mouvement féministe a-t-il principalement réussi à
défendre l’intérêt réelle des femmes, tout en défendant l’intérêt général de
tout le monde : pouvoir vivre une vie d’être humain et de femme, chacune
selon ses talents, et pas seulement au service des autres, du moins pas au
service des autres dans la non réciprocité …
ou a –t-il été instrumentalisé pour des intérêts particuliers « ultra-capitalistes » ?
Convaincre toute une génération de femmes se laisser gaver d’hormones
tout au long de sa vie pour pouvoir être baisées sans bornes et sans risque de
marmaille : une réussite vraiment ?
Convaincre toute une génération de femmes que se faire
larguer par leur mecs est la conquête d’un « droit » » au
divorce, que la « garde partagée » est la conquête d’un droit à l’ « égalité »,
que pouvoir tuer des êtres humains vivants dans leur ventre est la conquête d’une « liberté »
et que ne rien en ressentir et se taire là dessus est « normal », couche
toi là, puis débarrasse toi de ça et ferme là ... tu la fermes puisque t’es « libérée »
m’enfin, t’as pas compris ?
Convaincre toute une partie du mouvement « féministe »
que se prostituer ou être en cloque pour autrui est un « choix »
A voir comment les filles du mouvement « LGBT » se
laissent berner par des arguments aussi éculés que ceux qui faisaient accepter
à leurs grands mêres qu’il faut bien qu’ils « aillent aux putes » ( parce
que « les hommes ont des besoins irrépressibles … »), et acceptent maintenant de penser qu’elles ne
peuvent pas « refuser à leurs copains gays le droit d’avoir des enfants »
et donc leur refuser le « droit » d’acheter des grossesses et leurs « œufs »
à des femmes pauvres … on peut se demander quelles sont les bornes de la crédulité
des femmes, et le résultat à ce jour du féminisme …
On en arrive aujourd’hui à faire accepter à des lesbiennes
qu’il est insupportable que refuser à des hommes qui s’affirment transexuels et « lesbiennes », d’entrer dans leurs associations lesbiennes, (
ben quoi , de quel droit cette salope refuserait decoucher avec moi ?) ,
insupportable de leur refuser de se faire appeler « femme » et
insupportable de prétendre s’appeler « femme » et non pas uniquement « femme
de naissance » ( !).
Comme l’a rappelé avec humour Christine Delphy, la fine
fleur des « études de genre universitaire » en vient à se demander
dans des mémoires « universitaires » si l’on a le droit de dire « femme »
sans se faire accuser de « discrimination », si « les femmes »
existent : un fait dont, comme elle le dit ironiquement, nul ne doute en
dehors de l’université…
On peut se demander si le féminisme n’a pas largement été
utilisé pour aller exactement à l’encontre des intérêts des femmes en leur
faisant gober d’accepter « volontairement » la plus grande des
précarités , le salariat et l’isolement, la précarisation totale pour elles et
leurs enfants, la soumission et pire la destruction de leur corps au service du
« plaisir » masculin, ce qui se traduit pour beaucoup d’entre elles,
non pas au choix du renoncement à la maternité, mais à la contrainte au
renoncement.
Aujourd’hui les lesbiennes sont utilisées « à fond »
pour faire passer la pire horreur d’exploitation du corps des femmes par la
GPA, et l’endoctrinement au renoncement à écouter son corps et à la
consommation sexuelle depuis la maternelle, au nom d’une tromperie grossière, d’une
escroquerie intellectuelle grosse comme une maison, prétendant que « le
sexe n’est pas le genre », qu’il faudrait enseigner ce non sens dès la maternelle.
Une théorie du genre dont je montrerai par ailleurs pour
répondre à Anne Zélensky, que telle qu’elle est présentée aujourd’hui et non pas par Simone de Beauvoir, elle est
une arme contre non seulement les droits des femmes, mais le droit tout court,
une arme pour les macs et pervers sexuels en tout genre, et aussi une forme de
maltraitance immédiate des petits garçons.
Que la fine fleur du mouvement féministe n’ait vu que du feu
au mouvement « FEMEN » est tout de même inquiétant non ?
Heureusement qu’un certain nombre de féministes sauvent l’honneur
et n’ont jamais été dupes …
Elisseievna
Septembre 2013
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